AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

 

 :: Les survivants :: Leurs identités :: Les fiches validées Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Kurt
Kurt
Rescapé
Dim 26 Aoû - 14:16
Kurt

Âge : 27 ans
Groupe : La Meute
Nationalité/origines : Française
Immunisé : Oui mais ne sait pas
Situation conjugale : Libre pour le moment
Situation familiale : Ne sait pas ce que sont devenus sa mère, ses frères et ses sœurs
Place dans le clan/tâche : Bêta
Arme : Une machette, un push-dagger, quatre dagues de jet

Carnation : Noire
Taille : 1,85M
Corpulence : Mince et assez musclé
Cheveux : Cheveux bruns mi-longs
Yeux : Noisette
Style vestimentaire : Des vêtements pratiques de type urbain qu'il récupère, sombres de préférence
Signe distinctif : Un corps de fauve pour une démarche naturelle de félin

Kurt
La vie n'a pas toujours été injuste et cruelle pour moi mais une certaine injustice m'a endurci, m'a rendu impitoyable, voire cruel envers ceux que je considère comme mes ennemis. Je crois en la loi du plus fort, en la loi du talion, œil pour œil, dent pour dent, voire pour un œil, toute la gueule. J'ai l'air calme mais il ne faut pas me contrarier ou m'insulter. Impulsif, je suis violent et prompt à punir ceux qui ne méritent alors plus de vivre. Mon coté impitoyable est avéré : Si je suis amené à me battre à mains nues, je ne m’arrêterai qu'après avoir mutilé à vie ma proie. Si je sors ma lame, c'est pour tuer celui qui devient l'ennemi. Néanmoins, je sais observer, jauger les forces et éventuelles faiblesses de mes adversaires comme de mes alliés.

Protéger les miens est inné chez moi. Mon autorité sur les gamma ne dépasse pas les limites du commandement spécifique qui m'a été confié par l'alpha : Pas de zèle. J'aime paradoxalement l'esprit de compétition qui règne dans la meute, tous ces loups qui convoitent la place d'alpha mâle, j'en fais d'ailleurs partie. Cette ambition fait partie de mon être. Quand j'étais l'alpha de mes potes, j'étais davantage leur ami que leur chef. J'ai pris de la distance en prison avec ça parce que ça pouvait être perçu comme une faiblesse. Je suis un peu plus réservé, limite paranoïa mais pas dans le sens psychiatrique, disons que je suis prudent en toute circonstance. Même si je suis loyal à la meute et particulièrement envers Catherine que je trouve fascinante, je sais aussi saisir une opportunité quand elle se présente à moi.
Je suis né d'une mère gendarme et d'un père commando dans l'armée française. On sent déjà comme un parfum de discipline, à juste titre. Aîné de cinq enfants, j'avais deux frères et deux sœurs, des jumelles qui étaient aussi les dernières nées avec quatre ans de moins que moi. Ma famille déménageait souvent, que ce soit en France métropolitaine ou dans les Départements et régions d'Outre Mer.

Après la naissance de mes sœurs, nos géniteurs étaient à nouveau trop souvent absents, prenant part entre autres à plusieurs guerres. Ils nous confiaient d'abord à des nounous, puis c'est moi qui ai peu à peu rempli cette fonction. A neuf ans, je faisais la cuisine, je leur faisais faire leurs devoirs. Par contre pour le ménage, ils ont été rapidement mis à contribution. J'étais leur alpha, le chef de ma petite meute et j'en étais fier.

Mes parents avaient une passion pour le survivalisme, ils se sont connus comme ça. Ils m'ont appris pas mal de choses au fil des ans : me déplacer en silence, sentir d'où venait le vent, pratiquer les premiers soins, m'organiser en situation de crise, m'adapter en principe à toutes les situations, avoir un sac d'évacuation à portée de main, poser des pièges, les désamorcer, crocheter des serrures, savoir fabriquer du savon avec divers matériaux disponibles, me couper les cheveux tout seuls, entre autres. A cela s'ajoutait l'apprentissage précoce du close combat puis du maniement des armes blanches. S'y ajoutaient plus tard les armes de jet et les armes à feu même si je suis très loin d'être un tireur d'élite. Ca ne m'a jamais vraiment intéressé mais le reste, oh que oui.

C'était à moi d'enseigner ce que j'avais appris à mes frères et mes sœurs. Même si ce n'était pas méchant, on se bagarrait davantage que dans d'autres familles. Les quatre se liguaient alors contre moi et me donnaient du fil à retordre. Sans rire, j'ai acquis auprès d'eux presque autant d’expérience qu'avec mon père, c'est dire.

