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Choc entre deux mondes [PV Flora]

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Anonymous
Invité
Invité
Lun 6 Mar - 13:49
Invité
Il y a des moments dans une vie humaine, où il faut faire des efforts. En ce qui me concerne, j'ai dû me rendre dans un endroit qui me perturba énormément. Sans doute à cause de la façon dont il était organisé. Et son apparence devait compter dans mon jugement. Il s'agissait des galeries du métro, et plus précisément, de la place centrale. J'avais l'impression d'être de retour dans un ghetto de Bolivie. Sauf que cette fois, je ne pouvais apercevoir le ciel bleu azur ou bien le soleil se reflétant sur les montagnes. Faisant briller leurs flancs, et illuminant notre route à travers la broussaille. Ici, au contraire, il n'y avait que du métal, de l'acier. C'était froid. Peut-être tout aussi froid que moi, tandis que je déambulais, à la recherche d'un objectif, d'une personne à aider, d'une mission à accomplir. Quelque chose qui pourrait me réchauffer. Faire vivre le soldat en moi.

Il est amusant de noter que ce lieu que je trouvais inhospitalier, abritait pourtant beaucoup de vie. Des petits commerces, des échoppes, et autres organisations, cartels, et je-ne-sais-quoi. C'était mes propres suppositions. Je me disais bien que parmi tous ces gens, il y avait au moins une personne qui avait besoin de main-d'œuvre. Peu importe le travail. D'ailleurs, plus il est sale, plus il est violent, plus je suis efficace. Je suis incapable de garder un enfant, par exemple, mais à l'opposé, je suis tout à fait apte à faire un massacre silencieux, et sans laisser de traces. Ou du moins, le moins possible. Peut-être devrais-je essayer de me reconvertir professionnellement en mercenaire. Certes, ce n'était pas glorieux, par rapport à mon passé, mais les temps ayant changés, il fallait que je m'adapte. Car pour le moment, je traînais avec des militaires et des scientifiques. Qui ne faisaient rien. Et quitte à perdre mon temps, je préférais faire quelque chose d'utile.

Tout en marchant, j'ai fini par apercevoir une sorte de forge. Un magasin, façon de parler. Rien de bien surprenant. Pourtant, cet endroit sortait du lot, de par sa conception visuelle, et de par la présence de quelques pièges ici et là. Disposés minutieusement sur le sol, je dois avouer qu'un civil n'aurait sans doute pas fait attention, il se serait fait avoir. De mon point de vue, il y avait des failles, et instinctivement, j'avais envie de corriger ces erreurs. Toutefois, je ne pouvais me le permettre. Je n'étais pas propriétaire, je n'étais qu'un simple passant. Un peu trop curieux. Mais que voulez-vous, ça me rendait nostalgique. Toutefois, je sentais que j'allais pouvoir être satisfait, par le propriétaire. Ou plutôt, par la propriétaire. En effet, en m'approchant, par chance, j'ai pu apercevoir quelqu'un à l'intérieur de cette forge, en train de bricoler quelque chose. Et en juger par la silhouette plutôt fine, plutôt délicate, il s'agissait sans doute d'une femme. Ce qui me surprit davantage, d'ailleurs, ce fut son apparence, puisque même en étant une femme, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit si « mince ». Ma curiosité en tant qu'homme venait d'être piquée. Curieux, je décidais de l'observer un plus longtemps…

Cependant, elle ne semblait pas me remarquer. J'ai donc pris la liberté de camoufler un peu ses pièges, je veux dire, un peu mieux. En restant discret. J'avais l'habitude de la discrétion. Et si jamais ça lui posait un problème, je n'en avais rien à foutre, puisque je considérais que je faisais mon travail. Mon travail étant de défendre le peuple, c'était ce que j'étais en train de faire, puisque j'étais en train d'améliorer ses défenses. Il ne me restait plus qu'à faire ça bien…
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Flora Belza
Flora Belza
Survivant
Sam 11 Mar - 18:37
Flora Belza



Eh ! Pas touche la mouche !
Flora & John

Flora était débordée, elle s'activait dans la fabrication de plusieurs pièges pour ceux de la sécurité qui voulait en poser dans certaines zones... certains devait attraper, quelques uns blesser et d'autre tuer si possible. La jeune femme avait posé ses prototype devant son atelier qui était collé à la boutique, elle les avait à moitié dissimulé pour montrer plus tard aux personnes de la sécurité comment les dissimuler et surtout comment les différencier.

