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Eowyn Leconte ~ Citadelle (terminée)

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Anonymous
Invité
Invité
Mar 11 Sep - 1:13
Invité

Âge : 24 ans
Groupe : Citadelle
Nationalité/origines : Française
Immunisé : Aucune idée
Situation conjugale : Le néant
Situation familiale : Seule
Place dans le clan/tâche : Elle a crée et elle tient le seule restaurant de la citadelle
Arme : arbalète, épée et deux belles dagues

Carnation : une peau pâle, mais elle a toujours un léger bronzage dès qu'elle s'expose un moment au soleil
Taille : 1m71
Corpulence : svelte avec juste ce qu'il faut comme formes
Cheveux : entre le court et le mi-long, châtains et ondulés
Yeux : vairons, un marron et un vert
Style vestimentaire : atypique, elle porte souvent des jupes, des corsets avec des chemises et le tout avec ses belles bottes.
Signe distinctif : Tout ? On dirait qu'elle vient d'un autre temps, d'un autre monde. Elle a quelques cicatrices mais rien de bien visible. Sinon elle a toujours un pendentif en or qu'elle cache sous ses vêtements qui renferme la photo de sa défunte famille.

Tu veux un poutou ?
Eowyn Leconte
Mon caractère ? Sérieusement ? Vous allez m'embêter longtemps avec vos questions ?

Mes qualités : Très original comme question ! Vous ne pouvez pas mieux faire ? Bref ! Je vais répondre pour qu'on me foute la paix alors ! Mes qualités : bosseuse, déterminée, franche, passionnée même si ça ne se voit pas et je ne me mêle pas de ce qui ne me regarde pas moi !

Mes défauts : Peut-être ma froideur ? Enfin, c'est ce qu'on m'a reproché l'autre jour, mais bon, moi je ne vois pas où est le problème. Après, on m'a aussi souvent reprocher mon côté sarcastique aussi et le fait que je regarde souvent froidement les gens quand je suis pas d'humeur. Bref ! Une vraie armure quoi.

Ce que j'aime : Lire des romans fantastiques et fantasy, écrire des histoires, cuisiner et gérer mon restaurant. Manier mes armes.

Ce que je déteste : Ceux qui se mêlent de mes affaires, ceux qui ont un humour lourd sur mon style ou mes armes, les revenants et ceux qui essayent de trop négocier dans mon resto.

Ce que je pense des amitiés : Amiquoi ? Je ne connais pas ça.

Ce que je pense de l'amour : Depuis Emma j'ai rencontré personne et je me demande si un jour quelqu'un arrivera vraiment à m'approcher. Je ne sais pas trop du coup.

Ce que je pense des liens négatifs : Vous en posez des questions bêtes vous ! Ce que j'en pense ? J'en ai rien à faire qu'on ne m'aime pas. Tout ce que je veux c'est qu'on me foute la paix, les personnes que je n'aime pas le savent et elles ont intérêt à garder leurs distances si elles ne veulent pas que je me fâche. Voilà ce que j'en pense.

Bon ! C'est tout ? Pas d'autres questions ridicules ? Du vent alors ! Et foutez moi la paix !
Comment j'en suis arrivée là ? En y réfléchissant quelques instants, je me dis que c'est trop pour être vrai et que je dois certainement cauchemarder. Mais finalement, l'horreur de la réalité me rattrape assez vite et me fonce dedans sans retenu, me donnant à chaque fois un coup violent. Et dire qu'avant j'aimais ma vie, j'aimais vivre. Maintenant ? J'en ai plus rien à foutre de tout ce merdier !

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été la fille bizarre. Rien que mon prénom me faisait me remarquer, mais que voulez vous ! C'est ça d'avoir des parents fan de fantasy en tout genre et surtout du Seigneur des anneaux. Malgré qu'ils aient été considérés comme des excentriques, vous ne pouvez pas imaginer à quel point je les aimais et comme j'aimais la vie que je menais avec eux !

