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Things happen... and we move on

 :: Les survivants :: Leurs identités :: Les fiches validées
Samuel L. Taylor
Samuel L. Taylor
Rescapé
Dim 25 Juin - 22:23
Samuel L. Taylor

Âge : 38 ans
Groupe : Solitaire
Nationalité/origines : Londonien/Français
Immunisé : Ne sais pas. Mais ça fille oui
Situation conjugale : Célibataire (se considère toujours marier à sa femme)
Situation familiale : Parent décédée de vieillesse bien avant l'épidémie. Pas de frère ni de sœur. Femme décédée. A une fille encore en vie.
Place dans le clan/tâche : Aucun
Arme : Carabine 22LR, Magnum 44 de secours  et un Couteau de chasse

Carnation : Blanc légèrement bronzé
Taille : 1m88
Corpulence : Musclé
Cheveux : Cours, brun foncer avec des premiers cheveux blancs
Yeux : Marron
Style vestimentaire : Vieux vêtements décontracte
Signe distinctif : Légère cicatrice sur le visage, ainsi que sur plusieurs partie du corps. Tatoué sur le haut des bras. Porte deux alliances sur une chaîne cacher sous les vêtements

Joel - The Last Of Us
Samuel Lucas Taylor
Borner fut autrefois la première chose qui me caractérisait le plus. Bien que j'aie dû me calmer grandement sur ce point en rejoignant les forces de la police, on ne peut décemment pas foncer tête baissée dans tout et n'importe quoi et mettre la vie de ses coéquipiers en dangers. Où de faire simplement l'inverse de ce que l'on demande. À force de temps, la réflexion avant d'agir à prit place, même si cela ne fait pas de moi un grand patient, je fais au mieux pour prendre sur moi et attendre. En revanche, parler avec mes poings est une chose qui a fini par refaire surface avec l'épidémie qui nous entourent. Il faut ce qu'il faut face à des merdeux qui désirent voler les vivres d'autrui et, en même temps, je ne peux pas me permettre de leur ôter la vie pour si peu en leur enfonçant une balle dans le crâne. Le monde est dur, mais à moins qu'on ne me laisse aucun choix, je préfère qu'ils repartent tous avec un bel œil au beurre noir qu'une vie en moins. Celle-ci est devenue si précieuse que la gâcher serait bien dommage.

Une chose qui n'a cependant jamais changé, c'est mon langage si joliment fleuri. Je n'ai jamais été du genre à retenir le fond de ma pensée. Si quelqu'un m'emmerde, il est clair qu'il finira par le comprendre rapidement. Un mauvais exemple devant ma fille qui a tendance à prendre de plus en plus ce trait de caractère. Alors, j'essaie de minimiser au moins les insultes, néanmoins… C'est bien plus compliqué qu'on le croit.

J'ai passé beaucoup de temps à me sentir coupable de la mort d'Élisabeth, il est dur d'effacer ce que j'ai fait et, quand bien même je tente de me convaincre du mieux possible en me rassurant que c'était bien la meilleure décision qui soit, ce souvenir ne cesse de me hanter depuis des années. Je fais de mon mieux pour être fort et pour garder les deux pieds sur terre avec Mégane auprès de moi. Elle est ma bouée, sans elle, je me serais sans aucun doute, jeté dans les bras d'un infecté, mais avec sa présence, j'ai une raison suffisante pour continuer à vivre et de me battre du mieux possible.

Pourtant, très honnêtement, la catastrophe qui plane au-dessus de nos têtes me fait peur. Et je ne cache pas que celle-ci grandit de jour en jour, quand je vois que rien ne change. Le sang que j'ai sur les mains provient d'un nombre incalculable de personnes qui, autrefois, avait une vie, des familles, des amis. Et même si ce n'est que pour survivre, car ils ne nous laissent aucune autre possibilité, les remords restent constamment présents.

Ce n’est pas un portrait très élogieux, mais, je ne suis pas constamment ainsi. Du moins, il me semble. Puisqu’il faut vivre avec cette nouvelle ère, j’essaie d’être un bon vivant, de détendre du mieux possible les situations quelque peu hargneuses, mais n’étant pas un grand plaisantin… C’est bien plus compliqué que ça. Enfin, du moment que j’arrive à décrocher un sourire sur le visage de Mégane avec mes vannes foireuses, ma journée est parfaite.

La lune joue à cache-cache avec les nuages, tandis que le feu improvisé en guise de lumière s'embrase tranquillement. La fumée disparaît dans l'air, emportant avec elle les souvenirs de ces dernières années.

On ne peut pas dire que ma vie avait quelque chose d'extraordinaire. D'aussi loin que je me rappelle, elle était comme tout le monde, banal, paisible avec des hauts et des bas. J'ai connu ma femme assez jeune, à l'époque du collège, seulement quinze ans. On est sorti ensemble et de fil en aiguille avec le temps, nous nous sommes mariés à dix-huit ans. Un choix qui n'était guère aux goûts de nos parents. Puisqu'elle était d'une lignée de bonne famille, pour eux, elle devait finir avec quelqu'un qui avait "une place dans la haute société", les soirées mondaines et les cuillères en or devaient faire partie de sa vie. Quant à mes parents, mon père avait simplement du mal à accepter ce genre d'union bien trop tôt, une erreur, selon lui. Ma mère, bien que réticente, fut tout de même plus souple à la nouvelle. Quoi qu'il en soit, nous nous étions passés de leur consentement, une bague offerte avec mes économies - qui soit dit en passant m'a littéralement coûté la peau du cul - a fini à son doigt. Une petite cérémonie avec des amies proches, un prêtre et voilà que nous étions unis pour le meilleur et pire jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Contrairement à ce que l'on pouvait croire, ceci ne nous a jamais empêchées de poursuivre nos études. Moi, je voulais suivre les traces de mon père pour le rendre fier en obtenant une place dans la police, tandis qu'Élisabeth se mit en quatre en vue de devenir médecin. Je n'étais pas ce qu'on pouvait appeler un intello. Honnêtement, dès que j'avais la possibilité de faire parler mes poings, c'était toujours avec grand plaisir qu'ils remplaçaient mes mots. Pourtant, cet état d'esprit a fini par s'estomper alors que j'allais devenir père. Une surprise, que nous n'avions pas préparée et, bien que nous voulions un enfant, on ne s'attendait pas à ce que celui-ci arrive alors qu'on avait à peine vingt ans. Il y a eu plusieurs semaines de doutes, de remises en question, de cris et de larmes de la part de nos parents. Se marier fut une chose qu'ils avaient finie par tous accepter. Mais, avoir la charge d'un bébé à cet âge était une autre paire de manches. Au final, après trois mois à peser le pour et le contre, nous avons pris la décision de le garder. Ses parents me détestaient puisque j'avais en quelque sorte ruinée sa vie, bien qu'elle pût suivre pendant un temps ses études, elle devait y faire une longue pause pour s'occuper d'un enfant. Des contraires qu'on avait déjà pris en compte, mais, elle y tenait particulièrement. Cela la rendait si heureuse qu'il m'était impossible d'aller à l'encontre de son désir. Quant aux miens, bien que je me fis incendier par mon paternel, il allait de soi que je devais assumer mes responsabilités et subvenir convenablement aux besoins de la famille. Hors des questions de la laisser en plan sous peine de devoir affronter la gauche et la droite de mon père. Et il faut dire qu'il savait donner de sacrés coups quand il le fallait.

