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Ameline de Lacour ~ La sulfureuse

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Ameline de Lacour
Ameline de Lacour
Rescapé
Localisation : A la bibliothèque du musée, en train de lire L'art de la Guerre.
Mer 25 Juil - 23:06
Ameline de Lacour

Âge : 27 ans.
Groupe : Elitiste
Nationalité/origines : Française
Immunisé : oui.
Situation conjugale : Deux partenaires reconnus: l'Eugéniste et le chef de la caste des Guerriers.
Situation familiale : Parents dont elle a perdu le contact. Morts vraisemblablement.
Place dans le clan/tâche : Porteuse.
Arme : Ma langue acérée.

Carnation :Blanche
Taille : 1 mètre 68
Corpulence : Longiligne, une cinquantaine de kilos.
Cheveux : Noirs, longs et légèrement ondulés.
Yeux : Bleu perçant, outremer la plupart du temps.
Style vestimentaire : Le plus souvent des robes noires longues et près du corps au décolleté élégant.
Signe distinctif : Une chevalière aux armoiries de sa famille, cadeau de son père. La cicatrice d'une morsure sur l'avant-bras gauche souvent caché. Un collier de porteuse arborant deux médailles, symboles de mes relations entretenus.

ft. ... de ...
Ameline de Lacour

 
Commençons par le plus évident : je suis très belle. De longs cheveux ébène et soyeux, une peau d'albâtre et douce sans défaut, une bouche pulpeuse au sourire enjôleur… Des yeux de biche d'un bleu profond encadrés par des sourcils parfaitement dessinés. Un corps aux belles propositions et aux jolies formes. Non vraiment, je suis sublime. Je le sais. J'en joue. Mon corps est une arme. J'en prend d'ailleurs grand soin avec les moyens de cette nouvelle époque.

De par mon éducation, mon port de tête est altier, je me tiens toujours bien droite, fixant toujours les yeux mes interlocuteurs. On dit souvent que j'ai l'air froide, hautaine comme toutes les gosses de riches de l'ancienne époque. C'est vrai et j'en suis fière. Fière du noble héritage de mes parents, fière de ne pas être une mécréante, une sans dents, sans élégance ni majesté. Par les temps qui courent, il y en a bien trop. Par ma simple présence, les élitistes soulignent leur supériorité sur les autres “tribus” de Paris : mes toilettes et ma grande distinction sont un atout de charme et une vitrine de notre richesse.

Vaniteuse ? Provocatrice ? Hypocrite ? Toutes ces étiquettes me correspondent. Toutes me vont. Je les représente fort bien. Mais mes pauvres amis : c'est le jeu. Le jeu du pouvoir et des intrigues. Ça vous semble futile ? Fort bien, en attendant, je suis au chaud, nourris, logée et soignée, bien loin de votre quotidien à vivre dans la peur, la boue et le froid. J'ai toujours été ainsi, on m'a apprise à l'être, à toujours masquer les fissures, les faiblesses sous un beau masque lisse plein d'assurance et de fatuité.

Exprimer ses émotions ? Une prise donnée en cadeau à ses ennemis pour nous acculer. Vous ne me verrez donc pas montrer mes émotions sauf lorsque cela s'avère utile. Quelques larmes versées peuvent ouvrir des vannes de compassions fortes utiles, quelques cris de rage, éveillées de la peur ; quelques rougissements, une expression d'intérêt sincère. C'est si amusant !

Pouvoir manipuler ainsi mon entourage me procure un puissant sentiment de contentement, de contrôle. Et que j'aime le contrôle, l'ordre, la propreté. Je suis sans doute maniaque. Quel doux défaut… D'où l'importance pour moi d'avoir une suivante efficace et malléable à souhait. Une chemise mal pliée, de la poussière ou un livre mal aligné et je suis au plus mal ce qui se traduit très rapidement par “l’expression” de mon mécontentement.

