ahhh la vie en territoire hostile! Si dans le passé il se sentait mal alaise dans des endroits bondé de monde tous aussi chiant les uns que les autres, maintenant il ne demandait pas mieux! Bon, un peu d'humain une fois de temps en temps ne faisait pas de mal, mais la tranquillité qu'il y avait ici était tout simplement le paradis. Bon, il y avait le problème de zombie, la raréfaction de la nourriture en conserve et qu'en général les humains aussi était un peu dangereux, mais quand même.
Depuis quelques jours, il avait élu domicile dans un appartement et avait trouvé, à côté du corps d'un pauvre homme qui s'était suicidé, des boites de conserves pour encore quelques jours! Après avoir détaché le corps de l'homme et l'avoir foutu dehors de la fenêtre de 3e étages, il avait prit possession de ses anciens quartiers. Bon, il n'allait pas dans la même pièces, car elle sentait trop mauvaise, mais le reste de sentait pas tellement plus spéciale que le reste de l'endroit...
En tout cas, il n'était étranger au fait que plusieurs personnes passait dans des quartiers adjacents à l'endroit où il était en se moment. Il avait eu le luxe d'explorer l'endroit et avait suivit de loin un groupe d'individu. À l'université, il y avait un groupe de survivant et, régulièrement, des personnes allait et venait.
Il ne voulait pas se mêler d'eux comme il n'avait pas envie qu'on le dérange, alors il ne faisait rien qui attirerait trop l'attention... Quelques zombies de mort ici et là n'était pas très voyant non? Bref! Il allait se mettre à table et manger quelques fèves au lard quand il entendit quelque chose à la fenêtre qui attira son attention...
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Lun 28 Nov - 1:24
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie avait repéré une librairie sur le plan qu'ils avaient récupéré, ainsi qu'une épicerie. C'était donc là une occasion idéale pour essayer de trouver quelques provisions et aussi voir si elle ne pouvait donc pas récupérer quelques livres pour les enfants. Aimie avait donc insisté pour accompagner le groupe pour l'expédition de maraude. C'était ainsi qu'ils appelaient ce genre d'opérations de récupération. La jeune femme voulait y aller, car aucun des hommes et femmes qui y allaient, ne pensaient à prendre des livres ou des choses utiles pour les enfants.
C'est donc pour ces raison que la jeune femme sortit de leur QG, armée de son couteau et avec un sac à dos vide pour pouvoir le remplir. L'endroit n'étant pas loin du lycée, ils n'avaient donc pas pris de vivres avec eux. Pourquoi gaspiller quand l'expédition est à deux rues de là ?
Prudemment, ils arrivèrent à la rue dévastée et cherchèrent à l'aide du plan l'emplacement de l'épicerie. Aimie avait déjà retenu les repaires de la librairie vis à vis de cette fameuse épicerie; Il suffirait d'y arriver et elle pourra si rendre quand la rue sera sécurisée. La jeune femme avançait tendue, elle n'aimait pas du tout être dans la rue étant le genre de personne vulnérable. Aimie se sentait faible et exposée aux menaces.
Finalement, ils arrivèrent enfin à l'épicerie. La jeune femme entra dans cette boutique pendant que deux hommes s'assuraient que la rue étaient sécurisée pour qu'elle aille à la librairie ensuite. Aimie resta assez longtemps dans l'épicerie pour voir les deux autres remplir des cartons avec quelques boîtes de conserves en tout genre. Ce n'était pas grand chose, il n'y avait pas de quoi faire un repas entier pour le clan. Mais tout ce qui pouvait être pris, ils le prenaient.
Quand les deux autres revinrent, l'un d'eux lui fit signe de le suivre. Puis, il l'escorta silencieusement jusqu'à sa destination. C'était toujours aussi silencieux et tendu, mais il fallait éviter de faire du bruit. Il la suivait pour éviter qu'elle se retrouve prise au piège avec des zombies. Aimie fouilla la librairie qui faisait office de papeterie. Beaucoup de choses étaient détruites, mais elle trouva tout de même deux paquets de crayons de couleurs, trois ciseaux, un règle. La jeune femme chercha avec soin des livres ou cahiers, mais tout avait pris l'eau au sol.
Alors qu'elle allait partir, son regard se posa sur un bouquin coincé entre deux meubles. Avec un sourire, Aimie alla le récupérer et si elle aurait pu, elle aurait crié victoire. Les fables de Jean de La Fontaine. Parfait pour les enfants ! Mais au moment où elle se redressa, un zombie sortit de derrière ce fameux meuble. Aimie poussa un cri et tomba en arrière. David, l'homme qui l'accompagnait se précipita entre eux pour la protéger et lui ordonna :
-Cours ! Va rejoindre les autres ! -D'a-accord !
Aimie attrapa son sac, fourra le petit livre dedans et sortit de la boutique en courant. Elle fit quelques pas de course, mais son chemin fut barré par trois zombie qui allaient là où la voix d'Aimie avait résonné un peu plus tôt. La jeune femme eut le réflexe d'esquiver le premier et s'engouffra dans une ruelle sur la droite, en espérant que ça la conduira jusqu'à l'épicerie. Surtout que les trois zombies avaient décidé de se lancer à ses trousses.
Malheureusement elle se retrouva prise dans un cul-de-sac. Mais si Aimie avait pu survivre jusqu'à présent, c'était grâce à sa rapidité, son agilité et un instinct de survie assez fort. En peu de temps, elle grimpa sur une ben et agrippa le rebord du mur en poussant fort contre la ben pour qu'elle soit loin du mur et éviter qu'ils aient l'idée de grimper comme elle. Son plan fonctionna, mais il restèrent là à taper contre le mur. Sauf qu'à la mauvaise surprise d'Aimie il y avait un autre zombie de l'autre côté. Elle était prise au piège en équilibre sur ce mur, d'un côté ou de l'autre le danger l'attendait...
Juste en bas de la fenêtre, il était capable de voir une femme qui arrivait d'une petite allée avec trois zombies à ses trousses. C'était triste, mais il n'aurait pas le temps de la sauvé et elle ne semblait pas être une personne capable de se défendre. C'était triste, elle faisait quoi ici déjà? Son groupe l'avait abandonnée? Elle avait fait une folie en s'écartant d'eux? Il n'allait jamais le savoir... La seule chose qu'il pouvait faire était de regarder ses derniers moments.
Enfin, il croyait que c'est se qui allait arrivé, mais elle avait été assez débrouillarde pour passer par-dessus un muret pour se cacher d'eux. Mais elle était quand même malchanceuse, car il y en avait aussi un de l'autre côté! Il allait avoir plus de temps pour la sauvé si elle restait là, mais est-ce que ça en vaut la peine? Elle ne semble pas méchante au premier coup d'oeil et elle a un sac avec elle, peut-être que ça pourrait être bien?
Il alla rapidement dans la pièce voisine pour mettre son masque et prendre son couteau, retourna sur ses pas et glissa sur une gouttière pour arriver plus vite en bas. Heureusement qu'il avait des gants et qu'il n'avait pas plu! Ce n'était pas la manière de se déplacer la plus facile no la plus stable!
Il arriva néanmoins en bas en un seul morceau du côté ou il n'y avait qu'un seul crasseux. Silencieux, le zombie ne le remarqua pas une seule seconde. Il se glissa derrière lui et lui planta dans la tête la lame. Il était plus juteux qu'il ne l'avait pensé. Quand il eu retirer la lame, il y eu un jet de sang qui alla s'écrasa sur son masque! Bref, il laissa le corps s'écraser sur le sol et regarda la femme qui était toujours percher en haut.
-Eh bien, je crois que la voix est libre maintenant! À moins que tu préfère tenté ta chance de l'autre côté?
Il recula légèrement de l'endroit ou il se tenait pour pouvoir la laisser atterrir et lui posa une nouvelle question avant qu'elle n'ait le temps de parler:
-Je ne sais pas se qui c'Est passé dans ta tête, mais on est pas à l'ancien Pari! Pourquoi ne pas t'être défendu? Pourquoi pas avoir tuer se crasseux?
Son Français n'était pas très beau à entendre avec son accent, mais il espérait qu'elle comprenne un peu au moins...
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Sam 3 Déc - 19:56
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie paniquée regardait autour d'elle, il fallait qu'elle tienne bon hors de leur portée le temps que les autres la trouvent et viennent l'aider. La jeune femme fixait le bâtiment en face d'elle, en s'appuyant contre l'autre pour garder l'équilibre. Examinant attentivement les fissures, ainsi que la hauteur, Aimie examinait ses chances de pouvoir l'escalader pour se hisser sur le toit et trouver une sortie. Selon ses calcules, elle en avait toutes ses chances.
Mais elle avait était tellement concentrée, qu'elle n'avait pas vu l'homme arriver près d'elle. Aimie poussa une exclamation de surprise en le voyant surgir de nul-part, puis tuer le zombie. Il portait un masque et quand il lui adressa la parole, il avait un étrange accent, si bien qu'Aimie n'était pas sûre de tout bien comprendre. Mais elle comprit tout de même qu'il lui parla de voie libre ou de tenter sa chance avec ces zombies.
Aimie descendit agilement quand il s'écarta, elle le regarda curieuse et perturbée par son masque. C'était vraiment étrange. Elle fut prise au dépourvu quand il reparla lui reprochant de ne pas s'être défendu et lui demandant pourquoi. Aimie se passa nerveusement une main dans ses cheveux et lui dit avec toute sincérité :
-Je ne suis pas une combattante... J'ai été séparer d'un groupe de mon clan, avec qui je faisais des recherches dans quelques ruines pour trouver des choses utiles.
Aimie portait comme un fardeau le fait de ne pas savoir se battre. Tout le monde la jugeait par rapport à ça, mais c'était ainsi. Quand elle tenait une arme dans les mains, elle paniquait et tremblait, même son couteau de défense urgence la rendait nerveuse. D'après David, un ancien militaire qui s'occupait de la sécurité au lycée, Aimie avait besoin d'un déclencheur. La jeune femme n'était pas certaine de bien le comprendre, leur vie entière aurait dû être un déclencheur en soit. Mais David la rassurait tout le temps en disant que ça devait être plus intense et personnel. Donc apparemment voir sa meilleure amie se faire manger, ça n'était pas assez fort. Non... Aimie n'y croyait pas vraiment, mais une part d'elle y espérait.
Aimie regarda alors l'inconnu, c'était un homme ça s'était sûr par sa voix et sa carrure. La jeune femme compris qu'il était probablement des pays de l'est, car ce n'était pas anglais, pas canadien et pas un accent d'une région française. Aimie lui demanda alors gentiment :
-S'il vous plaît, il faut que je retrouve ceux de mon groupe ou que je retourne au grand lycée, il n'est pas très loin.
A ce moment là un autre zombie déboula et se dirigea droit vers eux. Décidément il y en avait beaucoup dans le coin et bien plus qu'autrefois, Aimie se demandait bien ce qu'il se passait. Elle recula un peu se situant derrière l'inconnu.
Il s'attendait à une réponse plus logique, mais finalement , il se senti presque avoir un roulement de yeux tellement il n'en revenait pas. Il s'attendait à quelque chose du genre: 'j'ai perdu mon arme et j'ai eu le trac! mais non, finalement elle était vraiment sorti dehors sans aucune intention de se battre ou de se défendre... Si le mur n'avait pas été là, elle se saurait fait dévorer et même chose si il ne saurait pas pointer pour l'aider. Et puis, il y avait cette histoire de clan. Quel imbécile laisserait sortir quelqu'un de faible, même avec un groupe, dehors? Pas étonnant qu'elle semblait pas menaçante! En tout cas, elle sembla troubler quelques instant avant de poser son regard sur lui et le regarder. Elle se disait quoi de lui?
Gentiment, elle lui demanda si il pouvait l'aider à retrouver son groupe ou même aller au lycée. Il fit une grimace et allait répliquer quand un bruit se fit entendre derrière eux. Le zombie qui venait de surgir d'une petite petite ruelle et avançait d'une vitesse assez moyenne. Il devait être mort il y a déjà un certain temps.
Comment il allait s'y prendre? Heureusement qu'il n'y en avait qu'un seul, car la demoiselle se cachait derrière lui... D'une marche rapide, il préférait attaquer qu'attendre qu'il arrive sur eux et risquer de le blesser ou la femme! Maintenant qu'elle était là, il allait au moins la gardé en vie jusqu'à temps qu'elle rentre chez elle!
Au moment ou le puant allait se saisir de lui, il passa sous son bras et lui enfonça son couteau sous la mâchoire en y mettant tout son poids. Elle y entra avec de la résistance, mais il ça lui fut tout de même fatal. Après avoir mit sa botte sur sa tête et avoir retiré sa lame, il l'essuyer sur le corps et se tourna de nouveau vers la femme:
-Il n'en ait pas question, pas pour le moment en tout cas! La nuit va bientôt tombé et je n'ais pas envie de terminer en joyeux festin! On va attendre à demain, trop dangereux maintenant.