La jeune femme notait les plans qu'elle avait fait et ressemblait des pièces pour un suivant, mais il en manquait. Ses yeux inspecteurs vérifièrent s'il y avait une pièce potable qui pourrait remplacer ce dont elle avait besoin. Son regard se posa sur un vieux et gros moteur suspendu par des chaînes en hauteur. C'était son parrain qui l'avait mis là, jugeant que les pièces pouvait être utilisées. Flora se rapprocha et examina l'appareil, l'une des pièces du dessous pouvait parfaitement convenir. Mais le hic, c'était de descendre le monstre en premier temps et ensuite de le soulever pour se glisser en dessous.

Alors que Flora réfléchissait en faisant tourner sa clé à molette dans sa main, son regard se posa sur les passants pour voir si son parrain n'était pas dans le coin. Puis ce fut à ce moment qu'elle vit un homme, enfin vu la carrure elle le classerait dans la classe "armoires à glaces". Mais ce qui la dérangea ce fut qu'il recouvrait ses pièges, instinctivement elle s'exclama en sortant de son atelier :

-On ne t'a jamais dit de ne pas toucher ce qui n'est pas à toi ? S'ils sont visibles ce n'est pas pour rien ! Ils ne sont pas activés et sont là pour une vente de tout à l'heure... donc soit tu dégages tes mains de là ou soit je te brise les doigts pour t'arrêter !

Il était strictement déconseillé pour la survie des gens, de ne pas toucher à ce qu'elle bricole. Même son père et son parrain, n'osaient pas. Son regard était strict et elle le fixait avec un air sévère. Il y avait tant de facettes chez elle... la Flora fêtarde... la Flora sérieuse... La Flora aguicheuse... et bien d'autres à découvrir. La jeune femme le pointa avec sa clé à molette une idée en tête :

-Je crois que je sais comment tu peux te faire pardonner le malabar... J'ai un truc lourd à faire descendre du plafond et à soulever. Tu fais ça et j'aurai oublié que tu as osé toucher à certains de mes petits bijoux... Ok ?

Elle lui choppa le bras avant qu'il puisse répondre ou rétorquer quelque chose et elle le traîna dans son atelier. Puis Flora lui pointa le gros appareil suspendu avec des chaînes, avec un air normal et calme. Comme-ci pour elle s'était normal de choper le premier gros bras pour lui demander un truc comme ça.


by Moses
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 11 Mar - 22:51
Invité
– On ne t'a jamais dit de ne pas toucher ce qui n'est pas à toi ? S'ils sont visibles ce n'est pas pour rien ! Ils ne sont pas activés et sont là pour une vente de tout à l'heure... donc soit tu dégages tes mains de là ou soit je te brise les doigts pour t'arrêter !

Qui m'appelait ? Sans doute la patronne de ce lieu. Je n'en avais rien à foutre, elle pouvait aller se faire voir. Je faisais simplement mon travail. De mon point de vue, ce que je faisais était tout à fait naturel et justifié. Par contre, après avoir entendu son explication, je me suis arrêté net. Et les bras ballants, accroupi, j'ai soupiré, attendant une réaction plus positive de sa part. Me menacer ne mènerait à rien. Je n'allais pas réagir, je n'allais pas rentrer dans son petit jeu. Parce que je n'avais pas pour vocation de perdre mon temps avec des gens que je rencontre au hasard. Je ne pris même pas la peine de la regarder. Sa voix claire, relativement douce, me renseignait plus ou moins sur son âge. À mon avis, elle était un peu plus jeune que moi. Une enfant, de mon point de vue…

Par contre, la suite des événements m'a quelque peu surpris. Je pensais qu'elle allait venir me frapper, ou quelque chose du genre. Mais pas du tout. Il y eut même un petit blanc, avant qu'elle se remette à parler, étant donné que je n'ai rien dit, et que je n'ai absolument pas réagi, comme une pierre tombale. Je n'en croyais pas mes oreilles…

– Je crois que je sais comment tu peux te faire pardonner le malabar... J'ai un truc lourd à faire descendre du plafond et à soulever. Tu fais ça et j'aurai oublié que tu as osé toucher à certains de mes petits bijoux... Ok ?

