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Adeline Swindell
Adeline Swindell
Rescapé
Localisation : Dans son atelier
Lun 29 Jan - 13:16
Adeline Swindell

Âge : 23 ans
Groupe : Humaniste
Nationalité/origines : Française
Immunisé : Ne sait pas.
Situation conjugale : Néant.
Situation familiale : Mère morte. Aucune nouvelle du père.
Place dans le clan/tâche : Mécano, récupératrice
Arme :Une fort imposante clef à molette de 60cm de long

Carnation : Légèrement bronzée
Taille : 1m86
Corpulence : Moyenne
Cheveux : Roses (teints), tondus sur la partie droite du crâne.
Yeux : Verts
Style vestimentaire : Une salopette, un pull blanc à col roulé, un gant de cuir, des Doc Martens bordeaux, des lunettes avec des rabats en cuir et des lentilles supplémentaires, une canne pour l'aider à marcher.
Signe distinctif : Une main mécanique, de nombreuses cicatrices, boiteuse de la jambe droite, une araignée semi mécanique, un tatouage d'engrenages autour du poignet droit.

ft. ... de ...
Adeline Swindell
Adeline est généreuse, gentille, passionnée. Dans ce monde décimé son désir le plus profond est d'aider les autres. Les aider à survivre, les soutenir autant qu'elle peut et si elle y arrive, faire naître le bonheur au milieu des décombres de l'ancien monde.

Adeline est joviale, énergique, curieuse et parfois imprudente. Malgré les évènements elle a su garder son sourire (Peut être n'est-ce qu'une façade ?). Elle prend les choses à cœur et essaye d'insuffler une certaine joie de vivre dans tout ce qu'elle fait. Cela la fait parfois tomber du côté d'une certaine imprudence, elle ne se rend pas compte des dangers qu'elle peut encourir. Une fois lancée elle n'est pas du genre à abandonner facilement.

Adeline est manuelle, minutieuse et bien sûr passionnée de mécanique. Elle n'hésite pas à mettre les mains dans le cambouis et est plutôt douée dans son domaine.

Elle aime inventer, bricoler, étudier des machines diverses. Elle apprécie être au calme pour travailler et il est risqué de la déranger alors qu'elle est concentrée. Calme tout relatif car la musique est excellente pour sa concentration, il est courrant que son atelier soit bercé de swing ou d'electro swing. Elle n'apprécie pas qu'on fouille dans ses affaires, c'est un coup à se prendre une clef à molette sur la tronche.

Bien qu'adorable en quasi toute circonstance et plus portée sur le dialogue que sur la castagne, Adeline ne se laissera pas faire si on lui cherche des noises, à elle, à ses proches ou à toute personne innocente.

Elle est terrifiée par tout animal biologique. Elle ne comprend pas leur fonctionnement, leurs réactions, ça la rend fortement nerveuse et angoissée en leur présence.

Outre la mécanique, une autre passion anime Adeline : le tatouage. Dessinatrice plutôt douée elle s'intéressa fortement à cet art jusqu'à en apprendre les ficelles auprès d'une tatoueuse pro.
Alors comme ça vous voulez connaître mon histoire hein ?
Avant de commencer d'vous raconter j'vais vous décrire un peu à quoi j'ressemble pour qu'vous fassiez une idée.

J'suis assez grande et j'fus souvent prise pour un gars quand j'étais p'tiote. J'sais pas trop pourquoi mais j'ai une peau un peu bronzée alors que j'passe le plus d'temps à l'atelier. J'ai des cicatrices un peu partout, à cause de la mécanique, que j'fais vraiment jamais attention et aussi de c'qui s'passe d'puis plusieurs années, on r'sort pas indemne d'un truc pareil. J'regarde toujours partout, j'bricole sans faire gaffe et y m'arrive souvent des accidents à cause de ça.
Parlant d'accident yen a un plus grave que les autres qui fait qu'le muscle de mon mollet droit est bien bousillé. La cicatrice est pas belle à voir. Juste que maintenant bah je boîte et j'utilise une canne pour m'aider à m'déplacer. Enfin ça m'empêche pas de marcher et si b'soin j'peux même courir, mais faudrait pas trop abuser.

J'porte quasi tout le temps un pull blanc avec un col roulé, toujours couvert de tâches d'huile. J'ai aussi une salopette en jean. J'y ai modifié la poche pour pouvoir y stocker mes outils. Pour finir j'ai une paire de Doc Martens bordeaux en pas très bon état non plus.

En général ma main droite est r'couverte d'un gant en cuir marron. Parce que j'en ai plus vraiment et qu'elle a été remplacé par une prothèse mécanique en métal. Un gant c'plus discret pour sortir vous comprenez. C'une prothèse qui marche bien en général mais bon ya toujours des ratés. Au cas où j'peux l'enlever, genre j'préfère dormir et me laver sans. Bon c'pas parfait clair'ment elle peut s'gripper d'temps en temps mais j'bosse d'ssus encore pour l'améliorer.

