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Frank Walker, au rapport !

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Frank Walker
Frank Walker
Rescapé
Ven 17 Nov - 3:15
Frank Walker
Frank Walker, au rapport ! Sans_t14

Âge : 30 ans.
Groupe : Espoir.
Nationalité/origines : Anglaise.
Immunisé : Oui.
Situation conjugale : Le néant.
Situation familiale : Aucune, ils sont probablement tous morts...
Place dans le clan/tâche : Militaire.
Arme : Mon Samuraï Edge ne me quitte jamais.

Carnation : Une carnation d'humain encore vivant, donc normale, je dirai.
Taille : 1m80.
Corpulence : Je suis plutôt musclé mais pas non plus Schwarzenegger.
Cheveux : Bruns, assez courts mais j'utilise un peu de gel si j'en trouve.
Yeux : Sombres, avec une touche de gris.
Style vestimentaire : J'aime porter des habits militaires, treillis, rangers et pour le côté personnalisé, j'y rajoute des chaînes, ça peut toujours être utile, en plus.
Signe distinctif : Je porte constamment une chaîne avec mes initiales que mes parents m'avaient offert lorsque j'étais gamin.

ft. ... de ...
Walker Frank
Si je devais me définir en quelques mots, je serai un "connard borné touché par les liens familiaux". Je sais, la fin de ma phrase peut paraître illogique par rapport au reste mais je suis une personne assez compliquée à cerner... Mes "amis" n'étaient que des personnes vers qui je m'étais tourné par pur intérêt et je m'en rends mieux compte à présent. Tout n'était résumé que par l'amusement, l'alcool, la drogue... Rien de concret qui pourrait porter un tel titre relationnel. Je cherchais simplement à fuir le quotidien imposé par mes parents, que je voyais comme un calvaire. En bref, j'étais jeune et con.

Jusqu'au jour où j'ai rencontré Jon qui a su me transformer en homme, un vrai, plus ce gamin perdu et capricieux que j'ai pu être. Je suis devenu plus sûr de moi, je me disais que je comptais au moins pour quelqu'un. Mon passage à l'armée ainsi que son décès m'ont pourtant rendu insensible, en dehors de cette seule faiblesse, citée précédemment. Je peine à reconnaître mes tords, je l'admets, quand je dis que je suis très têtu, c'est pas des bobards. J'ai un caractère assez fort, je ne laisse personne me marcher sur les pieds et je le fais parfaitement savoir, quitte à prendre des coups pour mieux répliquer, je n'ai plus peur de quoique ce soit. Je n'ai plus rien à perdre. C'est d'ailleurs peut-être même une force, quand on y pense.

Pour aborder un peu de positif car je n'ai pas que des défauts, quand même ! Je respecte si on me respecte, ça doit aller dans les deux sens, sinon c'est foutu. J'aime les animaux et la nature, ça fait parti des choses qui m'apportent de la sérénité, ainsi qu'une bonne petite clope. Ah merde, fumer n'est pas quelque chose de bien, apparemment... Bon, je me reprends ! Si je vois une personne en détresse et assez faible, je bougerai mon cul pour l'aider. J'ai un minimum de cœur, après tout... Ou de la pitié ? Que sais-je. Le résultat sera le même, de toutes façons.

Je sais prendre des initiatives, qu'importe la situation, je suis indépendant et je reste quelqu'un de confiance, je ne ferai jamais de coups dans le dos, ce n'est pas mon genre, je suis au contraire même une personne très transparente, très honnête et franche. En gros, si je ne t'apprécie pas, je te le ferai savoir direct, aucune mauvaise surprise de ma part, donc. Sur ce, je pense avoir dit l'essentiel à mon sujet, je vais de ce pas m'en griller une ! Ciao !
Je suis né en Grande-Bretagne, j'y ai grandi avec le plus grand bonheur que je pouvais y trouver. Je m'y étais fait de nombreux amis durant mon enfance puis mes parents ont décidé de quitter le pays à cause de leur mutation, la naissance de ma sœur Anna y a été l'élément déclencheur... Je trouvais ça franchement égoïste de leur part de privilégier son arrivée plutôt que mon propre épanouissement... Elle était arrivée après, elle devait s'adapter mais non, c'était à moi d'assumer. Sans essayer de comprendre, ni rien, ils ont plié bagages contre mon gré et on a rejoint la France, en direction de Paris. Je les ai détesté pour ça, j'avais hâte de quitter cette prison dans laquelle ils m'y enfermaient... Le lien s'était rompu entre eux et moi, je me disais que ma place n'était plus parmi eux depuis que nous sommes partis. Je me sentais mis de côté, tout comme mes désirs. Peut-être étais-je trop gâté, à l'époque ? Après tout, le fait d'avoir été fils unique pendant autant d'années n'y avait probablement pas aidé dans mon comportement mais bon, j'avais beau essayé de me faire une raison, je n'y parvenais pas, la haine était trop grande et la plaie trop profonde.