Il ne lui laissa pas trop le temps de répliquer là non plus, ce n'était ni le moment ni l'endroit pour faire tout ça, surtout que la femme n'avait même pas de masque... D'un pas lent, en écoutant les alentour ainsi quant tenant un bras de la femme, il réussit à se rendre en catimini vers la porte de derrière. Il n'avait pas nettoyer tout le bâtiment, mais au moins il s'était assurer qu'il avait une sorti de secours. Allant de corridors en corridors, ils se rendirent à l'endroit ou il avait mit son camp:
-Nous sommes arrivé à mon campement, tu vas passé la nuit ici et, quand le jours serra levé, on va pouvoir y aller.
D'un mouvement lent, il retira son masque et ramena ses cheveux dans leur position habituel. Il le déposa sur une table à proximité et présenta à la femme le repas qu'il n'avait pas eu le temps de prendre:
-Prendre des forces pour demain...
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Dim 4 Déc - 2:17
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie regarda alors l'homme se diriger vers le zombie, elle eut soudainement une boule au ventre. jamais elle n'aurait eu le courage de faire de même. D'ailleurs rien qu'à regarde ce monstre, elle en avait peur et avait des frissons. Aimie fut surprise par sa rapidité e sa façon de se battre. Elle resta alors silencieuse et figée, quand l'homme lui répondit qu'elle allait devoir attendre le lendemain. La jeune femme s'exclama :
-Q-quoi ? M-mais... n-non ! J'dois rejoindre les autres ! C'e-est... ils v-vont être inquiets !
Non seulement, elle ne voulait pas dormir ailleurs que dans son lit douillet, mais elle ne voulait pas suivre un parfait inconnu. Puis les autres allaient s'inquiéter terriblement pour elle. Au moment où Aimie allait reculer, il lui attrapa le bras et l'emmena en la tenant fermement.
-Vous allez me lâcher ! Mais... laissez-moi !
Rien à faire l'homme l'emmena dans un bâtiment sans la lâcher une seule fois. Aimie ne cessa de gigoter, franchement dans tout ce qu'elle avait imaginé dans ce qui aurait pu lui arriver, jamais elle n'aurait deviné qu'un jour un homme l'embarquerait de force dans son refuge. On dirait le début d'un mauvais film d'horreur, voire pire.
Une fois dans l'appartement que ce dernier occupe, il décida enfin de la lâcher, puis il enleva son masque. Ce fut une surprise pour elle, la jeune femme s'attendait à un homme d'un certain âge à l'accent bizarre. Mais en face d'elle, Aimie découvrit un homme aussi jeune qu'elle, voire un peu plus, mais de pas beaucoup. Puis elle devait admettre qu'il était mignon. Mais... ça n'empêchait rien du tout au fait qu'elle voulait partir ! Son clan était important, puis là bas il y avait aussi des hommes séduisants. L'inconnu poussa une boite de conserve vers elle, d'un contenu vraiment pas appétissant ! Une mixture bizarre et froide, c'était peut-être le début de la fin du monde, mais il y avait quand même des moyens de réchauffer la nourriture. Du coup, elle la renvoya vers lui :
-Non merci ! Il y a de la nourriture là d'où je viens et j'ai déjà eu un bon repas avant de partir... En parlant de partir, j'aimerai rentrer chez moi !
Aimie se dirigea vers la porte et voulu l'ouvrir, mais elle était bloquée. Tout ça ne lui plaisait pas du tout. Elle regarda par une fenêtre, mais c'était haut, même si cette dernière était du genre douée en escalade, cette fois ça reviendrait à se suicider. Aimie alla se planter devant l'homme et lui lança énervée :
-Les miens vont me chercher et risquer leur vie pour me retrouver ! Alors j'ignore pourquoi vous voulez me garder ici, mais... Bon sang ! Mais qu'est-ce que vous me voulez à la fin ? Sérieusement ! On est a trois rue du refuge de mon clan, on aurait pu vous offrir un repas, une douche et un bon lit pour la nuit pour m'avoir ramené ! Alors pourquoi insister pour rester ici ? Hein ? Vous allez m'expliquer ça tout de suite !
Comment elle faisait pour être aussi dérangeante, bruyante et de mauvaise humeur contre lui alors qu'il venait de lui sauvé la vie! Il ne comprenait pas se qui se passait dans sa tête. Bon, c'était vrai qu'il l'avait emmener chez lui un peu de force parce qu'elle voulait faire une folie, mais ce n'était pas de sa faute! Elle trouvait même la manière de dénigré sa nourriture alors qu'il y avait des milliers de personnes partout qui mourrait de faim autant au sens propre que figuré... Elle en avait de la chance de pouvoir se goinfré, lui, si ça n'avait pas été des conserve, il serait rester à manger des insectes et d'autres trucs plus ou moins suspect.
Il ne lui répondit qu'en faisait un roulement de yeux et la regarda essayé de passé la porte. Bien entendu qu'elle n'allait pas pouvoir l'ouvrir, il avait fermé le verrou intérieur! Elle devait être désespéré pour ne pas le voir un tantinet plus haut que la poignée, mais bref, elle regardait aussi la fenêtre quelques instants. Elle s'imaginait pas faire la même chose que lui non? Déjà que pour lui c'était tout un défi, elle, elle ne risquait pas de s'en sortir.
Mais, à la place, elle préférait déversé sa rage contre lui. Se qui était beaucoup mieux que de se jeter par le fenêtre, mais il n'aimait néanmoins pas ça... Tout le long qu'elle parlait, il mangea se repas qui était, comme elle l'Avait dit plus tôt, froid sans arrêter de la sondé du regard:
- Tu es imbécile ou tu le fait exprès? Bien entendu qu'ils vont te chercher, mais certainement pas la nuit et moi, de mon côté, je ne suis pas assez stupide pour y aller avec toi avec une vision réduite. Alors je crois que c'Est plus évident pourquoi je veux que tu reste ici non? Déjà que je te l'ais expliqué brièvement avant de venir...
Il s'assit sur le fauteuil le plus près et le fit légèrement grincé.
-Je vous observe depuis déjà quelques jours, la nuit vous ne sortez pas, même si il se produit des choses, alors pas la peine de sauté par la fenêtre et de mourir d'accord? Je t'ais sauvé la vie déjà deux fois, alors si j'aurais voulu te faire du mal, ça aurait été fait depuis longtemps! Maintenant assit toi, calme toi et reprend des forces.
Il n'était pas trop certain si il allait la calmer, mais elle devait bien avoir un sens critique caché sous son apparence de chatte effaroucher!
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Mar 6 Déc - 22:34
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie fut assez surprise quand l'homme lui parla pour la calmer et peut-être sans le vouloir la remettre à sa place. N'aimant pas trop ça la jeune femme le toisa un instant, les sourcils froncé, le regard noir et une moue boudeuse sur les lèvres. Quand il eut fini de parler, elle croisa les bras augmentant l'aspect "pas contente" et ouvrit la bouche pour lui reclaquer quelque chose. Mais...