Pour rendre un peu mon poignet plus joli j'ai fait faire un tatouage qui fait tout l'tour à la liaison entre l'poignet et la base de la prothèse. C'est une sorte de bracelet de rouages, je l'adore.

Sur mon visage on peut lire que j'bosse la mécanique d'puis bien des années déjà. J'ai les ch'veux roses qui m'arrivent à l'épaule côté gauche, côté droit j'ai préféré tout raser, en plus on peut voir mes piercings à l'oreille comme ça. J'porte tout le temps des lunettes de vue, j'y ai rajouté des rabats en cuir et des lentilles en plus pour en faire des lunettes d'horloger. Comme ça quand j'ai besoin j'peux descendre les lentilles d'vant mon œil pour regarder un truc ou faire d'la méca de précision.

Pis 'vec moi ya toujours Coriolis, c'est une araignée mécanique, 'fin en partie. À la base c'tait une IA expérimentale de robots pour gosse ou j'sais pas quoi. L'électronique c'pas mon fort. Bon du coup c'tait une sorte de structure toute petite sur laquelle on pouvait brancher le corps qu'on voulait. Alors j'ai dessiné et construit un corps d'araignée parce que j'trouvais ça cool et voilà.

Mon histoire ? Ah oui c'tait ça que j'devais raconter à la base.

Alors. *Adeline prend sa voix de narratrice*

Un cri retentit. Un cri aigu, un cri profond. Un cri de douleur.

Dans un grand garage, derrière un pick up vert foncé et tout cabossé, se tenait une femme à la forte carrure et à l'apparence bourrue. Elle devait avoir la cinquantaine, les cheveux gris, était vêtue d'un bleu de travail et portait dans ses bras en enfant aux cheveux aussi longs que blonds. Il avait le bras ensanglanté et du sang partout sur ses vêtements. C'était lui qui criait fort, de toutes ses forces. Derrière on pouvait distinguer une broyeuse à bois à l'arrêt, ensanglantée elle aussi. Face au trou qui servait à déverser les copeaux il y avait un mur recouvert de sang lui aussi.

Bon. Pause. Vous vous demandez sans doute comment j'en suis arrivée là ? Oui, moi. Le gosse qui chiale dans les bras de sa mère c'est moi. Je viens de perdre une main, c'est assez moche vu comme ça mais en même temps c'est pas étonnant. Alors j'dois vous raconter mon histoire c'est ça ? Pour sûr je vais pas vous laisser en plan face à cette scène.

Tout commença… Nan j'suis sûre qu'on vous a déjà fait c'coup là. Mmh. On va être plus direct.

J'suis Adeline. Adeline Swindell, fille de Lydia Swindell et Nathanael Chesney. Elle c'est une grande mécanicienne. Elle était spécialisée dans la réparation de vieilles bagnoles. Vous savez les belles bagnoles de sport et de collection c'était son rayon. Mais elle en a eu un peu marre de ça, de la célébrité et des exigences de ce métier. Du coup elle est venue s'installer en France, en Lorraine à la campagne. Pour le calme, le repos tout ça. Elle est devenue prof de mécanique et d'automatique parce que la mécanique c'est quand même toute sa vie (c'est la mienne aussi mais on y viendra). Elle a l'air bourrue comme ça mais elle est adorable, beaucoup trop. Beaucoup, beaucoup trop.

Et lui ? Lui j'le connais pas beaucoup. Il passe pas souvent à la maison. Il bosse dans le cinéma. Mais il est pas acteur ou réal ou j'sais pas quoi. Nan il fait du repérage. Il va dans des contrées lointaines pour trouver de purs lieux exotiques. Avec les moyens de maintenant ça se fait plus beaucoup ça. Ils préférent tout tourner en studio ou devant des fonds verts. Mais comme c'est l'un des seuls à s'y connaître vraiment il gagne bien sa vie, genre vraiment bien. Lui aussi il est sympa.


Donc moi j'suis leur gosse. Même si j'ai été élevée seulement par ma mère. Ainsi j'suis née en France, en Lorraine. Toute ma vie, enfin jusque là, j'ai vécue en pleine campagne. J'disais qu'la mécanique c'est toute ma vie. J'sais pas bien quand ça a commencé mais il paraît que toute p'tite je lorgnais déjà sur les objets mécaniques, que pour me calmer rien valait le bruit d'un bon moteur et que j'pouvais pas dormir sans une clef anglaise. C'est mignon mais j'pense que c'est des bobards de ma mère pour rendre ma vie plus rigolote. Le fait est que j'ai jamais pu m'empêcher de foutre les mains où j'devais pas. Surtout quand ça a des rouages et des pistons qui gigotent dans tous les sens.

Du coup au cours de toutes ces années j'me suis fait un paquet de blessures. Ouais depuis toute gosse déjà. J'ai des cicatrices un peu partout parce que je sais pas m'tenir. Et aussi parce que ma mère m'engueulait jamais du coup j'continuais (en même temps pas sûre que m'punir ou quoi aurait suffit à me calmer).