Certaines anecdotes de ma vie seront racontées plus tard, je préfère relater les événements liés entre eux. Ainsi je me dois d'évoquer le frère cadet de mon père, le seul autre membre de la famille que nous avons connu. C'était un homme au tempérament pacifique et un séducteur patenté. Il gagnait très bien sa vie en donnant des spectacles de danses martiales telles que la capoeira et de combat rythmé, enseignait à sa façon les arts martiaux et avait encore plus la bougeotte que nous. Par un heureux hasard, il "travaillait" souvent dans la même ville que mes parents, ça me faisait plaisir parce que j'appréciais sa compagnie. Avec lui, on s'amusait plus, musique, danse, de courts moments festifs. Mes parents se moquaient ouvertement de lui parce qu'il était non-violent. Tout ça parce qu'il avait réussi à maîtriser par le passé quelques agresseurs en blessant uniquement leur ego.

Au cours des années, il faisait partie des experts en arts martiaux dont les techniques m'ont permises de mettre peu à peu au point mon propre style de combat. Tonton m'enseignait aussi l'art très pratique du massage. Il nous aimait beaucoup, mes frères, mes sœurs et moi. Il nous aimait comme ses propres enfants. Ca aurait du me mettre la puce à l'oreille.

Mes parents ont fini par accepter une promotion les amenant à exercer un travail dit de bureau à Paris. J'avais alors presque dix-huit ans. Je m'y suis fait plein de potes. Avec eux, on se baladait dans tout Paris jusqu'à ce que je connaisse par cœur les moindres ruelles. Je savais où tel commerce se trouvait, j'aurais pu me diriger les yeux fermés. On était une meute et j'étais devenu leur alpha sans même avoir à me battre. Une des filles de la bande m'a surnommé Kurt, ce qui signifie loup en turc. Je trouvais que ça m'allait bien et la meute a commencé à m'appeler ainsi. Ce surnom ne m'a pas quitté.

Après mon baccalauréat, j'ai décidé d'accentuer nettement ma pratique du combat. C'était devenu une évidence au fil des ans, j'avais ça dans le sang. C'est comme ça qu'avec ma meute, on a fondé secrètement notre fight club, avec des paris. On jouait aux durs mais même moi, je n'étais pas au niveau des vrais combattants de rue à l'époque. Je gagnais officiellement ma vie en assistant mon oncle dans ses spectacles. Mon père me voyait plutôt militaire mais il avait mes autres frères et mes mes sœurs pour embrasser cette carrière. Je pense plutôt qu'il attendait que je me plante pour me ramener à sa raison.

Trois ans plus tard, mon père découvrit que sa hiérarchie lui avait caché depuis plus de vingt ans qu'il était stérile. On devine qui était en fait notre géniteur. Les deux amants avaient bien caché leur jeu pendant tout ce temps. J'ai compris que ça allait mal finir et je me suis précipité au domicile de mon oncle pour les calmer. J'arrivais trop tard, je trouvais leur cadavre encore chaud. Ils se seraient entre-tués … à coups de 9mm ? Ils étaient tous deux criblés de balles. Le choc de cette macabre découverte faillit avoir raison de mon sang-froid mais je réalisais que leur mort avait été mise en scène. Ils en seraient venus aux mains, ce qui peut amener à un geste fatal mais utiliser des armes à feu … Lesquelles brillaient par leur absence à ce moment-là. La police faisait alors irruption et j'étais aussitôt mis en état d'arrestation pendant que l'arme du crime faisait son apparition comme par magie.

J'ai protesté en vain contre un dossier d’enquête truffé d'incohérences mais ça ne les a pas empêchés de me condamner à trente ans de prison ferme. L'armée s'épargna ainsi des indemnités à ma famille. Un coup monté, je vous dis.

En prison, j'ai eu la chance de retrouver des amis qui avaient mal tourné, et ils avaient des alliés qui sont pratiquement tous devenus les miens. Je ne sais pas pour les autres établissements pénitenciers mais dans celui-là, la loi du plus fort prévalait, peut-être à cause du manque sidérant de places. Les gardiens étaient corrompus pour regarder ailleurs pendant les règlements de compte.

Ma nouvelle meute et moi, on a du devenir des loups enragés pour survivre, puis pour s'imposer. Cette fois, c'est dans le sang que je devenais l'alpha de ma meute. Ca rallongeait ma peine mais ils n'avaient de toute façon pas l'intention de me faire sortir de cet enfer carcéral.

Quatre ans se sont écoulés. Quatre ans de lutte. Aussi bon combattant que je sois, je n'aurais jamais tenu seul. De l'extérieur, on a appris les premiers cas d'infectés. Je pressentais la catastrophe à venir mais je ne pouvais prévenir aucun membre de ma famille, laquelle avait quitté la capitale et ne voulait plus entendre parler de moi.

J'ai averti les potes restés dehors. La plupart ne m'ont pas cru mais certains ont compris et suivi mes consignes, ils ont peu à peu emménagé une planque dans l'est de la ville avec ce qu'il fallait pour y survivre pendant plusieurs mois.

Les gardiens nous ont alors privé de moyens de communication, aucun moyen de savoir ce qui se passait dehors, j'ai décidé d'agir. Depuis des années, j'observais mon environnement, les petites habitudes des geôliers et j'ai déclenché une émeute au moment où ils ont baissé leur garde. On a pris des armes et on s'est évadés.