Rien. Elle ne savait pas quoi dire. Aimie referma sa bouche frustrée et réfléchie, mais toujours rien. Cet homme avait raison, déjà qu'ils avaient croisé plus de zombies que d'ordinaire et... effectivement ils ne sortaient pas de nuit, sauf pour les équipes qui partaient quelques jours. Aimie se mordit la lèvre inférieure et finit par grommeler :
-Pff... c'est bien ma chance !
Puis poussant un long soupire pour se calmer, elle alla donc s'asseoir sur une chaise et regarda tristement dehors. Aimie n'aimait pas dormir en dehors du lycée, là où elle avait sa chambre. Pour de simples raisons : elle se savait faible. Oh ! Elle avait la joie de vivre, apportait autant de sourires qu'elle le pouvait aux autres et faisaient tout pour rendre les gens autour d'elle heureux. Mais... C'était une façon bien à elle de compenser. Qui aimait se trimbaler une fille incapable de se défendre ou de tenir une arme ? Personne !
Se sentant d'humeur vraiment maussade, n'arrivant pas à le cacher aussi bien que d'habitude. Le regard d'Aimie se balada dans l'appartement se demandant si elle aurait au moins la chance d'avoir un endroit pour dormir. Enfin... si elle parvenait à fermer l'oeil. Son regard se posa alors sur l'inconnue. Puis elle lui dit après un soupire :
-Je suis vraiment désolée, je ne voulais pas paraître désagréable avec vous. J'ai... paniqué...
Poussant un nouveau soupire elle se leva, prit la chaise sur laquelle elle était assise et va la mettre proche de l'endroit où il se trouvait. Puis se réinstalla et le fixa quelques secondes. Quitte à être coincée ici, Aimie préféra alors faire un effort. Elle tendit sa main vers l'homme et se présenta :
Voila qui était une très bonne nouvelle, elle avait effectivement du bon sens! Il avait eu peur en voyant son expression facial qu'elle allait trouver quelque chose à lui reprocher, mais non. Elle semblait pourtant chercher bien fort, mais elle restait silencieuse face au résonnement logique et implacable qu'il lui avait donné. C'était bon à savoir, peut-être qu'elle allait pouvoir être docile quand il allait la mené le lendemain matin chez les siens et qu'elle n'allait surtout pas tenté quelque chose de stupide. Bref, elle abandonna le morceau et décida de s'asseoir sur un chaise proche de la fenêtre.
Pendant de longue minutes, il se contenta de la regarder alors qu'elle était concentré sur le dehors. Il se demandait la suite des choses. Il avait très peu de contacte humain ses dernier temps et, la plupart du temps, ils étaient hostile. Elle n'était probablement pas de se genre, mais il ne pouvait pas s'empêcher de pensé qu'il n'arriverait probablement pas à dormir. Il n'était pas stupide, si elle avait à faire quelque chose, ça serait le moment parfait... Heureusement qu'il était capable de résister à un peu d'insomnie.
En tout cas, elle se tourna, après son inspection du dehors, vers l'endroit ou elle était. Qu'est-ce qu'elle se disait? il ne serait pas trop dire, mais elle finit pas lui demander pardon pour son manque de sang froid. Elle se rapprocha un peu plus près de lui avec sa chaise et finit par lui donner son nom et lui demander le sien. Après lui avoir serrer chalereusement la main, il se présenta:
-Aimie hein? Tu peux bien m'appeler Sergei. Puis, il n'y a pas de quoi être désolé, ça arrive bien à tout le monde, surtout dans un endroit comme celui-ci...
Il eu un petit sourire, se leva et s'avança dans un coin de la pièce. Bien qu'en parti consommé, il restait assez d'alcool dans la bouteille de Rhum caché derrière son sac à dos pour en remplir au moins trois verres.
-Ce n'est peut-être pas russe, mais ça va faire l'affaire!
Il retourna à sa place avec deux verres, versa le nectar et le tendit à la demoiselle.
- Trinquons à une bonne nuit de sommeil et à une nouvelle journée en vie!
D'une traite, il avala le contenue et laissa un soupire de contentement face à la sensation de chaleur qu'il l'envahissait.
-Alors, parle moi un peu de l'endroit ou tu vie, ça semble être un endroit assez étrange! Et puis, quel était la raison de la sortie?
Il s'avança un peu plus sur sa chaise et s'approcha plus près de la femme.
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Jeu 8 Déc - 20:16
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie fut contente qu'il ne resta pas froid à la regarder, mais qui lui retourna sa politesse en lui serrant chaleureusement la main et se présentant à son tour. Sergei. Voilà qui était intéressant, ça permettait à Aimie de confirmer certaines choses sur les origines de cet homme. Puis ce dernier fut même assez convivial pour lui dire que ce n'était pas trop grave si elle avait craqué un peu plus tôt. Aimie lui dit tranquillement pendant qu'il s'en allait fouiller dans ses affaires :
-Merci, c'est sympa de me comprendre ainsi.
Puis soudain il sortit de son sac une bouteille d'alcool, en précisant que ça fera l'affaire même si ce n'était pas russe. Pas russe ? Cet homme est un russe. Aimie se sentit soudainement mal à l'aise, la jeune femme savait que c'était eux qui avaient bombardé tout et donc elle ne les portait pas de son coeur. Mais cette fois... elle devait se montrer courtoise, il ne semblait pas être un soldat et donc avec un peu de chance ignorait totalement tout sur l'attaque russe.
Ce dernier servit deux verres plutôt généreux, en but un presque d'une traite tandis qu'il tendait le deuxième à Aimie. La jeune femme regarda le verre et le repoussa vers l'homme. Ce n'était pas la première fois qu'on lui proposait à boire et elle n'allait pas accepter comme toujours. Aimie repoussa le verre vers lui, en lui disant poliment :
-Je ne bois pas d'alcool...
La jeune femme fut surprise de le voir s'intéresser à son clan, qu'il qualifiait de bizarre, alors que c'était bien lui qui était étrange se baladant seul et mangeant des flageolets froids. Aimie préféra retenir cette remarque et la garder pour elle, mais toute fois lui répondit le plus calmement possible :
-On s'appelle les humanistes, parce qu'on croit à l'humanité et on croit avoir une chance de fonder un avenir. On est en quelque sort plus une communauté qu'un clan. On a réussi à avoir un certain confort, je peux prendre une douche tous les deux jours, avoir un plat chaud servi dans une assiette, me détendre en regardant les gens jouer au ballon sur l'un des terrains. Je peux être soignée si je suis malade ou blessée, d'ailleurs c'est un homme très bien que s'occupe de notre infirmerie. Je peux construire l'avenir en formant et cultivant les prochaines générations, car c'est moi qui s'occupe de l'enseignement avec quelques autres personnes. On a une bonne vie, malgré l'horreur de monde... Si j'étais dehors, c'est pour récupérer du matériel pour mes cours. J'ai réussi à avoir des boîtes de crayons et un livre de fables, les petits vont adorés ! Toi... tu n'as jamais eu envie de tout ça ? Tu vas me dire que tu te plais dans ce mode de vie ?