Était-elle sérieuse ? Elle était en train de m'accuser d'être coupable d'avoir touché à ses affaires, mais dans un sens beaucoup plus péjoratif que ce que j'avais réellement fait. Je ne devais pas me faire pardonner. Je devais m'expliquer avec elle, lui faire comprendre mon point de vue. Mais en aucun cas, je ne devais me faire pardonner de quoi que ce soit. En plus, elle faisait référence à moi comme étant un « malabar ». J'avais reçu beaucoup de surnoms, mais là c'était le pompon. Il faut croire que pour une des rares fois de ma vie, je n'étais pas d'humeur. Probablement parce que sa réaction agissait comme un contrordre dans mon cerveau. Et mon cerveau détestait ce genre de choses. Je détestais ce genre de choses. Ensuite, je ne pus m'empêcher de remarquer le petit ton charmeur dans la seconde partie de sa phrase, l'air de dire « fait-moi plaisir, et peut-être qu'on pourra devenir amis. ». Ce genre de comportement fait tellement faux-cul, que ça me donne envie de gerber. Je savais que depuis le début de cette apocalypse, les gens n'avaient plus de limites, mais mon sens moral m'empêchait de rester impassible face à une telle façon d'être. J'étais résolu à lui répondre franchement.

Cependant, je n'en eus pas le temps, parce qu'elle m'entraîna à l'intérieur, en me tirant par le bras. En fait, elle ne me laissait pas le choix. Elle me mettait devant une sorte de fait accompli, qui me poussait à l'aider, si je ne désirais pas passer pour un connard. Charmante jeune fille. Notons au passage que j'en profitais pour la détailler. Elle était mignonne, pour ne pas trop la flatter. Elles semblaient avoir deux couleurs d'yeux, un marron, un bleu. Pour un œil vert, et un œil marron, on dit qu'on a les yeux verront. Pour un œil bleu et un œil marron, ça donne les yeux bleuront ? C'est une question, mais j'aimerais avoir une réponse. On ne sait jamais. D'ici que j'apprenne quelque chose. Qui par ailleurs avait les cheveux roses. Il allait peut-être falloir que je lui apprenne qu'on n'était pas au Japon. Parce que j'avais souvenir de vacances au Japon, où j'avais vu des personnes aux couleurs de cheveux plutôt extravagantes. Ça lui allait plutôt bien, mais de mon point de vue très droit, c'était plus que perturbant. Autant que Jarod et ses cheveux rouges...

Mais bon, au moins, j'avais quelque chose à faire désormais. Je me suis approché de son étrange appareil, et je l'ai saisi comme j'ai pu. Pour parler franchement, c'était assez simple. J'ai tout simplement fait ce qu'elle m'a demandé, sans forcer, et j'ai attendu qu'elle se met au travail. Par contre, pour lui signaler qu'elle pouvait y aller, je n'ai pas pu m'empêcher de lâcher un petit mot pour elle. D'un ton extrêmement calme, avec une pointe de sarcasme, je lui adressais un regard tout en m'exprimant… Un regard perçant, qui toutefois, n'exprimait aucune émotion.

– C'est quand vous voulez…
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Flora Belza
Flora Belza
Survivant
Lun 20 Mar - 15:49
Flora Belza



Même pas drôle !
Flora & John

Flora profita du moment pour l'observer, attentive à chaque geste et chaque expression, pour voir quel genre de personne s'était. Il avait une expression impassible, restait sérieux et ne broncha même pas. Flora était déçue, une personne normale aurait râlé et tout, mais pas ce type. Flora attendit alors, qu'il soulève la machine en lui disant que c'était bon. Elle mit des cales n'ayant pas confiance en cet inconnu et lui lança :

-Eh bien ! Merci, tu peux lâcher c'est sécurisé.