***

Les années ont fini par s'écouler jusqu’en 2016.
Nous menions une vie paisible depuis neuf ans avec une fille. Mégane. À son jeune âge, elle était déjà un mélange parfait entre sa mère et moi. Elle avait sa douceur et sa gentillesse, son sourire ainsi que sa joie de vivre. Et en même temps elle savait être têtue, elle fonçait tête baissée dans une bagarre dès que l'un de ses amis finissait impliqué. De ce fait, nous l'avions inscrit très vite à des cours de boxe, histoire qu'elle se défoule sur autre chose qu'un petit merdeux de primaire qui aurait tendance à lui prendre son goûter. On n'avait pas vraiment bougé de Londres à cette époque-là. Notre appartement avait fini par être remplacé par une grande maison dans un quartier résidentiel bien sympa. Le cliché même d'un portrait d'une bonne famille ; un grand jardin avec des barrières, deux voitures garées, une petite piscine, balançoire et autres jouets traînant un peu partout, une maison sur étage et des voisins typiques qui vous invitent chaque dimanche pour un barbecue. En soi, c'était vraiment parfait. Les liens avec les beaux-parents ne s'étaient jamais arrangés entre-temps, tout se faisait à distance. Ils pensaient aux anniversaires, à Noël, en envoyant des petites cartes avec quelques billets, mais cela n'allait jamais plus loin. Pourtant, Élisabeth avait eu largement le temps de reprendre les cours et même d'en ressortir diplômé, de quoi les rendre fiers. Néanmoins, cela ne semblait guère suffisant. Moi-même j'avais réussi, ça n'avait pas été une partie de plaisir, j'en avais bavé en pensant abandonner à plusieurs reprises, les instructeurs n'étaient pas du genre tendre. Mais à force de persévérance et d'encouragement, j'étais quand même arrivé au bout, obtenant mon diplôme en 2014, un beau cadeau pour mes 27 ans. Puis j'ai travaillé d'arrache-pied pour que tous ses efforts ne soient pas vains.

Quatre ans plus tard en 2020, j'ai dû poser ma démission. Un choix un peu dérangeant, au vu de la promotion qui me passer sous le nez. Cependant, ma femme avait des envies de changement. Un long débat à se demander si c'était réellement le moment idéal, peut-être que c'était mieux d'attendre encore un peu avant de vouloir partir. Et d'un autre côté, c'était peut-être l'occasion idéale pour elle d'obtenir une meilleure place ailleurs. Dans tous les cas, nous étions partis du principe que cela ne coûtait pas grand-chose que de tenter sa chance. Ne serait que pour voyager un peu. C'est donc à Bordeaux qu'elle a atterri en premier avec la petite, par chance nous avions un peu de familles dans le coin, ce qui a permis de prendre le temps de s'installer en habitant chez eux. Quant à moi je suis resté encore quelques mois, le temps de finir de la paperasse mais, en particulier les cartons et la vente de la maison. Puis, une fois sur le sol Français, je n'ai pas perdu de temps pour demander un nouveau poste. La place d'inspecteur se mériter, je comptais bien l'obtenir même si pour ça il fallait que je fasse à nouveau mes preuves. L’avantage dans tous ses changements, c’est que Mégane n'était pas entièrement seule dans une nouvelle ville, une nouvelle école qu'elle ne connaissait que très peu. Elle avait ses petits cousins pour la tenir compagnie en plus du chien que sa mère lui avait offerte, mais je ne me suis jamais fait de soucis pour elle, elle n'a jamais vraiment eu de mal pour s'intégrer quelque part. Notre train-train quotidien a refait surface, de quoi détendre tout le monde.
Les criminels en France me semblaient plus tordus que ceux que j'avais l'habitude de côtoyer à Londres. Le système était quelque peu différent, mais il ne fallait pas grand-chose pour trouver ces marques, il était au moins facile de se faire des collègues.

***

Et, c’est là que tout a basculé, un an après.
Tout est survenu si vite. Les journaux ne parlaient que de ça, “les infectés” comme ils disaient. Cela avait débuté à Paris, puis peu de temps après toute la France commença à être touché. La panique se fit sentir dans les rues, certains se barricadaient chez eux, tandis que d'autres savait profiter des événements pour créer des émeutes, ainsi que tout un tas d'actes de criminalités qui rendit la police dingue. C'était à ne plus savoir où donner de la tête. Nous étions tous dépassés par la situation et honnêtement, j'avais surtout l'impression de vivre un cauchemar éveillé. On avait l'ordre de protéger du mieux possible les civiles non contaminés et d'éliminer sans distinction tous ceux qui avaient le comportement d'un “zombie”. Bordel un Zombie ! C'est ce qui vit dans les livres, les films, les jeux vidéo. Mais pas dans la vraie vie. C'était inconcevable et pourtant, j'en avais eu la preuve quand deux de mes collègues déceler les mêmes symptômes. J'avais compris à ce moment-là qu'il fallait que je garde la tête froide. Je ne pouvais pas me laisser prendre à la peur et l'angoisse alors que j'avais trop de choses à protéger. Ceci devait rester au plus profond de moi, sans jamais me faire douter face à un infecté.
Mégane avait l'interdiction de sortir de la maison, elle restait en sécurité avec le reste de la famille, tandis que sa mère n'avait d'autres choix que de passer le plus clair de son temps à l'hôpital, faisant de son mieux pour aider les blessées non contaminées. La seule chose qui avait pu me rassurer en quelque sorte, c'est que nos parents étaient déjà morts de vieillesse, en outre, ils n'avaient plus soucis à se faire et, nous nous n'avions pas à craindre le pire en ce qui concernaient leur cas.