Calmement, il l'écouta lui expliquer tout se qu'il y avait à savoir sur son 'clan' et il ne pouvait pas s'empêcher de trouver à quel point tout ça était futile. À quoi ça servait d'instruire et éduquer les génération futur sur un magnifique passé alors qu'eux était prit dans cette enfer permanent? À ses yeux, les enfants devraient être éduquer à faire face à la menace et essayé d'en finir le plus rapidement possible au lieux de pousser l'échéancier et de tout se qu'il avait avec...
Mais en plus de ça, il avait presque envie de se taper le front avec la paume de sa main. Tout ses problèmes et pertes potentiels pour seulement une poignée de crayons et des livres de fables? Ça ne devait pas tournée très rond.... Les crayons c'est certain qu'on ne peut pas en faire vraiment, même si c'était inutile de se faire tuer pour ça, mais des fables... Elle aurait très bien pu les écrire elle-même comme elle l'aurait voulu, mais c'était du suicide et une perte de temps de temps selon lui...
-C'est bien se que je croyais, vous êtes vraiment très étrange! Je m'attendais à se que vous ayez une bonne raison pour une sorti, mais je m'étais pas imaginer une seconde que tu as faillit mourir pour seulement une poignée de crayons et des livres qui peuvent très bien être écrit par n'importe qui! C'est incroyable tout ça.
Il fit une petite pause pour remplir un peu son verre et, cette fois-ci, il ne fit que le siroter à petite goûte. La gorgé avait été pour sceller un peu leur amitié, même si elle avait refusé son verre plus tôt...
-Alors, est-ce que les jeunes sont éduqué, au moins, à se servir d'une arme et à se battre? Plus vite on va être débarrasser des zombies et peut-être qu'on va pouvoir avoir un semblant d'ancienne vie! Mais, pour répondre à ta question, çe genre de vie me plait beaucoup plus que de rester barricadé dans une cage et vivre dans la peur et la dépendance!
Il eu un petit rire et continua après une nouvelle sirotée:
-Je n'aime pas rester au même endroit trop longtemps et j'aime explorer les ruines. Ça peut-être profitable de savoir toutes les petites merveilles qui se trouve dessous la poussières et les mauvaise odeurs. Et puis, c'Est fou comme ça fait du bien de se défouler une fois de temps en temps.
Il termina le peu qu'il restait dans son verre et repoussa le verre d'Aimie:
-Ce n'était peut-être pas ma maison, mais il en reste tout de même que c'Est ici que je vie pour le moment. C'est une tradition Russe vois-tu? Mais, si il te faut une autre raison, dit toi que c'Est pour faire plaisir à la personne qui t'a sauvée les fesses.
Il lui fit un petit clin d'oeil.
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Ven 9 Déc - 14:10
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
L'homme réagit rapidement et ne fit que la critique, elle et les siens. Aimie savait que beaucoup les trouvaient trop ambitieux ou dans leur petit monde. Mais de là à dire qu'ils faisaient n'importe quoi et qu'ils devaient transformer les enfants en petite armée. Aimie le regarda froidement, elle avait beau être gentille, elle avait ses limites. Les limites étaient son clan et encore plus quand ça concernait ses petits... les enfants dont elle s'occupait... D'ailleurs elle lui dit d'une voix froide :
-On a fait aussi les épiceries ! On n'a pas fait que la librairie, j'en ai juste profité pour récupérer quelques trucs qui pourraient être utiles. Tu trouves ça bêtes des crayons de couleurs, mais je préfères voir des petits de trois à six ans avec des crayons de couleurs, plutôt que des armes ! Ils sont l'avenir ! Pas des vulgaires pantins pour faire le ménage !
Aimie montait le ton de sa voix, frustrée et vexée. Ce prendre ce genre de remarque par un russe, ce n'était pas vraiment quelque chose de plaisant. La jeune femme fronça les sourcils et reprit son discours toujours aussi froide :
-Tu parles sans connaître et tu juges sans savoir ! Notre vie est juste et équilibrée ! On n'essaye pas de retrouver notre vie d'avant, on essaye de créer un nouvel avenir ! Donc oui on cultive nos enfants, ils apprennent les bases, ils savent lire, écrire, compter, identifier la faune et la flore. Puis dès qu'ils ont l'âge nécessaire, ils ont le droit à des cours sur les zombies, sur l'auto défense, sur la survie et les soins !
Aimie le regarde toujours fixement et avec une certaine froideur, cet homme avait le don de la frustrer. La jeune femme posa son regard sur le verre que l'homme essayait de la forcer, puis elle le repoussa vers lui avec plus de vivacité cette fois, en lui reclaquant :
-Tant mieux pour toi ! Mais on est en France... c'est vraiment malpoli de forcer une femme à boire.
La jeune femme croisa les bras et s'appuya contre le dossier de sa chaise, elle avait une moue boudeuse sur le visage et continuait à lui lancer un regard un peu froid, mais le fait d'avoir vidé son sac, l'avait un peu calmé. Une petite pointe de culpabilité la poussa à rajouter :
-Je sais que j'ai encore perdu mon sang-froid, mais je connais la valeur de mon clan, je n'aime pas quand on nous juge et rabaisse inutilement. Ta vie craint de notre point de vue aussi, ce n'est pas pour autant que je te critique comme tu le fais.
Malgré le fait qu'il s'était jurer à lui-même de la protéger et de la ramener chez elle une fois le matin levé, il commençait à éprouver l'envie de la jeter par la fenêtre. Serte il n'allait jamais faire ça, mais elle commençait à lui taper sur le système. Elle devait être bipolaire à voir comment elle était. Un moment elle était calme et l'autre plus explosive. Il n'avait fait que lui poser une question, si elle n'aurait pas voulu crée de malentendu, elle n'avait qu'à préciser plus sa pensé fonction et comment son groupe fonctionnait... Il avait vraiment envie de lui claquer des truc dans le genre: Si c'Est pour ça que je t'ais sauvé la vie, te laisser en-bas aurait été plus amusant, mais il allait se retenir et faire de plus en plus de soupir prononcé. Il avait aussi eu envie de lui dire, après qu'elle lui dit qu'ils étaient en France, que la seule chose qu'il voyait était que des cendres et des malpolies.
Après ses excuses, il eu presque envie de rigoler et de dire que c'était elle qui avait sauté sur ses grand chevaux au lieux de lui parler d'une manière civilisé, mais il était trop attentif de son entourage pour lui répondre immédiatement. Il entendait de drôle de bruit à l'étage supérieur. Il n'avait pas prit la peine de tout désinfecté l'endroit, ça aurait été une trop grande dépense d'énergie surtout qu'il ne va pas vivre ici pour toujours!
-Tu entend ça? On dirait qu'il y a quelqu'un en haut qui vient de se réveiller... La conversation a due attirer l'attention de ceux qui sont enfermer dans leurs chambres... C'est déjà arrivé une fois, ils ont pas arrêter de la nuit!
Il se leva de sur sa chaise et s'approcha de son matériel:
-Ça aurait pu être une bonne occasion de t'endurcir... En tout cas, je vais devoir réduire un peu le nombre, sinon on va pas pouvoir dormir de la nuit! Peut-être que je vais trouver quelque chose d'intéressent tant qu'à y être!
Il enfila son masque, mit son couteau en place et son sac à dos et se dirigea vers la porte:
-De toute façons tu n'as pas de masque... ça serait trop dangereux pour toi...
Sur ses derniers mots, il parti. Il n'eu pas très loin à aller, juste à monté les quelques marches qui le sépare de l'étage supérieur. Quand il arriva, il entendait très bien les zombies se cogner sur tout se qu'il y avait pour essayer de partir. Il eu presque envie de rire tellement l'ironie était puissante. Ils étaient rester chez eux pour ne pas se faire infecté et ils le sont tout de même. Si seulement il y en aurait eu plus comme ça, le monde serait un peu mieux.
En tout cas, en utilisant le double de la clé passe-partout qu'il avait récupéré à la réception quelques jours avant. Tranquillement pour ne pas faire trop de bruit, il déverrouilla la porte la plus proche et inspecta un peu l'intérieur. Si jamais il y avait 3 zombies et plus à l'intérieur, il n'allait pas risquer sa vie...
Il eu besoin de presque 1h pour tuer tout se qu'il pouvait et récupéré se qu'il y avait d'utile. Malheureusement, il n'y avait pas grand chose. Il avait réussit à avoir quelques conserves de plus, mais tout le restant qu'il trouvait était soit endommagé, soit gonflé.
Une fois qu'il fut descendu de l'étage et de retour dans l'appartement, il déclara avec un petit sourire:
-On dirait que le papa noël soviétique m'a donné des cadeaux! Ma réserve de nourriture à grossit un peu et le bruit est beaucoup plus supportable. En tout cas, il commence à être tard, on devrait pensé à dormir. Malheureusement, le seul lit qu'il y a ici est dans la pire pièce de la maison, alors tu vas dormir sur le sofa pendant que je dos dans mon sac de couchage...
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Dim 11 Déc - 13:31
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Commençant à s'habituer à ce russe, Aimie s'attendait à d'autres répliques, à du sarcasme ou des choses de ce genre. Mais rien, il était trop occupé à écouter quelque chose. Sur le coup, elle n'y avait pas fait trop attention, mais maintenant qu'ils étaient silencieux, Aimie pouvait clairement les entendre. Des zombies... Il n'y avait qu'eux pour faire des bruits aussi désagréables. La jeune femme pas du tout rassurée, regarda l'homme espérant qu'il trouve un autre endroit vide pour la nuit, mais il en avait décidé autrement. Elle regarda l'homme se préparer et partir en lui lançant, que c'était trop dangereux pour elle parce qu'elle n'avait pas de masque.
-Mais de quoi tu parles ?
Trop tard, il était parti la laissant seule. Aimie poussa un long soupir, se disant que la nuit allait vraiment être bien longue. Elle resta assise un moment, écoutant les bruits à l'étage, mais... le temps devint de plus en plus long, ne sachant pas vraiment quoi faire. Puis son regard se posa sur son sac. Aimie finit par en sortir le livre qu'elle avait récupéré plus tôt... Elle se souvenait d'avoir appris quelques unes de ces fables quand elle était petite... Le corbeau et le renard par exemple. Elle ne put s'empêcher de sourire et d'ouvrir le livre pour en bouquiner une partie.
Alors qu'elle avait lu une grande partie des fables du livre, elle entendit un bruit dans les escaliers. Instinctivement Aimie bondit sur ses pieds sur le qui-vive. Mais elle se détendit en voyant Sergei. Se réinstallant, elle le vit tout ravi d'avoir trouvé quelques conserves. Sur ce point là elle le comprenait, quand elle pouvait ramener quelques boîtes au clan, elle était toujours contente. Le russe lui lança qu'elle pouvait dormir sur le sofa. C'était sympathique, il aurait tout aussi bien pu la laisser se débrouiller. Aimie décida au moins de le remercier poliment :
-Merci... c'est gentil de votre part.
Aimie s'installa sur le sofa, qui malgré la poussière et tout, restait assez confortable. Elle rouvrit le livre et continue sa lecture silencieusement. La jeune femme n'était pas certaine d'être capable de se reposer avec un inconnu dans la même pièce qu'elle.
Elle le remercia poliment de lui avoir laisser sofa, mais il ne savait pas si c'était du au fait que depuis qu'il l'avait emmené elle semblait de mauvaise humeur, elle ne semblait pas particulièrement contente... Bon, c'était assez normal si il y réfléchissait bien, après tout, elle était habituer de dormir dans un lit douillet! Mais bon, c'était quand même beaucoup mieux que de dormir dans son sac de couchage. Il était troué, sale et avait une drôle d'odeur. Il y était habituer pourtant, il avait presque autant de vécu que lui!
Il la regarda s'installer dans le sofa et continuer de lire son livre. Il ne savait pas comment elle faisait pour être aussi concentré pour lire un livre de compte pour enfant! Lui, il était trop occupé avec ses trouvaille. Avec un grand sourire, il posa ses conserve juste à côté des autres et sorti son couteau. Il n'était pas particulièrement propre et c'était un problème. Avec un chiffon et un peu d'eau, il se mit à astiquer sa lame.
Après de longues minutes à polir sa lame, il sorti sa pierre à aiguiser et se mit à rafraîchir le tranchant. Son couteau de chasse avait été fidèle et jamais elle ne l'avait trahit, mais à force de servir comme ça, il allait devoir la remplacer un beau jours avant qu'elle ne se casse sur la tête de zombie!
Sans prêter attention à la femme qui était sur le divan, il s'approcha de la table et décida de boire le verre qu'il avait essayé de donner à la femme. Elle ne savait pas se détendre elle! C'est en se mettant dans un coin de la pièce, couché dans son sac de couchage, qu'il s'endormit.
Après une nuit sans trop de repos, il se leva et alla ouvrir une conserve.
