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Doll
Doll
Rescapé
Sam 28 Avr - 0:11
Doll

Âge : 20 ans.
Groupe : Humanistes.
Nationalité/origines : Française.
Immunisé : Ne sait pas.
Situation conjugale : Célibataire.
Situation familiale : Sa grande soeur est peut-être en vie, n’en sait rien.
Place dans le clan/tâche : Mascotte…?
Arme : Canne d’aveugle avec un couteau scotché en son bout.

Carnation : Caucasienne
Taille : 1m63.
Corpulence : Environ pas grosse.
Cheveux : Cheveux blonds, courts et un peu négligés. Une mèche trop longue cache régulièrement son oeil droit.
Yeux : Noisette.
Style vestimentaire : Presque toujours le même sweatshirt noir, ample et trop grand pour elle. Les manches recouvrent ses mains, avec ça, jean troué, délavé, sale et chaussures du même genre.
Signe distinctif : Doll a quasiment perdu la vue. son regard est terne, le contour de ses yeux et rougis. Elle fixe souvent un point un peu trop bas ce qui fait qu’elle a souvent l’air de baisser la tête lorsqu’elle parle. Elle reste cependant souriante.

ft. Shirasaka Koume de Cinderella j’sais pas quoi
Dolorès “ Doll “ Sébille
Souvent trop enthousiaste et enfantine malgré sa condition. Elle sait s'amuser avec un rien tout en restant très émotive, cela lui arrive de pleurer pour un rien en écoutant les histoires des autres. Elle se lie très rapidement d’amitié et l’un de ses défauts serait peut-être qu’elle fait bien trop facilement confiance aux gens. Niveau défauts, elle est aussi très dans la lune et naïve comme pas possible, comme elle fait facilement confiance il est assez aisé de la manipuler. Gloutonne, limite vorace, elle regrette la pénurie de bonbons et de chocolat plus que tout au monde.

Aussi, Doll ne sait pas être sérieuse, genre jamais. Aime un peu trop braver les interdits, elle est très curieuse, bavarde, limite insupportable selon les personnes. Très très altruiste, elle fait souvent passer les autres avant elle et aimerait que tout le monde puisse être heureux par les temps qui courent. La jeune fille est aussi plutôt maladroite dans son genre.

Il lui arrive d’être tout de même malheureuse à cause de sa condition et a trop souvent l’impression d’être un poids mort pour les autres qui doivent s’occuper d’elle. Incapable de se défendre efficacement ou presque.
.
J’avais 16 ans lorsque tout a commencé, je me souviens surtout des choses à partir d’octobre, en 2021. Tout le monde commençait vraiment à avoir peur et à s’agiter partout. On voyait l’armée dans les rues et des fois on entendait même des coups de feu. Il y en avait surtout près du collège où j’étais, en troisième à ce moment là. Mais les monstres, je les appelait comme ça à l’époque je ne savais pas que ça seraient des zombies.. On ne les voyait donc pas trop puisque les militaires étaient là pour nous protéger.

J’ai vu mon premier monstre en novembre, pas qu’un seul d’ailleurs.. Un matin, les soldats n’étaient plus du tout là, plus du tout devant le collège, ni dans les rues ni nulle part. Plus aucun coup de feu pour nous faire sursauter toutes les demi heures, Paris était redevenue calme mais personne ne s’est dit que c’était parce que tout était redevenu normal. On avait encore plus peur de ne plus les voir à vrai dire, et au final on avait bien eu raison. On attendait l’ouverture des portes pour aller en cours quand ils sont sortis de partis attirés par les conversations et les voitures peut-être. Ensuite, les cris. On avait pa tout de suite remarqués, c’est quand ils se sont mit à foncer pour dévorer des gens que la panique a éclaté. Tout le monde s’est mit à courir dans tous les sens, les surveillants ont ouverts les grilles pour faire entrer les élèves, je suis entrée aussi. Et après, ils ont fermés les portes. Je.. Tout le monde n’avait pas eu le temps d’entrer quand ils ont fermé ces grilles, pendant plusieurs minutes on avait entendu les cris dehors. J’en fais parfois encore des cauchemars.

On est restés très longtemps dans le collège, c’était un endroit plutôt sûr comme il était bien entouré de grilles solides. Les militaires ne revenaient toujours pas, des adultes commençaient sérieusement à perdre espoir. Les plus jeunes ne comprenaient pas, moi-même je ne comprenais pas je n’avais pas assez de recul, et comme j’étais seule j’avais juste trop peur pour pouvoir réaliser. Je n’avais pas de téléphone pour chercher à contacter mes parents ni ma soeur, mon père était strict là-dessus, il n’avait jamais voulu qu’on parte en cours avec nos téléphones alors là, pour le coup, ça nous portait préjudice.. La première semaine dans le collège, ça a été horrible, par les fenêtres on pouvait voir les zombies courir, à cette époque ils étaient tous frais, ils couraient dans tous les sens. Ils sautaient sur les pare-chocs des voitures qui tentaient de passer, ils se jetaient des balcons pour attraper les gens en dessous. Ils étaient tellement vifs. Au fil du temps, on les voyait un peu ralentir, mais jamais assez. On avait de plus en plus faim puisqu’on avait eu à manger ce qu’il y avait dans la cantine. Déjà c’était pas très bon, mais en plus il n’y avait plus d’approvisionnements. Quelque-part durant le premier mois, les choses ont changées. Penelope, ma grande soeur a réussi à arriver de nuit, elle avait fait peur à tout le monde, mais comme les surveillants la connaissaient, ils ne l’ont pas jetée dehors. Elle était venue me trouver, et quand on s’est vues, on s’est jetées dans les bras l’une de l’autre. J’ai directement demandé comment allaient les parents et elle m’a répondue qu’elle n’en savait rien. Elle s’était cachée dans le lycée Voltaire, son lycée. Ironiquement c’est devenu la base des Humanistes un peu moins d’un an plus tard. Elle avait d’abord cherché à me trouver, et voulait contacter nos parents ensuite.

En fait. Elle l’avait déjà fait, mais je n’en ai jamais rien su, je ne l’ai compris que plus tard. Elle, elle gardait son téléphone sur elle, à l’école. Ils ne lui ont juste jamais répondue, puisqu’ils devaient êtres morts. C’était pour ça qu’on est jamais retournées vers chez nous. Au lieu de ça, Penelope avait fait comme si les routes vers chez nous étaient trop dangereuses et je l’ai crue. On est pas restées plus longtemps au collège, je n’ai jamais su ce qu’ils étaient devenus.. Enfin, j’ai ma petite idée mais..

Nous sommes restées longtemps dehors. On voulait sortir de Paris, je suivais Penelope là où elle allait, on avançait très lentement car les rues étaient loin d’êtres sûres. Les zombies avançaient moins vite mais ils étaient des centaines. Il fallait faire très attention dehors. On ne pouvait pas se permettre de laisser les zombies nous trouver ou nous voir dans les rues. Ma soeur, elle savait y faire. Des fois on voyait des gens, des vrais vivants, mais elle ne voulait pas qu’on les aborde, elle voulait qu’on reste seules. Les rares fois où on s’est retrouvées avec des gens, Penelope faisait absolument tout pour qu’on s’en sépare vite. Mais.. Un sale jour, tout a encore empiré. On avait pas été assez rapides à quitter Paris.

C’était en.. 2022. J’avais même pas réalisé qu’on avait changé d’année avant mi janvier. M’en rendre compte m’avait rendue triste, on avait pas pu voir grand-mère, grand-père.. Mes tantes, mon oncle, mes cousins.. Le pire, c’est qu’ils devaient tous êtres morts à cette heure.. Bref. Un jour, on a entendu de drôles de bruits alors qu’on était dans un bâtiment. Je me souviens, le plus ironique c’est qu’on était avec des survivants ce jour là. On avait pas pu faire autrement.

Soudain, le monde s’est écroulé. Des bombes nous sont tombées dessus ! C’était horrible, on avait pas eu le temps de réaliser, le sol s’est mit à trembler, je crois qu’une bombe ou deux on explosées juste à côté de là où nous étions. Heureusement il y avait une cave où on s’est réfugiées avec ma soeur et d’autres. Le problème, c’est qu’il y avait une chaudière, des tuyaux partout. Une bombe a explosé le bâtiments et le gaz s’est embrasé, soufflé par l’explosion. Un tuyau s’est percé. C’est la dernière chose que j’ai vu, le tuyau rougir violemment et du gaz en jaillir très fort sur mon visage. J’ai souffert le martyr. Je n’arrêtais pas de hurler, les mains sur le visage. Les explosions ont cessées aussi vite que ça avait commencé. Penelope a essayé de me soigner, tout ce qu’on avait pu faire pour moi ça avait été de me mettre un bandage autour de la tête pour cacher mes yeux. Je n’ai jamais plus rien vu depuis ce jour. Juste un voile devant moi de différentes teintes de noir, de gris, je peux avoir une très vague idée de ce qu’il y a devant moi, mais si je ne touche pas avec mes mains ou la canne qu’on m’a trouvée, je ne peux pas en être sûre.

Après ça, quitter Paris semblait impossible selon Penelope. Les bombes n’avaient pas tué les zombies, loin de là, et ça en avait même attiré d’autres. Les survivants eux, sont devenus plus rares d’après elle. Mais elle était souvent silencieuse, moi, j’avais peur, je n’avais plus que ça pour me référer à l’espace qui m’entourait. Elle.. Penelope, elle en avait marre, pendant deux ou trois mois, on a errées. Je ne savais même pas où on était. Une nuit, je savais qu’il faisait nuit à cause du froid, Penelope m’a serrée dans ses bras, elle pleurait un peu, je pense qu’elle ne savait pas que je savais, elle m’a dit qu’elle m’aimait. Qu’elle était fière de moi, que je sois aussi forte, puis.. On est parties dormir. Sauf que je n’ai plus jamais entendu le son de la voix de Penelope. Elle était partie. Peut-être qu’elle n’en pouvait plus de devoir me surveiller, qu’elle se disait que je ne m’en sortirai jamais.. Eh bien, elle avait raison, je suis restée des jours dans cet appartement, j’espérais qu’elle revienne, en vérité. Cela n’arriva jamais.. Elle m’avait laissé presque toute la nourriture, du coup j’ai pu m’en sortir comme ça, à pleurer toute seule.

Penelope ne revint jamais, mais ce sont les Humanistes qui m’ont trouvée. Ceux qui m’ont trouvée n’en revenaient pas. Ils m’ont ramenée au lycée Voltaire où ils venaient tout juste de s’installer apparemment. J’y ai vécu longtemps, puis on a déménagés. Je n’y vois toujours rien, ça ne s’est pas beaucoup amélioré, j’ai perdu espoir d’y revoir un jour. Mais ce n’est rien. Je fais ce que je peux pour aider mais c’est difficile avec ma condition.


Pseudonyme : Soozo
Âge : 21 ans
Blabla : Ouaiiiiis je sais. Encore un perso.
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Z
Z
Fondateur
Ven 15 Juin - 15:31
Z

Validée

Re bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur bleue.

Maintenant que tu es validé, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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