***

J'ai cru pendant un instant qu'il était possible que les choses s'améliorent, alors qu'on venait de passer une année entière à faire face à l'épidémie. La nouvelle du centre ouvert à Paris, avait de quoi redonner de l'espoir, pourtant même si celui-ci avait une chance de trouver un vaccin, il n'avait pas la possibilité de ramener tous les morts à la vie. Nous avions perdu beaucoup, amis, famille et cela ne voulait pas s’arranger. Une majorité de la police avait abandonné les rênes à Bordeaux, chacun pour soi, tandis que l'hôpital tentait de survivre.
Pourtant, tout espoir, aussi vain fut-il, disparu quand j'appris la morsure de ma femme par un infecté qui avait su entrer dans les urgences. J'ai laissé Mégane à la maison enfermer à double tour, sachant pertinemment ce qu'il adviendrait une fois contaminé et il était hors de question qu'elle voit sa mère ainsi. Pour moi, il valait mieux qu'elle garde un bon souvenir. J'ai donc couru à toutes jambes jusqu'à l'hôpital. Une part de moi prié pour que ce ne soit pas vrai, espérant qu'il ne s'agisse que d'une femme avec une forte ressemblance à la sienne. Malheureusement, la vérité fut bien plus dure à accepter. Il l'avait placé sur un lit à la morgue, loin des survivants, sa peau était brûlante de fièvre, c'est à peine si elle avait la force de parler. Je n'étais pas prêt pour ça et au fond, je pense que personne ne le peut. On ne s'attend pas à voir un être auquel tient éperdument mourir à petit feu sous nos yeux. Et on a rarement la force de faire ce qu'il faut. Elle m'a supplié durant des heures de mettre fin à ses jours. Mais j'en étais incapable. Tué ma propre femme, la mère de mon enfant, même pour protéger celle-ci… Mon cœur était brisé en mille morceaux à cette idée. Je n'ai fait que retarder l'échéance jusqu'à ne plus sentir son pou. Je n'avais pas de revolver sur moi, si ce n’était le couteau de chasse de mon père. D'une main tremblante, je me suis approché au-dessus de son corps, j'ai hésité. J'avais tous les souvenirs de notre vie ensemble qui me revenait en mémoire et les larmes ont coulées. La boule au ventre, poing serré sur le couteau, j'ai inspiré un grand coup avant de l'enfoncer avec force sur le sommet de son front. Elle était morte et j'ai cru perdre une partie de moi en retour. Je suis resté là un moment, pour la première fois de ma vie, j'ai pleuré comme jamais je n'avais pleuré auparavant. Son corps dans mes bras, je n'ai pas cessé de lui répétr de me pardonner. Si encore elle le pouvait.
Quand la force de bouger fut revenu, j'ai d'abord récupéré sa bague de mariage en l'ajoutant avec la mienne sur ma chaîne, puis, je l'ai porté jusqu'à la maison, là où je l'ai enterré dans le jardin. Je n'avais pas besoin d'annoncer la nouvelle à ma fille, elle avait clairement compris la situation en voyant ma mine détruite. Alors, je l'ai prise dans mes bras et je me suis fait violence pour ne pas lâcher prise une nouvelle fois alors que, cette fois, c'était elle qui pleurait à chaudes larmes...

***

On est resté deux mois à la maison après sa mort, tentant de survivre du mieux possible en se serrant les coudes. La joie avait souvent du mal à être présente, mais je faisais de mon mieux pour que, malgré les événements, elle puisse se sentir le plus aimé et heureuse. Ironique durant une telle apocalypse. J'ai pris la décision de lui apprendre à tirer, au vu de la situation, il fallait qu'elle sache se défendre convenablement. Et puis, du haut de ses 16 ans, elle était suffisamment mature pour pouvoir porter une arme. Elle avait donc appris à manier un revolver, mais c'est avec une arbalète qu'elle était plus l'aise et douée. Je n'aimais pas le fait qu'elle soit dans l'obligation de tuer quelqu'un, mais il s'agissait de sa vie contre celle d'un infecté, il n'y avait aucun doute sur le fait qu'elle devait rester en vie. Mégane était ma raison de ne pas sombrer, je n'avais plus aucune utilité d'être de ce monde sans elle...