-Bon réveille belle au bois dormant. Tu as envie d'en manger un peu avant de partir?
Il lui indiqua sa boite de pêches.
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Dim 18 Déc - 1:23
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie lisait tranquillement quand soudainement elle entendit un bruit étrange, elle releva la tête et regarda le russe nettoyer ses lames. Tout de suite la jeune femme paniqua intérieurement. Rassurant... tellement rassurant... ça apaise forcément de devoir dormir dans la même pièce qu'un inconnu, qui plus est un homme, qui plus est un russe et qui plus est un homme russe inconnu jouant avec des couteaux. Ça ne faisait pas du tout... "psychopathe".
La jeune femme frissonna discrètement et essaya de se concentrer à nouveau sur son livre. Mais c'était vraiment dur. Très dur. Le bruit des lames la faisait frémir doucement à chaque fois. Finalement au bout d'un moment il arrêta enfin pour se mettre dans son sac de couchage. Aimie posa son livre sur le côté et s'allongea tranquillement. N'ayant pas confiance à Sergei, elle ne se sentit pas du tout fatiguée et même nerveusement éveillée.
Pour s'occuper, Aimie fixa le ciel nocturne qu'elle pouvait apercevoir de la fenêtre. La lune était presque entière et on pouvait bien voir les étoiles. C'était l'un des rares points positifs de cette catastrophe. Plus de pollution... on pouvait voir le ciel et voir les étoiles scintillantes dans le ciel. Cette pensée fit sourire Aimie, il n'y avait qu'elle pour penser à un tel détail et pour voir une étincelle de positif.
Quoiqu'il en soit, la nuit fut longue. Aimie sombra plusieurs fois et se réveilla en sursaut au moindre petit bruit. Donc elle dormit assez mal et peu. Mais elle avait déjà connu pire. Elle se réveilla en sursaut par l'homme qui l'appela "la belle au bois dormant" et lui proposant à manger. En y songeant, ce n'était pas vraiment son conte préféré. Mais... c'était "mignon" comme surnom. Aimie se leva en s'étirant et bailla, puis lui adressa un sourire avant de s'exclamer :
«-Bon matin Sergei.»
Puis elle se leva. Le fait qu'il ne l'a pas agressé lors de la nuit avec l'un de ses fameux couteaux, avait apaisé quelques peu son hostilité. Aimie se leva et alla s'installer sur l'une des chaises et commença à manger quelques fruits dans la boite. Ça au moins ça pouvait ce manger ainsi. Puis lui demanda :
«-Alors... quel est le plan pour me ramener chez mon clan ?»
Il était content de voir qu'elle ne refusait pas sa boite de conserve comme la veille. Elle devait manger un peu. Contrairement à lui, elle n'avait pas manger depuis qu'elle était parti avec son équipe, enfin, ça c'est si elle avait bien prit la peine de manger avant de partir! Maintenant les risque qu'elle s'évanouisse avant d'arriver à son refuge était beaucoup plus bas et, avec un peu de chance, ils n'allaient pas croiser de zombies. Ça aurait été un bon exercice de se battre un peu, mais avec la femme il devait être prudent. Justement, il connaissait une route assez sûr. Il y a quelques jours, il c'est effectivement rapprocher du fameux clan, sans pour autant s'y être approché de trop près pour être vue. En passant par des bâtiments et ruelles, il avait éviter tout se qu'il pouvait bien y avoir dans les rues. C'était serte plus long, mais la prudence n'avait pas de prix. Il lui expliqua son plan de manière qui ne laissa aucune chance de réplique:
-Le plan? C'est très simple. On part dans environ 1h le temps de s'échauffer, aller au toilette et tout le reste. Puis, on va chez ton refuge en empruntant ma route. On va pas prendre la voie rapide, mais la plus sécuritaire à mes yeux. En passant par les bâtiments et des petites routes ça devrait être plus prudent, surtout avec tout les bruits de la veille.
Sur-ce, il se coucha par terre, torse nue, et se mit à faire ses exercices, push-up, redressement assis et des squat même. Pendant que la femme faisait se qu'elle voulait en attendant, il se mit aussi à faire quelques enchainement de combat. Quand il eu terminé, il se tourna vers la femme:
-Désolé si c'était long, je ne voulais pas risquer d'Avoir une crampe!
En laissant ses choses derrière lui pour les reprendre avant de partir définitivement, il ne fit que prendre son masque et ses armes.
-Bon, je suis prête, on peut y aller!
En se faisant le plus discret possible, il sorti du bâtiment et se mit en route avec la femme près derrière lui.
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Ven 23 Déc - 15:16
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
La jeune femme le regarda quelques secondes, cet homme qui hier l’agaçait grandement et qui l’avait effrayé avec ses couteaux, semblait bien plus calme. A moins que ça soit elle qui se soit calmée en dormant un peu. En tout cas Aimie écouta son plan, mais il ne lui laissa pas un instant pour dire quelque chose ou donner son avis. Donc quand il eut fini, elle s’exclama alors avec sarcasme :
-Oui chef ! Bien chef !
Elle lui tira la langue quand il eut le dos tourné et alla s’asseoir dans le fauteuil. Aimie regarda tranquillement dehors, la voie semblait libre et plus d’infectés été dans le coin. Quand la jeune femme se retourna, elle vit Sergei faire des exercices torse nu. Aimie écarquilla les yeux, rougissant vivement devant ce spectacle, elle détourna le regard. C’était une vue agréable, enfin… on pouvait dire que Sergei était assez bien battit et elle aurait complètement idiote de ne pas le remarquer.
Ce ne fut que lorsque Sergei fut prêt, qu’Aimie remit ses chaussures et attrapa son sac. Puis lui adressa un grand sourire, se sentant bien plus à l’aise maintenant qu’il était entièrement habillé. La demoiselle était d’humeur guillerette, l’idée de retrouver son chez elle et les siens. Aimie le suivit tranquillement, une fois dehors, elle lui demanda alors calmement tout en regardant autour d’elle :
-Oh fait… Est-ce que ça te dirait de reste un peu avec nous ? Je voudrais te prouver que nous ne sommes pas idiots et bercés d’illusions. Puis, avoir un peu de compagnie ne te ferais pas de mal. Juste quelques jours, tu pourras te reposer un peu. Ça sera une façon de te remercier de m’avoir aidé.
Aimie eut un petit sourire de coin, elle n’avait toujours pas oublié ses paroles de la veille et ne démordait pas sur l’idée de le faire changer d’avis, la veille elle avait été trop héritée par la situation pour argumenter convenablement. Mais cette fois, Aimie était de bonne humeur et son agréable caractère avait reprit le dessus.