L'armée devait déjà être en ville parce que les soldats ont rappliqué très vite et nous ont tiré dessus sans sommation. Les premiers rangs des prisonniers sont tombés par dizaines mais ça ne nous a pas calmés, bien au contraire. Une fois au corps à corps, la mêlée a été d'une sauvagerie qui m'aurait horrifié quatre ans plus tôt mais comblait alors ma soif de violence.

Dehors, c'était le Chaos à cause des infectés et de la panique. Nous allions devoir continuer à être des loups enragés et ça me plaisait. Ma meute a rejoint la planque mais personne n'aurait pu prévoir les bombardements, pas nous en tout cas. Notre abri était prévu pour nous protéger des zombies, pas contre une séries d'explosions et l'effondrement de plusieurs immeubles. Ils sont tous morts et j'aurais subi le même sort si je n'étais pas resté en arrière pour soigner un pote blessé intransportable. Ca aussi, ça a été un choc mais je devais me ressaisir de suite.

Avec trois amis rescapés, on a improvisé une planque et on a survécu en solitaires, ne nous voyant pas intégrer les divers clans qui se formaient ici et là. Je dois dire que mes compétences survivalistes m'ont bien servi. On a tenu le coup jusqu'à ce qu'on entende parler d'une autre meute. A l'origine, elle n'était composée que de femmes mais elles acceptaient les hommes, je ne sais pas depuis combien de temps. La meneuse était une dure même si on l'était tous, quelque part. On n'avait vraiment pas notre place dans les autres clans de toute façon.

Catherine - l'alpha - nous a acceptés et je suis devenu rapidement un de ses bêta, on peut dire un de ses lieutenants mais la meute n'est pas une organisation militaire ou paramilitaire. J'ai vaincu deux loups pour obtenir mon grade actuel, un gamma et un bêta. Je ne connais plus la pitié depuis mon incarcération injuste mais comme la mort entre loups est proscrite, je les ai épargnés.

Je suis chargé de chercher des sources potentielles d'approvisionnement et des solutions alternatives, comprendre pour ce dernier terme : Prévoir au moins un plan B pour toute crise hypothétique. Cette mission sur le terrain m'a amené à être toujours plus absent de l'usine, la tanière de ma meute. Je pensais avoir fait le tour du sujet et être prêt à assumer une autre fonction au sein de la meute. Non, j'en suis convaincu.

A mon retour à l'usine, je suis surpris d'apprendre la disparition de l'alpha. Un des loups en a même profité pour devenir mon égal, du moins hiérarchiquement. Un bêta, quoi. C'est mérité mais le grade supérieur sera à moi. Voila peut-être l'occasion pour moi de grimper cet autre échelon sans enterrer pour autant Catherine. D'une façon ou d'une autre, même si ça prendra du temps, je saurai ce qui lui est arrivé. La priorité, c'est de protéger la meute. Chacun de nous protège la meute, la meute protège chacun de nous.

Pseudonyme : Kurt
Âge : 18 ans+
Blabla : Il me semble que Kurt est le premier personnage noir du forum
Revenir en haut Aller en bas
Epidémie
Epidémie
Modérateur
Dim 26 Aoû - 23:51
Epidémie
Hey ! Salut et bienvenue à toi !

Alors je vois que tu as terminé la rédaction de ta fiche, globalement elle est tout à fait correcte et je n'y vois pas énormément de problèmes. Je suis même à deux doigts de pouvoir te valider mais il y a un truc qui m'en empêche, c'est au niveau de ton histoire.

Au troisième paragraphe avant la fin tu dis bien que Kurt a tué deux loups pour monter en grade au fil du temps. Or, chez la Meute il y a bel et bien cet esprit de compétition qui règne et que tu as bien exploité, mais ce que tu n'a pas dû voir c'est que les combats à mort sont proscrits. Concrètement, la Meute n'est pas un très grand groupe (même s'il se développe grâce à vous les petits nouveaux <3) alors ils évitent d'aller jusqu'aux mises à mort.

Il n'y aurait que ça à corriger pour la validation !
Bon courage, tu y es presque !
Revenir en haut Aller en bas
Kurt
Kurt
Rescapé
Lun 27 Aoû - 9:08
Kurt
Merci. Edité.
Revenir en haut Aller en bas
Epidémie
Epidémie
Modérateur
Lun 27 Aoû - 19:21
Epidémie

Validé !

Bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct, tu as pu corriger l'élément un peu contradictoire qu'il y avait dans ton histoire, parfait ! Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur bleue foncée.

Maintenant que tu es validé, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !

Revenir en haut Aller en bas
Kurt
Kurt
Rescapé
Lun 27 Aoû - 19:49
Kurt
Merci !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Z-Epidemie V1 :: Les survivants :: Leurs identités :: Les fiches validées-
Sauter vers: