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Edìn Sòlen
Edìn Sòlen
Rescapé
Mar 21 Aoû - 11:19
Edìn Sòlen
Ce personnage est très sombre et cruel. L'histoire peut contenir des scènes pouvant choquer la sensibilité des plus jeunes.
Enjoy  :D


Âge : 24 ans
Groupe : La Meute
Nationalité/origines : Nationalité française, origines scandinaves
Immunisé : Oui
Situation conjugale : Le néant
Situation familiale : Le néant
Place dans le clan/tâche : Bêta
Arme : Un poignard et une hache

Carnation : Pâle
Taille : Grande, 1m85
Corpulence : Taille fine, assez musclé
Cheveux : Bruns très foncés, lisses jusqu'au milieu du cou, longues mèches tombant sur le visage
Yeux : Bleus foncés assez profonds
Style vestimentaire : Pantalon noir, tee shirt banal et veste en cuir noire, bottes en cuir noires.
Signe distinctif : A quasiment tout le temps une cigarette entre les lèvres, démarche souple, absolument pas souriant.

ft. Noctis Lucis Caelum de Final Fantasy
Edìn Sòlen
Comment décrire ce petit ange ?
Edìn est tout simplement insensible aux émotions et aux sentiments, à quelques exceptions près. Il passe souvent pour un monstre cruel et inhumain aux yeux des autres personnes. C'est compréhensible, et pourtant ce n'est qu'un pauvre garçon qui nourrit le seul sentiment plaisant qu'il peut ressentir.

Son visage est fermé et froid. Il ne sourit jamais -pour quoi faire ? Il ne rira pas à tes blagues, ne pleurera pas à tes misères et n'aura aucune compassion. S'il te blesse, il te blesse, tant pis pour toi et tant pis pour lui si tu réagis mal. Il ne te tuera pas sauf s'il est en manque, dans ce cas mieux vaut ne pas rester proche de lui.

Quand il marche, il a souvent les mains dans les poches de son pantalon. Si tu le croises sans l'interpeller, il ne te lâchera même pas un regard.

Ce qui est effrayant chez lui, c'est que tout dans son comportement ne va pas avec sa tête. Il se bat, sans aucune expression au visage. Jamais tu ne pourras deviner s'il essaie d'être “gentil” ou “méchant” avec toi car ses yeux ne traduisent aucune émotion.
Cependant, tu pourras peut être apercevoir une étincelle de plaisir dans ses pupilles quand il tue ou qu'il se donne aux plaisirs sexuels. Au delà de ça, ne t'attends pas à une quelconque réaction au niveau du visage.

Il ne supporte pas être sous des ordres. Il n'en fera souvent qu'à sa tête si l'ordre qu'il reçoit ne lui convient pas.

Il t’arrivera sans doute de le croiser complètement sous l'effet de substances illicites. Il sera alors peut-être plus ouvert aux discussions.

Ses 9 années d’entrainement de combat à mains nues te rattraperont si tu t’engages sans réfléchir dans une baston avec lui. Si tu as le niveau alors tu seras le bienvenu.

Tu peux le reconnaître de plusieurs manières : sa voix est grave et assez rauque, il a la plupart du temps une cigarette entre ses lèvres, sa démarche de loup est souple et silencieuse.

Pour plus de compréhension :
Edìn ne ressent pas  :  
- La tristesse
- Les remords ou la compassion
- La joie
- Le sentiment amoureux ou de simple amitié

Il peut ressentir  :  
- La douleur physique
- Les plaisirs de la chaire
- Du plaisir quand il tue
- De la colère (mais très rarement)
- Le sentiment d'évasion quand il est sous drogue ou herbe
Je ne me souviens pas de ma naissance, c'est normal m'a-t-on dit. J'ai un père et une mère adoptive. Je n'ai jamais connu ma mère biologique et mon père n'a jamais voulu me parler d'elle ni m’expliquer ce qu'elle était devenue.
J'ai toujours eu l'impression d'être différent des autres. Beaucoup de choses faisait de moi un enfant différent aux yeux des autres : j'étais tout frêle et maigre avec souvent des couleurs bleus sur le corps. Mais ce n'était ni ça, ni le fait que mon père discutait avec moi à coups de poing qui faisait me sentir différent. À l'école, les enfants riaient, pas moi. Ils pleuraient quelques fois, pas moi. Ils étaient en groupe d'amis, pas moi. Alors curieux, je me demandais pourquoi je ne ressentais pas les mêmes choses que les autres. “Ton cerveau est différent, tu ne ressens pas les mêmes choses que nous..” m'avait dit ma mère. “Ouais, t'es un monstre gamin !” avait renchéri mon père en crachant. Je n'ai pas compris ce qu'il avait essayé de faire, mais ma mère l'avait regardé furieusement. Je ne comprenais pas pourquoi elle était triste. Je ne comprenais pas pourquoi les gens étaient tristes. Ni joyeux d'ailleurs. Moi tout ce que je ressens en souriant c'est une incroyable douleur à la mâchoire.
J'ai donc passé une enfance à regarder ma mère pleurer devant les coups de mon père. Moi je me contentais de venir vers lui pour que ça se finisse rapidement.
J'étais seul, mais je m'en fichais. Je n'ai jamais aimé parler. Pour dire quoi de toute façon ?

À mes 10 ans, j'ai demandé à mon père de m'inscrire à des cours de défense à mains nues. De nature violente, il a évidemment accepté. J'en ai fais le plus longtemps que j'ai pu, jusqu'à mes 19 ans. Ces compétences me servent à merveille depuis l'épidémie.

Comme je n'ai jamais compris le délire des personnes autour de moi à pleurer ou sourire pour un rien, j'ai voulu essayer de comprendre. Les personnes pleurent quand un être décède. Alors je me suis dis que peut-être si je voyais ça de près, de mes propres yeux, je pleurerais.
Absolument pas. Pourtant j'en ai essayé des choses. La première fut une souris. J'avais pris un couteau. Je les ai mis ensemble et ça a rendu quelque chose de magnifique. Une flaque de rouge vif. De l'admiration, c'est tout ce que j'ai ressenti.
J'ai retenté l'expérience avec un oiseau, un lapin et un chat. Aucune larme, mais de plus en plus de fascination.
Pourquoi les autres trouvaient-ils cela triste ? J'ai posé la question à ma mère. “Une vie s’éteind, on ne la reverra plus jamais.” J'avais haussé les épaules. Et alors ? La vie, la mort, ça se succède. Ça n'a rien de triste.
Non, je ne comprenais décidément pas. Et c'est d'ailleurs aujourd'hui toujours le cas.

Les animaux ne me faisait aucun effet, alors pourquoi pas essayer sur un être humain ? J'ai réfléchi à cette idée pendant plusieurs années avant de la mettre en oeuvre à 16 ans. Même si je n'en comprenais pas la raison, je savais que je devais me cacher et ne le dire à personne. Apparemment, tuer c'est mal. Mais qu'y a-t-il de différent avec le bien ? Je ne l'ai jamais su et je n'ai pas connu d'évolution de ce côté.
Toujours est-il que je suis sorti une nuit, mon couteau à la main, je suis allé dans le bois de Vincennes et je me suis baladé. Il n'y avait personne, j'étais seul avec les ténèbres. Et j'ai enfin senti la présence de quelqu'un. Il s'agissait d'un sans abri qui dormait là. Comme avec les animaux qui sont passés entre mes mains, j'ai plaqué ma main sur sa bouche pour qu'il ne fasse aucun bruit. Il était faible, j'avais pris des muscles et je savais me battre, il n'aurait pas pu me repousser. Ne le lâchant pas des yeux, j'ai planté le poignard une fois dans son abdomen. La lueur qu'il avait dans le regard -un mélange de peur et de douleur- me donna envie de continuer. Cette lueur rendait les pupilles de ce SDF tellement belles. Je voulais en savoir plus. Je le devais. Alors j'ai continué, j'ai planté le couteau encore et encore. Le liquide chaud qui coulait sur mon visage me donnait des frissons de bien être. Alors voilà, à ce moment là j'avais trouvé ma voie. J'avais enfin trouvé quelque chose qui me procurait une sensation forte. Dès que l'homme lâcha son ultime souffle, un vide s’engouffra en moi. J'étais mort avec lui. Il fallait que je recommence. Et vite.