Elle attendit calmement sa réponse, se doutant qu’il allait refuser, enfin, c’était prévisible selon elle. Puis soudain un bruit la fit sursauter et elle agrippa le bras de Sergei en panique. Ce ne fut qu’en voyant que ce n’était qu’une pierre d’un bâtiment qui était tombée, elle eut un léger rire nerveux et s’écarta de Sergei en rougissant, bredouillant soudainement :
-Désolée… j’ai bêtement paniquée. On devrait se dépêcher de changer de rue, si nous avons entendu se bruit, des infectés ont pu l’entendre aussi.
Il n’avait pas imaginé que, pendant le voyage, elle allait dire quelque chose. Si ils prenaient autant de précaution pour ne pas faire de bruit et si ils ne passaient pas autant de chemin détourné pour, au final, parler. Mais bon, ça allégeait la situation, même si le sujet le laissait beaucoup plus penseur que d’autres choses. Lui? Rester avec les humanistes? Ce n’était pas particulièrement son genre… Quoique ça peut bien faire du bien de se reposer quelques jours. Mais il risquait assez vite de s’ennuyer, après tout, il avait besoin de passer à l’action et de bouger!
Il ne savait pas trop quoi lui répondre, accepter ou lui refuser la récompense? Ça pourrait être bien de remplacer un peu son matériel si c’était possible! En tout cas, il allait lui répondre quand un bruit a se fit entendre à une certaine distance. Il allait sortir son couteau quand la femme s’accrocha à lui avec force dans sa panique. C’était une très mauvaise situation! Et si il y avait un zombie? Ça allait être difficile de se déplacer… Heureusement, ce n’était rien de grave, seulement une pierre…
Mais, maintenant que le pseudo danger était passé, la présence de la femme d’Accrocher à lui le fit rougir. Lui, qui était très physique en se qui concernait les personne proche, se mit à avoir le cœur qui battait plus fort et il était capable de sentir la chaleur de la femme sur son bras. Il avait beau la trouver étrange, il devait serte avouer qu’elle était bien moulé.
-Ne t’en fais pas, on est presque arrivé à ta base de toute façons…Continuons d’avancer.
D’un pas légèrement plus rapide qu’avant, il marcha avec la femme et fit bien attention de ne pas faire de bruits. Après une petite dizaine de minutes, ils arrivèrent enfin devant l’entré principale.
-Voila, on dirait bien que la promenade de santé est finalement terminé… Tu sais, j’ai bien réfléchis à ton offre. Je crois que je vais accepté, mais pas maintenant. Je crois avoir une ou deux choses à terminer dans la région avant de revenir, mais ne t’en fais pas je vais revenir!
Il l’embrassa sur le front
-D’ici là essaie de ne pas faire n’importe quoi d’accord?
Aimie Evans
Survivaliste endurci
Ven 23 Déc - 19:55
Aimie Evans
La jouvencelle en détresse Aimie & Sergei
Aimie décida de marcher tranquillement à côté de lui, elle ne voulait pas passer pour une idiote une fois de plus. Même si elle était vraiment nerveuse. Puis ça l'embêtait que Sergei ait décidé d'ignorer totalement son invitation. C'était même frustrant, mais en même temps cet homme n'était pas solitaire pour rien. Aimie était dans ses pensées, quand la vue du lycée la fit sourire grandement et elle avait même presque envie de courir jusqu'à la porte. Mais elle resta tout de même à côté de Sergei, elle ne voulait pas l’offenser en faisant ça.
Puis au moment où elle voulait le remercier, Sergei se mit à parler. Il lui répondit enfin à sa fameuse proposition. Et Aimie ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire malgré la grande surprise que provoquait cette réponse. Puis elle rougit quand il lui embrassa le front, donc enlevant son masque pour elle. Puis lui demandant de faire attention. Aimie lui répondit avec un grand sourire :
-Sur ça, je ne peux rien te promettre par les temps qui cours. Puis comme tu l'as remarqué, je suis un aimant à problèmes. Mais... Merci Sergei.
Sur cette parole, elle lui fit un câlin chaleureux et lui adressa un grand sourire. Puis quand elle entendit les portes s'ouvrir, Aimie se retourna pour voir David se précipiter vers elle. Son père de substitution. La demoiselle lâcha Sergei pour aller se jeter dans ses bras très heureuse de le revoir.
-Aimie tu m'as fait une grande frayeur ! J'ai cru ne jamais te revoir et que des infectés t'avaient eu! -Non... J'ai eu de la chance, cet homme m'a sauvé hier soir et m'a hébergé pour la nuit, malgré que j'étais assez insuportable car je voulais rentrer. -Ah ah ! C'est bien notre Bunny ça ! Bon... Aller... viens ! On rentre, je crois que tu as besoin de te reposer un peu, de te restaurer et de prendre une bonne douche.
David ébourriffa amicalement les cheveux de la jeune fille et fit un signe de remerciement à Sergei. Aimie le regarda une dernière fois et lui fit un signe de la main avec un sourire, puis ils rentrèrent dans le lycée. Aimie était enfin chez elle et à l'abri.
Il eu un petit sourire quand elle lui dit qu'elle ne pouvait pas lui promettre une telle chose. Il était pleinement conscient que tout et n'importe quoi pouvait arrivé ses temps-ci. Qui sait si son clan allait toujours être là demain? Une horde de zombie au mauvais endroit ou des bandits de mauvais poils pouvait mettre à terre tout se qu'il y avait... C'est une bonne raison de toujours vouloir rester en mouvement, on est plus difficile à trouver et tout... Et puis, elle avait aussi raison de dire qu'elle était un aimant à problème! Qui sait? Elle avait sans doute vécu d'autres aventures de se genre et ça serait drôle de les entendre à sa prochaine visite.
En tout cas, il rendit le câlin que lui faisait la femme et lui frictionna le dos avec sa main libre ainsi que son sourire. Il devait bien avouer qu'elle avait un beau visage quand elle n'était pas de mauvais humeur! Il ne resta pas contre elle longtemps, car la porte finit pas s'ouvrir et elle se jeta dans les bras d'un homme plus vieux qu'eux.
Il n'écoutait pas vraiment leur échange de mots. Il était en train de remettre son équipement en place et d'ajuster son masque de nouveau. Il finit par faire un signe d’au revoir aux deux personnes et parti dans la même direction qu'il était arrivé.
-De nouveau seul on dirait...
Il allait bien revenir d'ici dans peut-être une semaine ou deux qui sait? Mais il allait respecter sa promesse. Plus rapidement qu'à l'arrivé, il rejoignit son petit campement, emballa ses affaires et s'éclipsa en faisant bien attention de prendre une route que personne penserait qu'il prendrait. Une nouvelle aventure s'ouvrait devant lui.
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