Ne vous avisez donc pas de me décevoir, de vous révéler incapable de satisfaire mes exigences. Je n’ai aucune patience ni même d’empathie face à ceux qui échouent. Mes colères sont d’ailleurs connus de tous et redoutées. La frustration, le mécontentement, je gère mal ces émotions, mais que voulez vous, tous mes désirs ont toujours été exaucés…

Qu’en est-il du besoin d’attachement ? De l’affection ? De la confiance ? Rien. Je ne vous en porte pas. Aucunement. Vous n’êtes que des rats, des nuisibles, des parasites, tout comme moi. Au moins, ai-je l'honnêteté, que dis-je la lucidité de m’en rendre compte contrairement à vous qui me regardez de haut, qui vous pensez meilleur que moi. Continuez donc de vous bercer d’illusions, de me juger, de me dévisager tel un animal étrange et méprisable. Confortez-vous dans vos illusions et effondrez vous lorsque vous vous rendrez compte de notre ressemblance, le monde n’en sera que meilleur et je continuerai ma route. Comme toujours.

Rare sont ceux à attirer mon attention, mon intérêt. Encore plus rare sont ceux qui me donne envie de croire en eux, de les suivre. Ne me parlez pas d’amour, de l’importance des sentiments dans notre vie, ce ne sont que des fadaises. De jolis mots, de belles images, de douces sensations, mais éphémères, incertaines, incontrôlables. Mes parents sont morts. Je n’ai plus personne à aimer. Tenez-le pour acquis.

Esprit vif et aiguisé, charme et séduction, élégance, maîtrise de l’art de la conversation, autant de qualités et de compétences qui me sont reconnues et utilisées lors des rencontres d’importance. Il ne sera donc pas rare de me voir lors de tels événements auprès de la Dame pour représenter notre caste et impressionner les rares visiteurs. Préparez-vous à être éblouis et à nous envier, peuplade de Paris.

Ma détermination sera toujours sans faille, aucun scrupule ne bridera la poursuite de mes objectifs. Celle d’assurer mon avenir dans ce clan, de conserver mes privilèges et de les faire fructifier. Celle de rester sur le devant de la scène au plus près de l’Eugéniste que ce soit dans son lit, que dans son esprit. Je continuerai de tisser ma toile, d’écarter fermement toutes rivales tout en les gardant à l’œil, d'acquérir toujours plus d’influence et de secrets.

Je perdurai et mon nom avec moi.

Continuez de me sous-estimer, la tâche ne m’en sera que plus facile pour vous éliminer.

Mes salutations les plus distinguées et sincères,

Ameline de Lacour.



 
De Lacour.

Une particule qui a toute son importance.

Un nom prestigieux que ma famille porte avec fierté depuis des décennies. Un nom d’autant plus important qu’ils nous distinguent du reste de la plèbe.

Je descends d’une famille anoblie sous le Premier Empire. Des arrivistes pour les familles plus anciennes, de redoutables commerçants pour d’autres. C’est par notre sens des affaires et l’immense fortune qui en a découlé que nous avons pu nous élever socialement. Et il en est resté ainsi jusqu’à ma naissance. Même plus encore.

Ameline de Lacour, unique héritière de l’Empire immobilier de son père, Léopold de Lacour, tel est mon nom. Comme vous l’avez sans doute deviné, je suis née et j’ai grandi dans un environnement privilégié.

Soins, attention, vêtements, jouets, … Tous mes désirs ont toujours été comblés, à tel point qu’il me parait naturel que chacun de mes souhaits soient exaucés. Dès ma plus tendre enfance, mon père et ma mère m’ont placé sur un pied d’estale, étant le seul enfant qui fut le fruit de leur union. Mon arrivée en ce monde avait été ardemment souhaitée, mais tardive. De fait, ma mère ne pouvant plus avoir d’autres enfants, je suis devenue leur princesse. La chose la plus précieuse à leurs yeux. Leur plus grand espoir. Celui de perpétuer glorieusement notre nom.

Ne croyez pas que j’ai eu une vie facile, dans l’insouciance. Mes parents m’ont préparé à prendre leur suite, à prendre en main l’empire qu’ils finiraient par me laisser. Mon éducation fut donc stricte, me poussant à toujours plus me surpasser, à développer mon intelligence et mon goût de l’excellence. Cela me convenait parfaitement.

Rien ne me rendait plus heureuse que de rendre fier mes parents en revenant de l'école couverte de distinctions et de compliments. Je ne voulais pas les décevoir et encore maintenant, c’est le cas. À tout prix. Déjà, à l’époque, il n’était pas rare que pour m’assurer les honneurs, je ne conspire, manipule mes semblables. Sans vraiment en ressentir de honte ou de culpabilité : ils n’étaient que des pions à habilement déplacer. Mais, soyez sans crainte : ils me le rendaient bien. M’appelant la sorcière, la chouchoute et toutes sortes de sobriquets, ils m’évitaient, me détestaient et n’hésitaient pas à me harceler. À partir de là, qu’y avait-il de mal à me servir d’eux ?

Ce n’est que bien des années plus tard, lorsque ma beauté fleurit dans toute sa splendeur que je commençais à attirer. À être entourée. Courtisée. Des personnes qui, autrefois, me haïssaient, me conspuaient, tentaient par tous les moyens de rentrer dans mes bonnes grâces. D’un sourire éblouissant et d’une magnanimité souveraine, j’acceptais. Sans jamais oublier le passé. Sans avoir une arrière-pensée. Sans avoir réfléchi à la meilleure manière de les utiliser. Tissant une toile de beaux noms, je me forgeais un solide carnet d’adresses qui me servirait, plus tard, à gravir les échelons dans la société de mon père. Comme il me l’avait appris.

En effet, dès mon entrée au lycée, mon père me donna des cours particuliers sur le milieu des affaires et toutes les ficelles permettant de mener à bien toutes sortes de projets, toutes sortes de combines pour faire fructifier nos possessions. De ma mère, j’appris le tact et l’étiquette de la vie en bonne société. Recevoir, discuter, écouter, patienter, déceler furent les nombreuses leçons qu’elle me donna. Tenir mon rang en soi. La parfaite combinaison du charme et de l'intelligence voilà ce qu'ils souhaitaient que je devienne.

C'est aussi au cours de cette période que les premiers émois amoureux arrivèrent. Les premiers baisers, les premières caresses, les premières transgressions. Que c'était amusant. Je découvrais ainsi les plaisirs de ces moments fugaces, mais aussi ceux moins agréables des crises de jalousie, du chantage affectif. L'amour sérieux ? Très peu pour moi. J'étais volatile, versatile, passionnelle, libre. Je consommais vite, me lassais vite. Ils étaient tous bien gentils, mais je n'avais pas besoin de leur bonté. Je voulais un partenaire. Trouver mon égal. Pas un amoureux transis. Encore une fois, je me calquais sur l'exemple de mes parents. Ils ne s'aimaient pas, mais marchaient pourtant dans la même direction en se complétant parfaitement. Que demander de plus ?

J’eus à peine le temps d’obtenir mon Bachelor Commerce International que la fin du monde ébranla mon destin tout tracé. Mes parents étaient alors en déplacement à l’étranger pour un congrès. Ce jour-là, ils m’appelèrent à une heure anormale, en proie à la terreur la plus absolue. Ils me supplièrent de me barricader chez nous et de renvoyer les domestiques pour ma propre sécurité. Dans un enchaînement confus, ils me parlèrent tour à tour de scènes d’apocalypses, de morts et de l’amour qu’ils me portaient et me porteraient toujours. Des hurlements derrière eux stoppèrent net la conversation et ils raccrochèrent.

Ils sont morts ce jour-là et ce fut la perte la plus douloureuse que je n’ai jamais connue. Une douleur si profonde que je crus mourir. Que je restais prostrée durant des heures sur le sol de ma vaste chambre. Quand enfin, je recommençais à bouger, tiraillée par la faim, je remarquais immédiatement le silence anormal qui s'était abattu sur le triplex. Plus personne n’était là : ils avaient tous fuis. M’avançant vers l’une des immenses vitres de l’appartement, je pris pour la première fois conscience que les multiples rumeurs entendues ces dernières semaines étaient fondées. Le chaos s’était abattu sur la France et sur Paris. Posant mon front contre le verre froid, je contemplais de ma hauteur les flammes, les explosions, les panaches de fumée, les mouvements de foule… C’était terrifiant. Absolument terrifiant. Et cette horreur n’épargnait pas l’hyper centre.

Tout allait changer et je me retrouvais seule.