Sérieusement ! Pendant que les fillettes de mon âge faisaient de la danse, parlaient de princesses et écoutaient des histoires de Disney pour dormir. Moi je faisais du cheval, de l'escrime, je passais mon temps à jouer à la bagarre avec des fausses épées avec mon père et j'avais le droit à des histoires épiques pour rêver d'aventure. Les autres voulaient être une princesse, moi je voulais être la fille en armure qui botte les fesses des méchants !

Leur passion coulait en moi aussi surement que notre sang. Plus je grandissais et plus je m'impliquais. Même si en chemin je suis devenue fan d'Harry Potter, ce qui virait vers le fantastique. Cela n'a pas empêché mon père de m'encourager et de m'offrir l'épée de gryffondor par exemple. Si vous auriez vu ma chambre ou même notre maison ! C'était épiquement impressionnant ! Puis ce n'était rien comparé à notre mode de vie ou à nos passes-temps, mon père apprenait à forger pour tout avouer, ma mère adorait la broderie pour faire des tapisseries, ainsi que la confection de vêtements, elle me faisait des tenues qui faisaient baver plus d'une personne lors de nos sorties familiales et moi quand je n'étais pas à là à manier des armes, j'écrivais dans l'espoir d'écrire un jour une histoire digne de notre passion ! Puis c'était sans compter nos vacances. L'été je passais mes journées dans des reconstitutions, des conventions ou des festivals médiévaux. J'y apprenais tellement de choses, comme manier des épées, tirer à l'arbalète et bien plus encore. Je faisais tout pour botter les fesses de ces messieurs qui osaient vouloir me prendre pour une damoiselle, alors qu'à mes yeux ils étaient les damoiseaux de mon histoire !

Bon ! Il faut quand même avouer que tout ça, ce n'était pas du tout donné, surtout que mon père était un fervent collectionneur d'armes médiévales et que sa forge demandait un certain financement tout de même. Mais, la brasserie sur le thème médiéval/fantasy qu'ils tenaient en plein coeur de Paris marchait tellement bien, qu'on n'avait pas de soucis à se faire pour ça. Surtout que mes parents y tenaient un petit secteur de souvenirs où les gens pouvaient acheter quelques objets fabriqués par ces derniers. D'ailleurs, ma mère espérait que je travaille avec eux, que nous soyons unis dans cette aventure familiale et qu'un jour je reprenne l'affaire. Une chance quand on pense à mon niveau scolaire et ma docilité à l'école, car oui, j'étais loin de l'élève modèle.

De toute façon, dès que je le pus, j'ai de suite arrêté les cours pour travailler avec eux. Étrangement, mes parents ont soutenu mon choix de ne pas aller jusqu'aux diplômes, au grand désespoir de mes profs. De toute façon, comme disait mon père, j'étais faite pour être libre et travailler dans mon univers, pas pour apprendre à travailler dans des études qui me mèneraient à tout sauf à être moi-même. Oui, j'avoue, que j'avais un lien spécial avec mon père et on se soutenait très fort.

Ma vie avait pris le chemin qu'elle devait prendre, vie passionnante rythmée par les coups d'épées et autre fantasy, travaillait dans l'affaire familiale et avoir ma première petite amie: Emma. Rencontrée lors d'une convention sur Harry Potter. Mon premier amour, elle était drôle, fine, joviale et tellement passionnée. Tout comme moi à cette époque d'ailleurs.

Puis bien sûr le monde partit de travers. Le début de l'épidémie et tout ce merdier. Je pris réellement conscience du problème quand Emma après avoir été attaquer en allant au centre de distribution de ressources, a eu les premiers symptômes. Je l'ai conduite à l'hôpital où on l'a transféré dans ce foutu centre de recherche après la confirmation de son infection. Après ça, je n'ai plus eu de nouvelles d'elle et ce malgré mon harcèlement récurant à leur égard.

Alors que j'étais pas au top de ma forme et que je pensais que les choses ne pouvaient pas être pires, voilà que ça s'aggravait. Avec mes parents, on a fini par s'équiper de nos armes et nettoyer un peu le quartier où on vivait. On peut dire que ça me faisait du bien, je me défoulais tellement. On nous appelait les chevaliers de la mort. C'était assez cool malgré mon chagrin qui restait encré en moi. D'ailleurs les choses ne firent qu'empirer, ma mère perdit la vie dans les bombardements. C'était horrible. Déjà mon chagrin me déchirait de l'intérieur, mais la vue de mon père hurlant à la mort le prénom de ma mère qui venait d'être écrasée par des débris, c'est une image qui me hantera jusqu'à la fin de ma vie. Ma mère était tout pour lui, son âme soeur, sa meilleure amie et son équipière dans toutes les épreuves. J'ai toujours admiré leur amour et je redoutais le jour où je devrais être témoin du départ de l'un.

Mon père après ça ne fut plus le même. Toujours sur les nerfs, surprotecteur étouffant avec moi. Il se montrait de plus en plus agressif et prenait de plus en plus de risque. On voyait bien que la mort de ma mère l'avait détruit et qu'il ne voulait qu'une chose: la rejoindre. Ce qui était prévisible arriva rapidement, sauf que j'aurais préféré que les choses se terminent autrement. Il chargea un trop grand groupe de revenants et il fut mordu à plusieurs reprises. C'était un homme fort, il a tout de même survécu à ce combat, mais malheureusement en quelques jours le virus eut raison de lui. Du coup, la vie belle garce qu'elle est, elle m'a obligé d'achever mon père quand il ouvrit les yeux après son dernier souffle.

Je pense qu'il est inutile de dire à quel point tout ça me fit mal et me donna à mon tour un goût amer dans la bouche. Après ça, ce fut à mon tour d'agir bêtement et de me mettre souvent en danger. Trop souvent. Heureusement pour moi, quelqu'un me sauva les fesses d'une situation où j'allais me faire bouffer et ce malgré ma tenue en cuir renforcée.

Ce type m'emmena chez lui, à la citadelle où je découvris une sorte de ville souterraine nichée dans les galeries. La foule et l'attention des gens me fit grimacer à maintes reprises, mais je ne sais pas, quelque chose me retint à cet endroit et je ne sais toujours pas quoi. Tout ce que je me rappelle, c'est que j'ai galéré au début. Je ne trouvais pas ma place et je ne parvenais pas à travailler dans certains endroits sans perdre patience. Je passais donc mon temps à faire explorer l'endroit et d'un coup, tout pris un sens. J'ai trouvé une petite galerie de métro avec une rame de métro à l'arrêt. L'idée me frappa en pleine face et je savais ce que je voulais, une chose qui rendrait hommage à mes parents.

Bon, ça n'a pas été facile, j'ai dû convaincre l'oeil et Violine. Mais une fois fait, j'ai tout fait pour créer "La taverne" ! Le seul et l'unique "restaurant" de la ville. J'ai fait de mon mieux pour l'aménager, j'ai juste gardé la rame du fond pour mon utilisation personnelle afin d'avoir un chez moi. Pour être franche, je ne pensais pas que ça fonctionnerait, mais très rapidement j'ai fait un succès fou. Maintenant tout le monde reconnait quand je passe quelque part et tout le monde me salut, j'ai obtenu une certaine renommée et un certain confort surtout. Ma vie se résume plus qu'à ma taverne et à mes quelques sorties.

Pseudonyme : Hélyne la fantastique
Âge : 27 ans
Blabla : JE SUIS DE RETOUR ! POUR VOUS JOUER UN MAUVAIS TOUR !
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Z
Z
Fondateur
Mar 11 Sep - 18:14
Z

Validée !

Re X Bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct.Donc je te valide et je te rajoute ta couleur violette.

Bon même si tu le sais : maintenant que tu es validée, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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