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Nicolàs de Tovenaar
Nicolàs de Tovenaar
Rescapé
Mar 4 Avr - 0:30
Nicolàs de Tovenaar

Âge : 30 ans
Groupe : Elitistes
Nationalité/origines : Français
Immunisé : Oui
Situation conjugale : Célibataire
Situation familiale : /
Place dans le clan/tâche : Guerrier
Arme : Nico ne s’encombre pas de beaucoup d’armes. Il a toujours sur lui un couteau pliable (mais il aime toutes les armes blanches) et un fil fin et solide, idéal pour lier ses victimes ou les étrangler. Selon l’utilisation qu’il en fait, on peut ranger ici le foulard qu’il a toujours avec lui.

Carnation : Peau claire
Taille : 1 m 80
Corpulence : Svelte, élancé
Cheveux : Anciennement blonds, à présent très décolorés, longs
Yeux : Bleu
Style vestimentaire : très élégant, parfois un chic un peu plus ancien qui lui donne une certaine classe.
Signe distinctif : Il a toujours un foulard sur lui, que ce soit attaché autour du cou, déposé sur ses épaules, attaché dans ses cheveux, en ceinture autour de la taille, noué en lavallière ou autour du bras...

ft. ... de ...
Nicodème Lemage,
dit Nicolàs de Tovenaar
Quand on le voit sans le connaitre, il a l’air d’un garçon certes étrange mais surtout amusant, et absolument pas dangereux. Il semble être un plaisantin qui aime faire des tours de cartes et qui se complait dans le beau parler. C’est vrai qu’il aime s’amuser et qu’on fond de lui subsiste une part de l’enfance qu’il n’a jamais vraiment eue... mais ce serait terriblement inconscient de se borner à cette façade de sa personnalité. Ne vous laissez pas avoir par les apparences, Nico peut être très dangereux !

Il faut avant tout savoir que Nico est quelqu’un qui aime plaire ; ou plus exactement qui a besoin de plaire. Pas d’un point de vue intime, non. A vrai dire, ça ne l’intéresse pas vraiment. Mais il aime qu’on s’intéresse à lui, qu’on parle de lui. Il a besoin d’attention. Il a horreur qu’on l’ignore. Dans la même idée, il ne supporte pas la frustration ; à un tel point que c’en est viscéral.

Il n’accorde pas beaucoup d’importance à la vie de manière générale. Tuer, faire souffrir les gens, il l’a déjà fait. Et il le recommencera si besoin, parce c’est une méthode efficace pour obtenir des informations ou se venger. Ou par envie, parce qu’après tout, c’est amusant de tuer les gens.

C’est également un homme qui a besoin d’être stimulé, intellectuellement. Les jeux de mots, les subtilités de la langue française, il aime ça. Il a souvent éprouvé le besoin de se nourrir d’œuvres littéraires, de tournures de phrases bien pensées, de réflexions intéressantes et s’il a fini par se lasser des livres, il aime toujours les joutes verbales et les phrases bien tournées.

Il aime beaucoup d’autres choses, plus variées les unes que les autres. Ses manies, goûts du moment, durent quelques temps, puis il passe à autre chose. Il se plonge à 100% dans ce qui l’intéresse et le délaisse aussi facilement et aussi rapidement qu’il s’y est intéressé. Quitte à s’y remettre plus tard.

A vrai dire, pour lui, c’est son intérêt – ou plus exactement son envie du moment – qui prime. Et son envie peut passer par à peu près tout. C’est aussi quelqu’un de très lunatique. Un jour il considèrera quelqu’un comme son meilleur ami et sera prêt à tout pour lui... et le lendemain, il cherchera à le tuer.

A moins qu’il ait une dette envers cette personne ; car Nicodème est quelqu’un de fidèle à la parole donnée. C’est quelqu’un qui, un jour ou l’autre, tient toujours ses promesses, même les plus futiles. De même, si quelqu’un lui a rendu un service un jour, il lui rendra la pareille même s’ils ne se sont pas vus depuis des années et que le temps les a beaucoup éloignés l’un de l’autre. Cela fait partie de ses principes.

Car, même s’il a l’air d’un garçon qui n’écoute que son humeur, il est fidèle à ses principes moraux très personnels et aux lois de l’Eugéniste. Il rêve de ce renouveau peuplé uniquement par les élus, ceux qui méritent de le voir, ceux qui seront utiles à l’humanité. A LEUR humanité.
Les chemins tortueux de la démence.

La vie du petit Nico ne fut pas simple. Le jeune garçon n’a pourtant pas traversé d’importants drames... mais son quotidien fut marqué par de nombreux détails qui, dans leur accumulation, étaient difficiles à supporter. Comment se construire sereinement, comment se lancer dans une vie calme et posée, quand la cellule familiale elle-même est au bord de l’implosion et que le réconfort est loin de se trouver chez ses pairs ?

Ses parents avaient voulu faire preuve d’originalité dans le choix du prénom ; c’était gagné. Durant toute son enfance, Nicodème eut droit à des moqueries. Mais en grandissant, il se contenta du diminutif « Nico », qu’on attribuait d’office au prénom « Nicolas », et ça passait tout seul. Mais ça ne suffisait pas à offrir au jeune garçon une vie normale.

Il n’y avait pas que dans le choix du prénom que les Lemage étaient des originaux. Tout leur style de vie les marginalisait, mettant l’enfant à l’écart malgré lui. Un père dans les extrêmes d’un point de vue politique et religieux ; une mère qui oscillait entre réserve et exubérance, testant tous les régimes et modes de vie originaux qui étaient évoqués dans les journaux.

Petit à petit, Nicodème devint aigri et amer, tout en gardant au fond de lui une part de l’innocence de l’enfance qu’il n’avait jamais vraiment eue. Pour essayer de canaliser ses élans de violence, ses parents l’inscrivirent dès son plus jeune âge à des cours d’arts martiaux. Et si ça ne lui apprit malheureusement pas à canaliser sa rage, ça lui apprit une meilleure façon de frapper. Et durant son enfance, il cassa plus d’un nez de gamin moqueur…

Un équilibre psychologique instable, une envie d’anéantir son passé qui l’avait fait souffrir. Une forme de démence. La vie de Nico prit des chemins pas toujours très légaux, pas toujours très droits. A vrai dire, tout aussi tortueux que son esprit...

Les rencontres d’une vie.

Comme Nexusis, le sbire d'Amonbofis, a dit dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre « Les hasards, les rencontres, forgent une destinée ». C’est bien vrai. En grandissant, Nicodème rencontra des gens qui devinrent très important pour lui. Des gens qui ont marqué sa vie. En voici quelques uns parmi les plus importants.

Lena... comment oublier Lena ? C’était une très belle jeune femme originaire d’Amsterdam. Ils avaient partagé tant de choses. Ils avaient fait tant de voyages. Il l’avait tant aimée. Ou alors, il avait cru l’aimer, il ne savait plus trop. Mais elle l’avait trahi. Et il ne risquait pas d’oublier cette souffrance qu’elle lui avait causée. Enfin... elle ne le trahirait plus, à présent. Parfois, quand il ferme les yeux, il revoit encore son regard effrayé lors de la dernière soirée qu’ils ont passé ensemble, une semaine après qu’elle lui ait annoncé qu’elle avait eu une liaison avec un autre homme. Animée par une folle rage de vivre, elle s’était bien débattue, ce soir là. Mais cette bouteille cassée était une arme si insignifiante ; comment aurait-elle pu l’empêcher de commettre l’irréparable ? Ca lui semble tellement loin. Pourtant, son cœur se serre toujours autant quand il repense à elle...

Vincent... Nico se demande souvent comment quelqu’un d’aussi droit et posé avait pu le supporter pendant si longtemps. Et pourtant, ils étaient devenus très proches ; une amitié si forte qu’elle avait laissé des marques. Ils s’étaient rencontrés sur un banc d’amphi, tandis que Nicodème vainquait l’ennui en écrivant un poème. Vincent l’avait questionné à ce sujet et ils avaient longuement parlé poésie et littérature. Par la suite, Vincent l’avait aidé à avancer dans la vie, à se poser, à faire le tri dans ses pensées, à se détacher de son passé, à se libérer de ses entraves. Ce qu’il avait été, ce qu’il avait vécu devait rester derrière lui et ne pas l’empêcher de vivre heureux. Vincent l’avait soutenu quand il allait au plus mal. D’une certaine manière, il était son garde-fou. Mais inévitablement, leurs routes avaient dû se séparer quand Vincent était parti en Italie, laissant Nico seul avec ses pensées. Et avec Guillaume...

Guillaume, son autre ami du moment. Il l’avait rencontré dans un bar, un soir où il s’était un peu trop laissé allé et où il avait vidé plus de verres qu’il n’aurait dû. Pourquoi s’était-il autant pris la tête à cause de son stage raté ? La vraie question était plutôt « pourquoi avait-il frappé son chef quand il avait critiqué sa tenue vestimentaire ? » mais il ne se la posa pas. C’était évident qu’il n’était pas en tord. Et tout ce qui allait mal dans sa vie lui était revenu en flash. Il avait repensé à Lena, à son enfance... Alors il s’était contenté, de boire plus que de raison, pour oublier. Malgré leur différence d’âge, Guillaume et lui avaient beaucoup parlé, après que le jeune homme ait évacué le surplus d’alcool ingurgité. Petit à petit, Guillaume était devenu comme un père pour lui. L’exact opposé de Vincent, tenant un raisonnement tout autre, et qui cherchait à faire ressurgir toute la noirceur de son âme. Nico avait tout de suite senti qu’ils étaient proches, qu’ils avaient vécu les mêmes choses. Et Guillaume, aux yeux de Nico, s’en était bien sorti. Il avait un travail important, il avait tout ce qu’il pouvait désirer. Et au fond de son regard, il avait la même démence que lui, quand son esprit divaguait un peu trop...

Après ça, Nico avait sombré. Il avait fini par comprendre que ses souffrances passées l’avaient rendu plus fort. Et en le comprenant, il avait pris conscience de son importance dans le monde. Certes, ce n’était pas ce que Vincent avait escompté en l’aidant à ne pas s’enfermer dans ses douleurs passées, mais les idées marquées de Guillaume l’avait encouragé à s’engager dans une brèche instable de son esprit...

Le monde dévasté

Et dans les temps qui ont suivi, le monde aussi avait sombré. Paradoxalement, Nico le vécut comme une délivrance ; la terreur appelant le renouveau. Un renouveau où il pourrait s’émanciper de ses entraves, de ses lourdes chaines psychologiques.

Dans ce nouveau monde, Nicodème prit le nom de Nicolàs de Tovenaar. Ce nom était un symbole fort : il s’écartait de ses origines tout en s’en inspirant, il sublimait la noirceur de son passé. Pour lui, ce nom réunissait ses plus grandes souffrances pour les éloigner. Les moqueries de son enfance à cause de son prénom ancien étaient balayées ; et il avait traduit son nom de famille en néerlandais pour ne plus être un « Lemage » tout en en restant un et pour conserver une part de Lena par la langue employée...

A présent chez les Elitistes, Nico se sent bien. Son test fut un des moments les plus grisants de sa vie. Arpenter Paris en solitaire pour ramener un zombie vivant, quelle expérience ! Quelle adrénaline ! Ne pas savoir, jusqu’au dernier moment, s’il survivrait ou s’il se ferait tuer, mordre, contaminer... C’était tellement amusant ! Et la morsure... Il y avait survécu et il avait pu massacrer son infecteur. C’était si bon !

Une marque au fer rouge à la base du cou. Douloureuse renaissance. Le Nico du passé n’existait plus. Son immunité était prouvée. Il était maintenant un homme nouveau. Pleinement engagé dans sa mission de guerrier pour les Elitistes, Nico savoure chaque jour de sa nouvelle vie. Son seul regret, d’une certaine manière, est de savoir qu’il est immunisé, car l’adrénaline de la chasse est un peu moins forte. Mais il sait aussi que s’il n’avait pas été un élu, il n’aurait pas été ici. Pourquoi encombrer le monde avec les personnes qui risqueraient de propager l’épidémie ? Pourquoi chercher à protéger tout le monde ? Non, il faut reconstruire un monde meilleur, un monde où seuls les élus ont le droit de vivre.

Pseudonyme : Zeja
Âge : 27
Blabla : C’est encore moi !
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Z
Z
Fondateur
Ven 15 Juin - 15:11
Z

validée


Re bienvenue à toi !!

Bon... ta fiche est complète, tout semble être bon et tout. En plus la personnalité de ton personnage est vraiment très intéressante ! (je crois que j'adore un peu beaucoup les psychopathe) Bref je m'égare !Je ne vois rien à redire à ta fiche. Donc je te valide et je te mets ta couleur. Tu as l'honneur d'être notre premier Élitiste en plus !

Bon jeu !

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