Les années passaient et j'exprimais chaque jour ma contrariété, elle ne s'était pas apaisée, loin de là. J'étais frustré de devoir suivre, toujours suivre leurs choix. Oui, j'étais encore qu'un gamin mais je n'acceptais plus rien de leur part et j'en devenais invivable. Des psys ont essayé de me canaliser mais rien ne fonctionnait. Ma colère se rabattait sur ma sœur qui était encore trop jeune pour comprendre les choses.

Une fois ado', j'avais attendu patiemment de pouvoir prendre mes marques à l'extérieur avant de quitter le domicile, je n'y avais plus ma place depuis fort longtemps et je le ressentais pleinement. L'avantage, c'est que c'était réciproque. Avec du recul, je me rends compte qu'avec un tel gamin, n'importe quel parent finirait par péter les plombs... Moi-même, en me revoyant, je ne me supporterai pas si j'avais eu un enfant comme ça. Oui, je parle de l'idée d'avoir une possible progéniture au passé car dans le monde actuel, ça serait une contrainte plus qu'autre chose. De plus, je n'ai jamais vraiment été dans cette optique de procréer. J'ai déjà été amoureux mais j'étais tellement invivable que les femmes finissaient par me fuir... Ou alors, elles finissaient par me tromper. De mon côté, ça n'était jamais arrivé, j'ai une attitude de connard mais j'en reste pas moins fidèle.

Un jour, une grosse embrouille avait éclaté avec mes géniteurs, j'avais préparé mes affaires au préalable, attendant qu'une telle dispute se pointe puis j'avais quitté la maison, en claquant la porte avec une telle hargne... Je me rappellerai toujours de cette journée. Mes parents n'avaient pas essayé de me retrouver, ni de me retenir car ils savaient sûrement que ça pourrait mal finir, j'étais tellement devenu violent dans mes paroles tout comme dans mes actes qu'une bagarre aurait fini par arriver. J'étais borné à un point... Cela dit, je le suis toujours à l'heure d'aujourd'hui. Ma mère avait tout de même essayé de me courser mais j'étais parti si vite qu'elle ne pouvait plus rien faire pour m'en empêcher, après tout, son instinct maternel avait probablement prit le dessus sur sa raison. Dans le fond, c'était surtout avec mon père que c'était conflictuel.

Vivant aux crochets de mes potes, j'avais fini par tomber dans un tout autre univers, mêlant l'alcool et la drogue à foison. J'étais pleinement conscient des risques que j'encourais mais je m'en fichais, j'étais un véritable rebelle dans l'âme, éprit de liberté, comme un oiseau qui sortait de sa cage pour vivre la vie dont il rêvait... Wow, je deviens poète, maintenant. Bref. Sauf que ce joli monde que je m'étais créée de toutes pièces avait fini par s'effondrer progressivement... Entre la prison pour certains et la mort pour d'autres lors de fusillades entre gangs, j'avais fini par faire une dépression car je m'étais retrouvé seul, une fois de plus abandonné. Je déambulais comme une âme en peine, je faisais pitié à voir mais pour rien au monde, je ne serai retourné chez mes parents, il en était hors de question. Je profitais de mes dernières réserves de produits illicites pour quitter la réalité, j'avais littéralement perdu pieds...

Un homme était passé devant moi et m'avait jeté une pièce, je m'étais rué dessus comme par peur qu'on me la reprenne. J'avais regardé la personne droit dans les yeux et il s'était mis à me parler, comme pour essayer de me remettre dans le droit chemin. Je ne voulais rien entendre, je me demandais même pourquoi il était venu aborder un mioche comme moi... Il m'avait parlé d'un refuge pour SDF, rien que ces initiales, je les avais en horreur car je ne me considérais pas comme tel mais j'avais fini par y aller, n'ayant plus rien à me mettre sous la dent. Ils proposaient de la soupe ce jour-là, plus cliché, tu meurs. Mais vu dans quel état j'étais, je n'allais pas faire la fine bouche, j'avais pris mon courage à deux mains pour rester là-bas le temps de finir mon repas. J'étais interpellé par une discussion derrière moi entre deux réfugiés et ça a créée un réel déclic en moi. J'ignorais à ce moment-là qu'en prenant leur conversation au pied de la lettre, que ça allait complètement bouleversé ma vie, plus qu'elle ne l'était auparavant. Ils parlaient de leur passé dans l'armée avant de finir comme des épaves dans ce camp pour affamés.

Plus loin dans les années, je m'étais nettement plus repris en mains grâce à une connaissance qui était devenue une sorte de tuteur ainsi qu'un très bon ami, qui n'était autre que l'homme à la pièce. Il revenait souvent me voir comme si il voulait s'assurer que j'étais toujours vivant, son nom était Jon, il avait fini par me prendre sous son aile après avoir su mon objectif dans la vie... Je voulais m'enrôler dans l'armée, en tant que militaire. Une fois mon objectif atteint sous ses précieux conseils, j'avais finalement apprit que le cancer avait fini par le tuer. Il voulait juste procurer un peu de bien-être autour de lui avant de mourir. Il avait accompli sa mission en me sauvant de ce pétrin dans lequel je m'étais fourré, m'offrant ainsi une rédemption. Je lui en serai éternellement reconnaissant, c'était un sacré bonhomme avec un cœur en or.

Au final, je me disais que, quitte à finir mes jours seul, que ça puisse être profitable en étant à leur service. J'étais devenu une machine de guerre, carburant au sang-froid, je faisais parfaitement l'affaire dans cette voie. Je me disais que j'étais enfin bon à quelque chose. Mais lorsqu'on allait à l'étranger pour livrer bataille, à force de voir des familles nous regarder avec craintes pendant qu'on pillait leur lieu de vie avant de les exécuter un à un, je me disais que c'était la goutte de trop avant d'atterrir en Enfer. C'était la limite à ne pas franchir avant que je devienne fou. Le boulot m'obligeait à agir de la sorte, je l'avais fait en me détestant profondément. Quand mes compagnons d'armes quittaient les lieux, j'allais retrouver les cadavres dont j'étais le fautif pour leur faire une prière, leur demander pardon... Je ne suis pas quelqu'un de sensible en règle générale mais si ça touche à la famille, aux enfants... Je ne peux retenir mes larmes. Encore aujourd'hui, je culpabilise toujours autant d'avoir pu accepter tout ça, je me trouvais si monstrueux.

Mes tentatives de suicides répétées m'ont poussé à arrêter ce train de vie que je ne souhaite à personne... Sauf aux psychopathes. J'avais fini par aller en hôpital psychiatrique, d'ailleurs, sur ordre de mon supérieur qui s'inquiétait pour moi, en vue de mon état plus que critique, il m'avait forcé à y aller. Là-dessus, je peux au moins le remercier, enfin... En un sens. Mes poignets garderont toujours ces vieilles cicatrices représentatives de mon mal-être, comme pour me rappeler que je suis vivant et pas mort de l'intérieur, chose dont j'étais persuadé après tant de massacres. Je ne faisais que des cauchemars, j'étais devenu insomniaque, rongé par ces démons qui me hantaient chaque nuit. A l'heure actuelle, j'en fais encore mais ils sont nettement plus étouffés, après tout, je suis toujours confronté à la mort mais différemment, c'est presque un soulagement... Suis-je un psychopathe de penser ainsi ?

Quoiqu'il en soit, une fois sorti de ce bâtiment froid et presque sans vie, où tout tourne autour des médocs, j'ai pas pour autant bien continué ma lutte. Je me noyais dans l'alcool pendant des années, je buvais comme quand j'étais ado, en bien pire, je ne voulais plus me regarder dans une glace, j'étais tétanisé. Puis, c'est à ce moment-là que l'Epidémie a fait son œuvre progressivement... C'était devenu le chaos. Grâce à ça, j'ai peu à peu retrouver une raison de vivre, de me battre contre ce quotidien de fou, comme pour me racheter de ce passé tacheté de sang. J'ai rejoint l'Espoir pour y apporter ma contribution à travers mes expériences dans l'armée, devenant ainsi un militaire sous leurs ordres. J'avais gardé pour objectif de prendre des risques au péril de ma vie dans l'unique but de servir à quelque chose, mais je conserve malgré tout ma fiole remplie d'alcool dans ma poche.

Pseudonyme : La même chose que sur mon compte Anna Walker. ^^
Âge : Toujours bientôt 24 ans. :)
Blabla : Je vais tout faire basculer avec ce perso' ! Et j'adore les membres de ce Fofo' !
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Z
Z
Fondateur
Ven 15 Juin - 15:20
Z

Validée

Re Bienvenue à toi ! :)

Je viens de finir la lecture de ta fiche et tout me semble bien, tout es nickel et cohérent. ^^ Donc je te valide et je te rajoute ta couleur verte (du vert ! du vert !).

Maintenant que tu es validée, tu peux passer par le bottin pour y ajouter ton avatar... Tu peux aussi regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP

Bon jeu à toi !
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