Flora attrapa ses outils, s'installa sur sa place à roulettes et se glissa sous la bête. Elle observa le système et s'attaqua rapidement à tout démonter en chantonnant gaiement. C'était peut-être l'une des rares filles à être d'humeur joyeuse en se salissant les mains en bricolant. Alors qu'elle posa une pièce sur le côté, elle remarqua qui lui manquait un outil. Elle se glissa hors de la bête et se releva, puis son regard tomba sur l'homme toujours là, Flora ne put s'empêcher de lâcher :

-Ah ! Tu es toujours là toi... T'es tellement calme que j'ai cru que tu étais parti, tu pourrais faire parti des meubles tant ta présence change rien. tu attends quoi ? Un biscuit ? Désolée, j'en ai pas.

Puis elle alla vers le meuble et fouilla dans les tiroirs après son fameux outil. Son regard se posa sur le meuble en hauteur où elle le repéra et grommela pour elle-même face à cette organisation devenue chaotique :

-Je vais interdire l'accès à mon atelier ! Même à la famille... non mais ! Regarde-moi ce bazar ! Je ne retrouve plus rien !

Flora grimpa sur le meuble, choppa l'outil et bondit par terre. La jeune femme allait fermer après son travail terminé, pour remettre de l'ordre dans son petit refuge à elle. Alors qu'elle faisait des plans dans sa tête sur sa future et meilleure organisation, son regard se posa sur la statue stoïque. Que c'était vraiment très nul comme compagnie ! Flora avait rarement vu quelqu'un d'aussi ennuyeux dans sa vie... même le gros lourd qui parlait de son ancienne collection de timbres, lui semblait plus amusant à cet instant.

Après avoir lancé un regard vide au gars et avoir soupiré un bon coup. La jeune femme se remit tranquillement en place sur sa planche à roulettes et glissa sous sa machine. Ayant les bons outils cette fois, elle recommença à démonter la machine. Le travail sérieux allait commencer pour elle. Puis voyant les pieds de l'homme de là où elle était, Flora ne put s'empêcher de lâcher à ce dernier :

-Eh beh ! On doit vraiment s'emmerder avec toi...


by Moses
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 20 Mar - 19:36
Invité
Comment pourrais-je décrire ce que j'ai ressenti lorsqu'elle s'adressa à moi ? Ah oui, je sais, en un seul mot. Rien. J'ai bien sûr écouté ses paroles, mais que voulait-elle que je réponde ? Après l'avoir aidée, je me suis tout simplement perdu dans mes pensées. Suffisamment pour oublier que j'étais actuellement en train, selon ses propres dires, de jouer les meubles. Je n'y pouvais rien, c'était dans ma nature. Quand je n'avais plus rien à faire, je me mettais en position « stand-by ». Et j'attendais qu'on me donne une directive. Dès lors, vous devez penser que je ne suis qu'une machine. Et ça m'arrange. Au moins je n'ai pas à m'emmerder avec vous. Et même si elle pensait que je jouais les meubles, la vérité était toute autre…

En effet, depuis que j'avais terminé ce qu'elle m'avait demandé, je passais mon temps à observer le lieu autour de moi, à prendre des photos avec mes yeux, à m'imprégner de l'ambiance, des odeurs, ce genre de choses. Histoire de pouvoir m'en souvenir fidèlement si un jour quelqu'un me posait une question, ce qui dans le cas présent m'étonnerait, mais il valait mieux prendre des pincettes avec ce genre de choses. Tout peut arriver, n'importe quand, et malheureusement, à n'importe qui. Enfin bref, c'était pas ça le plus important. Le plus important pour le moment, c'est que je devais formuler une réponse convenable pour répondre à cette jeune femme dont la provocation se révélait être aussi voyante, ou du moins soupçonnable, que son joli minois qui devait en charmer plus d'un.

Cependant, avant de lui répondre, je me suis permis de bouger un peu. Notamment pour tirer la planche sur laquelle elle se trouvait. De façon à pouvoir la voir en lui parlant. Contrairement à ce que la majorité d'entre vous risque de penser, ce n'était pas pour décrypter ses expressions faciales tandis que je lui parlais. Je suis soldat, mais pas expert en psychologie. Enfin si, mais c'est compliqué. Cependant, vu son caractère, je sentais qu'une réplique aller fuser, je me suis donc permis de lui lâcher quelques mots, avant qu'elle ne s'exprime.