Les quelques semaines qui suivirent, je suis restée dans l’immeuble d’une vingtaine d’étages où je vivais. Cloîtrée au début, puis, pour trouver de la nourriture, je me suis aventurée dans les étages inférieurs. Toujours sans croiser personne… Jusqu’au moment où je suis arrivée au deuxième étage dans la cage d’escalier et que je découvre un carnage. Du sang partout. Des corps fracassés qui pourtant continuaient de bouger. Leurs yeux blancs vitreux fixant le vide. Je poussais un hurlement strident attirant irrémédiablement l’attention de ces monstruosités.

Une course-poursuite s’engagea dans les étages et je parvins, je ne sais comment, à réussir à fermer une double-porte à incendie et à la verrouiller au dixième étage. Cependant, je fus mordu à l'avant-bras. Dans la panique, j'eus un regain de force et je repris mon ascension pour retourner chez moi. Réfléchissant au meilleur moyen de me tirer de ce guêpier, je portais mon attention sur la cage de l’ascenseur. Il n’y avait plus de courant depuis quelques jours. M’armant d’un club de golf de mon père, je forçais, non sans mal, les portes de la cage de l'ascenseur. Un gouffre noir d’où se répercutait les bruits des étages inférieurs. Je frissonnais.

Remontant dans ma chambre, je préparais rapidement un sac, mêlant vêtements, dernières vivres et effets personnels. Des grondements sourds suivis de tremblements me prirent alors de court. Relevant le nez, je vis depuis les vitres des avions au loin, larguant des… Des bombes ! Sanglotant, n’en croyant pas mes yeux, je vis les obus tomber en pluie infernale sur Paris. Des flashes orangés, le souffle visible des explosions emportant tout sur leur passage, les tours qui semblaient ne faire qu’un avec le ciel tombaient comme des châteaux de cartes. Lentement. Mes yeux écarquillés perçurent immédiatement le danger. Il n’était plus temps de se lamenter : j’étais en danger de mort.

C’est ainsi que je me retrouvais dans la cage de l’ascenseur à essayer de descendre tous ces étages le plus vite possible. Le bâtiment ne cessait de trembler, des grincements inquiétants parcouraient toute la structure. Il fallait que je sorte ! Vite ! La descente me parut interminable. Finalement, mes pieds entrèrent en contact avec le toit de l'ascenseur et une idée glaçante me vint : que je ne puisse pas atteindre le rez-de-chaussée, bloquée par la cabine. Ouvrant la trappe sous mes pieds, me laissant tomber dans la cabine, je tentais de faire abstraction du sang sur le sol, des traces de mains et de doigts sur les murs. Un sac avec une petite peluche d’enfant se trouvait également là. Je me mordillais les lèvres, en proie à une tristesse qui ne m’étais pas coutumière. Une explosion soudaine et puissante me surprit alors, me ramenant dans la réalité comme un coup de fouet. Partir. Vite. Par chance, la porte de l’ascenseur était restée à demi-ouverte. Second coup de chance : j’étais au rez-de-chaussée.

La vision de la nuée de morts-vivant à l’extérieur m’arrêta quelques secondes, mais eux-mêmes n’en menaient pas large : ils avaient l’air de se diriger simultanément vers les multiples sources de bruits causées par les bombardements. Il en résultait de mouvement de foule par à-coup. Ca n’en restait pas moins monstrueux à observer. Le bruit d’un avion me parvint alors : il était temps. Prenant une profonde inspiration, je me lançais dans une course éperdue pour tenter d’échapper aux bombes et aux zombies. À peine eus-je fait deux cent mètres qu’une bombe tomba sur le quartier et me souffla dans l’explosion. Une fois de plus, je crus mourir. Je dus être inconsciente un moment : il faisait nuit lorsque je repris mes esprits. À moitié ensevelis sous les gravats, mon corps douloureux ne voulait plus bouger, ma tête était lourde et je frissonnais continuellement. La morsure… Bon dieu !

Des faisceaux de lumière. Des lampes. Des humains. Il faut… Il faut qu’ils me voient. Je poussais dans un souffle un appel au secours qui fut entendu. Bien vite, les lumières furent braquées sur moi et des bras m’extirpèrent. Je sombrais de nouveau dans l’inconscience.

Les Élitistes.

L’Eugéniste. Son groupe. Ce sont eux qui m’ont recueilli. Sauver la vie même. Rapidement, ils se sont aperçus que j’avais été mordue. Au lieu de tout de suite m’éliminer, ils ont attendu de voir si j’étais résistante. Immunisée comme ils disent. Je l’étais. C’est leur chef qui m’a raconté tout cela une fois que je fus à peu près remise. Il m’a expliqué la fin du monde, qui était derrière les bombardements, qu’est-ce qu’étaient les morts-vivants. Les infectés. Il m’a tout dit, tout exposé en des termes froids et nets. Il m’a aussi parlé de son projet. De sa conviction que seul les immunisés pourraient s’adapter à cette nouvelle époque et développer une nouvelle civilisation. Il aurait besoin de moi. En tant que porteuse pour créer et développer une nouvelle génération d’immunisés.

J’ai accepté. Sans beaucoup hésiter. J’ai vu au cours de ma convalescence comment ils traitaient le reste des survivants… Ce qu’ils devenaient : des esclaves. Rien que de prononcer ce mot me donne des frissons ! Si j’avais eu droit à un traitement de faveur, c’était qu’à l’instar de deux autres greluches, j’étais très belle et immunisée. Les égards dont on faisait preuve envers elles m’avaient tout de suite fait comprendre l'intérêt d’en être une. Tout plutôt que de me retrouver seule dans les ruines ou pire de finir esclave… Je suis restée.

Bien vite, le groupe a grandi, grossis. Il fallait maintenant qu’il s’installe de manière pérenne dans un endroit solide, défendable et grand. Le musée de Cluny. À partir de là, mon confort s’en est trouvé largement amélioré. J’avais, de plus, approché les bonnes personnes dans les proches de l’Eugéniste ce qui me valait certaines faveurs… Le Capitaine notamment, l’un des lieutenants du clan. Ce cher Samuel… Je crois même qu’il nourrit envers moi plus que de simples envies charnelles. Et c’est très bien ainsi. Il est parfois trop sanguin et jaloux, mais il m’est très utile pour connaître les intentions de l’Eugéniste, les avancées des sujets sensibles au sein du musée. Il connaît aussi très bien ses semblables et leurs petits secrets qu’il me confie après l’amour. Très utile. Mais mon but est ailleurs. L’Eugéniste. La tête pensante. Là est mon but. Là est mon égal. Là est mon salut pour mon statut, pour m’assurer le contrôle de mon bout de royaume.

Quatre ans après avoir rejoint les Élitistes, ce fut chose faite. Par une froide nuit d’hiver, l’on vint toquer à ma porte en m’enjoignant de rejoindre la tour de l’Eugéniste. Je touchais du doigt mon objectif. Régulièrement, je fus mandée auprès de lui jusqu’à ce début d’année où j’appris que j’étais enceinte. J’étais comblée, rendez-vous compte ? L’une des premières porteuses à être enceinte. Au zénith. Tous mes caprices étaient exaucés. Même celui d’avoir une esclave a mon service exclusif. Une vulgaire créature nommée Lysia, mais au combien douée pour s’occuper de moi en silence.

Tous ces heureux événements ne sont que l’annonce de mon triomphe à venir. Préparez-vous, la dynastie des Lacour n’est pas prête de s’éteindre.


Pseudonyme : Blah.
Âge : 22 ans
Blabla :Dc de Sarrah
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Hélyne Meyer
Hélyne Meyer
Survivant
Jeu 26 Juil - 13:01
Hélyne Meyer
Bon courage pour ta fiche :3 je suis vraiment contente de voir une autre porteuse, ça va pouvoir nous donner des possibilités de RP à toutes les deux ;)
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Ameline de Lacour
Ameline de Lacour
Rescapé
Localisation : A la bibliothèque du musée, en train de lire L'art de la Guerre.
Mer 15 Aoû - 18:46
Ameline de Lacour
Fiche terminée mes chers concitoyens. xD
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Z
Z
Fondateur
Sam 18 Aoû - 1:16
Z

Validée !

Re-Bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct. Par contre, si quelqu'un veut créer et donc jouer l'eugéniste, il va falloir que tu le contactes par MP pour tout organiser avec lui par rapport à la relation. Je pense que je n'ai rien d'autre à rajouter, donc je te valide et je te rajoute ta couleur orange.

Maintenant que tu es validée, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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