Quinze jours plus tard, mon père me fit entrer dans une salle un peu bizarre où des femmes à moitié nues dansaient autour de poteaux. Étrange. Cela ne m'a apporté aucune émotion, comme d'habitude. Mon père m'avait déposé sur un fauteuil et laissé en plan pendant qu'il était allé faire je ne sais quoi avec l'une des femmes. Pendant ce temps là, je m’ennuyais et je n'avais qu'une seule envie. Tuer à nouveau. Mais différemment cette fois. Alors j'ai réfléchi et j'ai profité de l'ambiance tamisée de la salle pour qu'on ne me remarque pas distinctement. Je me suis approché de l'une des danseuses. Elle avait de hauts talons aiguilles. J'avais une idée. J’ai placé un plateau en fer sur l'estrade discrètement, à un endroit propice. Ce que j'attendais arriva : la femme posa son pied sur le plateau, trop glissant. Elle tomba de l'estrade et sa tête vint s’exploser sur le coin d'une table en acier. Morte sur le coup. Autour de moi, des cris, des pleurs, tout le monde courait partout. Et moi, je ne ressentais rien. Je n'avais pas eu le plaisir de l'autre fois. Dommage.

À l'âge de 17 ans, je connu une nouvelle sensation. La colère. Mon père m'avait fait atrocement mal. En plus de ses coups réguliers, cette fois il m’avait lancé le tiroir plein de couteaux dans la figure. Résultat : de multiples éraflures et une lame planté dans ma main -j'avais, par réflexe, placé ma main entre les lames et mon corps. De là, j'ai appris que je pouvais ressentir de la colère quand c'en était trop. J'ai également appris que ce qu'il y avait de plus important que tout dans ce monde, c'était ma vie. Et je tuerais qui que ce soit voulant la mettre en jeu.
“Je vais te buter” disait mon père, un soir. Cet homme avait dans l'idée de se débarrasser de moi. Il n'en était pas question. C'était en plus une nouvelle occasion de tester autre chose. Un empoisonnement me vint en tête. Je réussi à me procurer du cyanure. Je lui ai mis dans son alcool. Il est mort dans d'atroces souffrances, apparemment. Ma mère était là, choquée. Elle aurait dû se sentir soulagée, j'avais tué le plus gros problème de sa vie. Aucun remerciements. “Sors de chez moi…” avait-elle dit, apeurée. Peu m’importait de toute façon.

Entre 2019 et 2020, j'ai erré dans Paris. Je dormais là où je pouvais. Ce n'était pas important. Ces années là furent très productives. J'ai finalement compris que la satisfaction que j'avais dans le meurtres était dû au sang. Il fallait qu'il y ait du sang, sinon ça ne me faisait aucun effet. J'ai également pu testé diverses substances illicites. J'adore ça. Le sentiment d'évasion que je ressens est parfait. Je me sens flotter. Aujourd'hui d'ailleurs, je m'en sers encore dès que j'en ai l'occasion.
J'ai également rencontré une femme. Elle s'appelait Astrid si je me souviens bien. Elle était selon elle, tombée amoureuse de moi. Je n'ai pas très bien compris ce qu'elle voulait dire. Mais j'ai alors découvert un plaisir majestueux. Quasiment égal au plaisir que je ressens quand j’assassine. Le plaisir de la chaire est phénoménal. Surtout quand c'est violent. Astrid est restée avec moi pendant presque 6 mois. Elle voulait que je sois aimant avec elle mais, ce terme n'existant pas dans mon vocabulaire, je la prenais contre un mur et ça lui faisait apparemment très plaisir. Depuis ce jour, j'ai associé “amour” à “baise brutale”.

Un jour, j'ai été pris au dépourvu. Un policier était venu faire une descente à l'endroit où Astrid et moi crêchions. Il disait venir nous arrêter pour possession de drogues. Il était indéniablement au bon endroit. Avant qu'il pu faire le moindre geste vers moi, je me suis emparé de deux couteaux et les ai planté de chaque côtés de sa gorge. Il s'effondra, mais je reçu une balle dans la jambe. Je n'avais pas vu que le policier était accompagné. Je fus jugé et emprisonné.
Heureusement que l'épidémie arriva.

Une bombe qui explosa dans la prison me permit de sortir. Contrairement aux autres prisonniers, la joie ne m’envahissait pas.
J'avais 20 ans et un gigantesque nombre de personnes à tuer pour assouvir mon plaisir.
Passant dans plusieurs jardins délaissés par leurs propriétaires, je me suis emparé d'une hache. Elle restera mon arme favorite. J'ai croisé quelques contaminés à qui j'ai fait leur fête. L'un d'eux avait réussi à me mordre. Seule une grosse grippe fit son apparition. J'appris plus tard que j'étais immunisé.
Je suis revenu à l'endroit où j'habitais avec Astrid. Je l'ai trouvé le ventre ouvert de part et d'autre. Dommage. Je ne pourrai plus m'en servir.

Les années passèrent. Je compris qu'il valait mieux m’acharner sur les contaminés que sur les vivants. À quelques exceptions près. De toute façon, je préfère tuer des contaminés. Leur corps pourri permet un plus grand carnage.
Je suis arrivé dans l'usine des loups en début de l'année 2024. Je faisais alors parti des gammas. Je voulais cependant monter plus haut. Je ne supporte pas qu'on me donne des ordres. Le moment tant attendu arriva : la disparition de l’alpha engendra un bordel monstre. J'en ai donc profité pour monter en grade et devenir un bêta.

Pseudonyme : Le Panda, ou Maître Panda si vous préférez  : 3
Âge : Bientôt 22 ans mon dieu
Blabla : Alors, même si mon personnage est méchant, violent et carrément déjanté, je tiens à rappeler que la jeune fille derrière l'écran n'est pas à l'image de Didìn et est au contraire très gentille.   ; )
Sinon, bravo pour le forum, j'en ai visité des dizaines et c'est lui qui a retenu mon attention ! J'espère m'intégrer bien vite et que ce jeu soit amusant  !
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Ameline de Lacour
Ameline de Lacour
Rescapé
Localisation : A la bibliothèque du musée, en train de lire L'art de la Guerre.
Mar 21 Aoû - 12:59
Ameline de Lacour
Bienvenue à toi ! :)

J'en connais qui vont être content de voir arriver un nouveau loup. Bon courage à toi pour la rédaction de ta fiche !
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Edìn Sòlen
Edìn Sòlen
Rescapé
Mar 21 Aoû - 21:16
Edìn Sòlen
Merci à toi Ameline :)

Les 12h de voiture ont été efficaces : j'ai terminé ma fiche. J'espère que ce p'tit ange vous plaira :3
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Hélyne Meyer
Hélyne Meyer
Survivant
Mer 22 Aoû - 11:58
Hélyne Meyer
Re bienvenue :D je suis contente de voir que tu as déjà fini ta fiche ! Cela va être top de voir un loup de cette trempe ;) ça va rajouter du piquant !

Puis ne t'en fais pas :3 on a aucun doute sur le fait que tu es toute sympa derrière ce personnage ;)

Bon courage pour ta validation pom pom girl
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Epidémie
Epidémie
Modérateur
Mer 22 Aoû - 16:22
Epidémie
Validations :

Validé !

Bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct, très bien structuré et clair. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur bleue foncée. (même si je te donne un malus pour avoir tué un chat dans ton histoire èé)

Maintenant que tu es validé, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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