– Alors, Miss. Premièrement, je suis désolé de vous avoir tiré comme ça… dit comme ça c'est pervers. Mais disons que j'aime bien voir la gueule des gens à qui je parle, surtout quand c'est pour me faire critiquer. Secundo, quitte à être un meuble, je suis un meuble efficace auto défensif. Et tertio, je ne savais pas de quoi parler. Je n'ai pas pour habitude d'être sociable, parce que normalement, je n'en ai pas besoin.

Au mois, elle était prévenue. Et moi, je continuais tranquillement à parler, tout en la faisant délicatement rentrer sous son espèce de biniouf. Et je dois avouer, après l'avoir vu de plus près, qu'elle était plutôt mignonne. Mais sans plus. Comme aurait dit mon cousin adoré, je m'en souviens très bien de sa réplique : « tu es plus du genre à faire parler la poudre, qu'à t'appeler Éjaculatron, le transformers Bite. ». Je ne sais pas si il tient ses répliques de la pop culture, mais je dois avouer qu'il en a des bonnes, des fois. Celle-là avait particulièrement retenue mon attention, dans un de ses mails à mon égard. Je ne sais pas pourquoi.

– Donc, maintenant que je vous ai remise en place, excusez-moi pour la formulation, si vous voulez, je peux discuter, y'a pas de problème. Enfin si, y en a un ou deux. Je pense pas que la vie que j'ai mené vous intéresse. Pour ce qui concerne de mes raisons personnelles, je ne vous en donnerai aucune. Je suis un mec barbant, je le sais. Je suis soldat. Demandez-moi de tuer, d'accord. Demandez-moi de vous protéger, là aussi je suis d'accord. Mais ne me demandez pas de vous tenir la discussion. Sur ce, je vous laisse terminer votre travail.
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Flora Belza
Flora Belza
Survivant
Lun 20 Mar - 21:43
Flora Belza



La clé à molette = solution !
Flora & John

Alors qu'elle essayait de desserrer une pièce bien coincée, le crétin d'inconnu tira sur sa planche, ce qui la fit bouger, donc son outils glissa et elle s'en coinça le doigt. Elle le regarda le visage rouge de colère et à peine eut le temps de finir sa phrase qu'elle lui mit un gros coup de clé à molette dans le tibia. Puis elle se fit glisser rapidement pour sortir de l'autre côté, brandissant son outils elle lui reclaqua avec rage :

-T'es con ou t'es con ? Tu te prends pour qui ? Est-ce que moi j'vais te tirer le bras pendant que tu essayes de tirer ? NON ! Alors tu n'as pas à me toucher ! Ici t'es chez moi, alors si tu veux faire ce que tu veux tu dégages et va voir ailleurs si j'y suis !

Elle en avait rien à faire d'avoir un gros malabar surentraîné devant elle. Flora était hors d'elle et avait juste envie de lui éclater la tête avec sa clé à molette. En plus son doigt saigné fortement, elle attrapa un chiffon et l'enroula autour de son doigt blessé. La jeune femme fusilla le "militaire" du regard et lui reclaqua :

-Alors ton excuse pour être aussi con c'est que tu es militaire ? Eh beh ! J'en avais déjà rencontré des couillons, mais es sur le podium et pas sur la plus petite place. Ton excuse est si pathétique ! Tu sais pourquoi ? Parce que j'en connais un de militaire ! Il a de l'humour, il est sympa et intéressant, puis ça n'enlève en rien à ses compétences ! Tu ne lui arrives pas à la cheville... non ! tu ne lui arrives pas à l'orteil avec tes grands airs de roboCop ! Donc si tu dois trouver une excuse cherche autre chose !

Elle posa son outil sur le meuble et s'avança vers lui. Rien à faire de se prendre un coup et de toute façon si c'était le cas, il aurait sa famille sur sa gueule et pour sa survie il ne valait mieux pas, son parrain avait cassé des rotules à des gars plus impressionnants que ce type. Flora lui chopa le bras, le dirigea vers l'entrée et le poussa aussi fort qu'elle le put hors de son atelier en s'exclamant :

-Aller ! Dégage et que je ne te revois plus !

Elle referma la porte de son atelier et se dirigea vers une autre porte. Flora rejoignit son père en fauteuil pour qu'il puisse soigner son doigt et voir si tout ce sang, elle n'avait pas besoin d'un ou deux points de suture.


by Moses
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