En même temps j'suis allée à l'école. J'étais plus grande que les autres gamins, ça leur faisait peur je crois mais je me suis fait quelques potes quand même. J'ai toujours été un peu une «pile électrique», les maîtres et maîtresses ils ont pas aimé. J'me suis souvent retrouvée au coin pour avoir tenter de démonter un objet à ma portée, pour avoir construit un pistolet à élastique, pour avoir balancé un tournevis à travers la classe, la routine. Donc voilà pour tout le monde j'étais une sale gosse. Sauf peut être pour mes parents, ma mère me gronde jamais et semble toujours me trouver adorable, mon père quand il passe à la maison m'offre toujours un petit quelque chose pour me faire plaisir.

On habitait dans un petit village. Ma mère bossait dans la grande ville voisine dans une école d'ingénieurs. C'était la seule mécano du village, du coup les gens lui amenaient souvent des trucs à réparer. Des machines, des bagnoles, des engins. On avait un grand garage exprès pour ça, on y stockait des machines, tout l'outillage dont elle avait besoin, son vieux pick-up (avec le volant à droite). Vous imaginez bien qu'à chaque nouvelle machine moi j'ai des étoiles dans les yeux. Faut que j'aille inspecter pour comprendre et tout.

C'est ce qui est arrivé ce jour là. Ma mère était en train de réparer un bête vélo. Et au fond du garage était posé une déchiqueteuse à bois. Le garde forestier du coin l'avait ammené. Bon bah vous imaginez bien, j'étais curieuse, inconsciente, imprudente. J'suis grimpée d'sus, j'ai fait tomber mes lunettes d'dans, j'ai voulu les attraper, la machine s'est lancée et vous imaginez la suite.

Après j'me suis r'trouvée 'vec plus qu'une main. Bien vite on m'ajouta une pince bien nulle. Difficile de bosser ma passion dans ces conditions… Grand prince mon père voyant qu'j'étais plus aussi joyeuse qu'avant s'renseigna sur les prothèses derniers cris et m'en finança une. Bof. Honnêtement ça marchait pas terrible, ça tombait en panne et tout. 'vec l'aide d'ma mère on a finit par bazarder tout sauf la base greffée sur mon moignon. Et à partir d'ça on a construit notre propre main, mécanique celle là. Et là j'revivais enfin. C'était un projet qui nous occupa des années entières, véritablement passionnant. Et ça finit par marcher.

Bon c'pas tout ça mais pendant c'temps j'connu mes meilleures amies : Ophélia, la disquaire qui me fit découvrir les joies des vinyls et de l'electro swing, et Coriolis, tatoueuse qui devint peu à peu comme une grande sœur pour moi. Cette dernière aimait beaucoup mon coup d'crayon et c'est en sa mémoire que j'appellerais plus tard mon araignée en son nom. Son design était basé sur un croquis qu'elle appréciait particulièrement, malheureusement la tatoueuse-grande-sœur mit fin à ses jours avant que le projet d'araignée mécanique ne puisse voir le jour…

Il ne put voir le jour que grâce à un autre don de son père. Fort au courant de sa passion pour la mécanique il se disait que ce prototype qui servait de base à des robots utilisés sur les tournages pouvait intéresser sa fille. Ce fut le cas et c'est là d'sus que j'ai pu construire ce qui devint mon amie la plus proche.

En effet les malheureux événements commencèrent peu de temps après ça… Décimant les amies qui me restaient. 'vec ma mère on a réussi à t'nir bon dans not' p'tit village pendant un bon moment mais elle finit par se trouver contaminée à son tour et… j'préfère pas en parler. Mon père étant en déplacement j'ai pas eu d'nouvelles d'puis.

Bon d'coup j'ai du fuir la Lorraine, le voyage fut pas facile mais j'ai quand même réussit à atteindre la capitale. En bien mauvais état je dois le dire. J'fus secourue par ce qui deviendra ma nouvelle famille. Les Humanistes qu'ils s'appellent. On s'est bien trouvé j'pense. Une fois sur pied j'avais plus envie d'les quitter, j'y ai trouvé ma place, comme mécano. Et un nouveau sens à une vie qui s'avérait alors aussi détruite que le reste du monde.

Voilà.
J'espère qu'z'avez apprécié ma p'tite histoire. Elle est pas finie comme vous vous en doutez. J'espère pouvoir l'écrire parmi vous.

Pseudonyme : Lyz
Âge : un âge certain
Blabla : Poca <3
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Z
Z
Fondateur
Ven 15 Juin - 15:25
Z

Validée

Bienvenue !

Bon, tout me semble complet, cohérent et correct. Donc je te valide et je te rajoute ta couleur bleue.

Par contre, je te remets ici, que ton araignée mécanique reste un "jouet avancé", donc elle n'est pas indépendante et ne peut pas faire de choses phénoménale. Elle peut juste tenir "compagnie" à ta personnage et regarder ce qu'elle fait ;)

Bon ! Maintenant que tu es validée, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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