***

En général on se coordonnée assez bien quand il fallait sortir et trouver des vivres, je surveillais les arrières, tandis qu'elle prenait tout ce qui était à portée de mains. Mais un jour, la vigilance n'avait pas été suffisante et un infecté l'a mordu au bras. La peur de revivre la même scène était là, alors que mon pas été pressant pour la ramener à la maison. Je l'ai mise sur un lit et, bien que nous connaissions tous les deux la suite, j'ai promis de rester auprès d'elle jusqu'à la fin. Les heures ont défilé l'une après l'autre et, à notre grande surprise, elle n'a pas perdu la vie. Sa fièvre avait fini par descendre doucement et son pou revenait à un rythme normal. C'était inexplicable. Je me sentais à la fois soulagé et même temps, un peu effrayé de ce que l'avenir pouvait lui offrir. On a pris des précautions en surveillant ça de près durant un bon mois supplémentaire. Au cas où, l'infection n'aurait simplement eu un peu de retard. Mais, par chance, elle était en pleine forme et sur pied. À partir de là, je ne me suis pas posé plus de questions. Du moment qu'elle était en vie, c'est tout ce qui m'importait.

***

La ville a manqué de plus en plus de vivres et nous n'étions plus qu'à quelques mois de l'année 2024, alors nous avons pris l'essentiel dans un sac et nous sommes parties. On n'avait pas de but en particulier, tout ce qui comptait, c'était d'avoir un endroit sûr et plus ou moins chauffer pour la nuit. On avait mis pas mal de temps à traverser les villes sur notre chemin. Il y avait toujours des infectés, ou d'autres survivants qui avaient une fâcheuse tendance à vouloir notre peau pour un peu plus de nourriture. Cela n'a pas été facile, prenant énormément de temps, mais on a réussi à remonter jusqu'à la ville de Paris. C'était sûrement un coup de chance, ou du destin, car les bombardements qui faisaient déjà rage sur tout le continent ont rapidement bloqué les entrées de celle-ci. Nous avions eu de la chance à ce moment-là d'être à bon port et en même temps, était-ce vraiment une bonne chose d'être pris au piège à l'intérieur ?


Une question qui est resté en suspens depuis une bonne année.
Et aujourd'hui encore, alors que nous commençons à prendre de plus en plus nos marques dans la ville, j'en viendrais à regretter d'avoir passé le panneau “Paris”.


Pseudonyme : Sam comme le perso, ou ce que vous voulez
Âge : 22
Blabla : Bla
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Z
Z
Fondateur
Mar 27 Juin - 22:58
Z
Coucou !

Les bombardements de Paris sont en avril 2022 (c'est écrit dans le contexte, si tu l'oublies ;) ). Mise à part ça, j'ai deux remarques concernant ta fiche :

1 - Il reste pas mal de fautes d'orthographes. Plusieurs confusions é/ait, ou un "civiles" par exemple. Si tu peux nettoyer un peu ça, en t'aidant d'un site comme scribens par exemple, ça serait top.

2- Je ne vois pas comment un policer anglais peut être muté en France. Les policiers sont nationaux, du coup je comprends mal comment ils se retrouvent à bosser à Bordeaux. Merci d'éclaircir ça :)

Voila ! Le reste est bon pour moi, donc une fois les petites modifications faites, tu seras vite validé.

Bonne soirée
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Samuel L. Taylor
Samuel L. Taylor
Rescapé
Lun 10 Juil - 19:04
Samuel L. Taylor
Terminer.
En faisant au mieux pour les modifications de fautes
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Z
Z
Fondateur
Lun 10 Juil - 21:32
Z
Salut !

Du coup, tout est bon pour nous, on te valide et je t'ajoute ta couleur rouge. Merci de passer par le bottin pour référencer ton avatar et après tu es libre de RP !

A bientôt sur le forum
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