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Alex' Kher | Toujours garder une balle pour soi-même.

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Alexandre Kher
Alexandre Kher
Rescapé
Dim 7 Oct - 7:26
Alexandre Kher

Âge : 30 ans.
Groupe : Les humanistes (anciennement) / Solitaire
Nationalité/origines : FR
Immunisé : ouinon, ne sais pas
Situation conjugale : NC
Situation familiale : NC
Place dans le clan/tâcheIngénieur/Coursier
Arme : Machette

Carnation : Caucasien 
Taille : 1m93.
Corpulence : 85kls.
Cheveux : Longs, clairs
Yeux : Marrons
Style vestimentaire : Quelque chose qui permet de facilement se mouvoir.
Signe distinctif : NC

ft. ... de ...
Alexandre Kher
Alexandre est un gentil garçon, c'est ce qu'il vous dira. Du moins, c'était un gentil garçon. Pas tellement que les concepts de gentil et méchant ont une grande valeur à ses yeux et aux yeux de ce nouveau monde. Il a toujours essayé de bien agir. Forcément une formation militaire ça aide, puisque le seul mot qu'il à connu pendant de nombreuses années fût celui-ci : Discipline. C'est sans doute pour ça qu'il est toujours en vie d'ailleurs, contrairement à certains. Son caractère à été forgé bien avant l'apocalypse même si il est vrai qu'il est légèrement plus insouciant, maintenant, même si il peut-être très dur... voir colérique. Demandez aux humanistes, certains s'en souviendront très bien... Des fois, c'est comme ça, le vase qui déborde. Parfois, on s'arrête à de simples insultes sur les mères, d'autres fois, quelques coups pleuvent. Sombre histoire. Mais c'est comme ça, c'est le monde qui le veut. Faut bouffer le monde avant que celui-ci le fasse et ça, Alexandre l'a bien compris. Mais pour résumer disons qu'il est quelqu'un de facile à vivre tant qu'on ne lui cherche pas des problèmes.
Il ne faisait pas beau ce jour-là, oh ça non. Le soleil commençait doucement à se lever, enfin, avec un temps comme ça, on ne pouvait être sûr de rien. Le ciel dans son habit de deuil enveloppait la capitale et les trombes d’eau qui s’abattaient sur la ville faisaient penser à l’apocalypse. Pardon, rectification… C’était l’apocalypse.

- Mon capitaine ! Ils ont franchi les portes ! Hurla une voix dans un des nombreux couloirs de la base. Ceci était presque un exploit, tant l’orage au-dessus de leur tête voulait garder la parole pour lui tout seul. Quelques secondes plus tard, un homme en treillis apparu devant un petit groupe de soldats en train de barricader plusieurs sorties de secours avec différentes parties du mobilier. Une fois leur dur labeur terminé, ils attrapèrent chacun de quoi se défendre.
- Très bien, soldats. On y va, on se les fait. Il ne faut pas les laisser pénétrer plus loin. Ordonna le soldat qui semblait être le plus gradé du groupe avant que les autres soldats n’acquiescent.
 
Le petit groupe composé d’une dizaine d’hommes se dirigea vers l’entrée B2 au rez-de-chaussée, endroit difficilement défendable étant une grande entrée composée de plusieurs vitres facilement destructibles en cas de poids excessif sur celles-ci. Malgré plusieurs véhicules stationnés devant pour stopper toute avancée, plusieurs infectés avaient réussis à passer et briser certaines vitres. Des soldats pour la plupart. La base avait tenu assez longtemps après le début de l’épidémie. Les soldats stationnés ici, devaient participer à l’opération « Bouclier de Fer » qui consistait à prendre Paris d’assaut avec toute les forces actives d’Île de France et des alentours et ainsi bloquer l’ensemble de la Capitale pour en faire une zone sûre et ainsi créer une tête de pont. Néanmoins, l’ensemble des communications ayant été coupé, la base se retrouva toute seule et tomba au bout de quelques semaines, ne laissant que quelques soldats encore en vie disséminés un peu partout sur celle-ci.
-  Allez. Dégommez-moi ces saloperies ! La tête, visez la tête.  
Le Capitaine arma alors son Famas et commença à tirer dans le tas, très vite imité par les autres. Un déluge de balles, de poudre et de sang vient danser avec le bruit du tonnerre pour lui faire concurrence. L’entrée, plongée dans le noir, était prise de spasmes de lumière qui vinrent briser sa sombre solitude. Les douilles venaient s’écraser sur le sol au même rythme que les corps continuant le macabre ballet qui avait débuté, il y a peu… L’affrontement ne dura que quelques secondes, les soldats n’ayant laissé aucune chance à leurs opposants. Le Capitaine s’avança alors… Il passa légèrement sa tête par une des failles dans une des fenêtres pour vérifier si tout était calme, mais la noirceur ambiante ne l’aida guère. 
 

- Bon. On nettoie tout ça et on referme toute cette merAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaah. Il ne fallut que quelques secondes pour glacer -encore plus- le sang des soldats présents. Trente-deux dents venaient de pénétrer la chair du gradé, au niveau du cou. L’infecté aurait eut toute la possibilité -et l’envie, sans doute- d’arracher un petit bout du soldat si une balle n’était pas venu se loger dans sa cavité crânienne. Argh. Lieutenant, un coup de main. Demanda le soldat en s’appuyant sur le rebord de la fenêtre. Le lieutenant en question s’avança avant de passer le bras de son supérieur derrière son coup pour l’aider à se tenir droit.
- Je crois qu’il vous a trouvé à son goût, mon Capitaine. Lança le lieutenant.
- Ferme ta gueule, Kher. Répondit le blessé, difficilement, le sang coulant de son cou.
Kher, Alexandre Kher était lieutenant depuis quelques mois avant le début de l’épidémie. Sa spécialité était la mécanique militaire. Il dirigeait le service d’ingénierie de la base et s’occupait de la maintenance et de la réparation des différents véhicules. Le genre de gars, facile à vivre, qui aimait bien son travail et que tout le monde appréciait autant pour ses qualités humaines que pour ses compétences techniques. Le genre de mec que tout le monde est content d’avoir dans sa section, dirons-nous. Il avait fait ses classes dans le sud de la France, sur la base d’Orange où il s’est spécialisé en mécanique sur les avions de chasse : Les mirages. Finalement, petit à petit il a eu la possibilité de rejoindre la Capitale, ce qu’il à fait. N’étant pas très proche de ses parents malgré qu’il soit fils unique, il n’avait pas hésité devant cette opportunité. Le groupe se dépêcha de déplacer quelques armoires en guise de barricades de fortune et rejoignirent l’arrière du bâtiment où se trouvait l’endroit dans lequel ils se reposaient. 
S’assurant que l’endroit était bel et bien désert, ils s’y installèrent pour récupérer un peu de ces sensations fortes. Ils se couchèrent sur leurs lits de fortunes pour espérer récupérer quelques heures de sommeil. Tous. Tous sauf un. En effet le lieutenant Kher installa le Capitaine sur un des lits, après plusieurs minutes, le saignement avait été contrôlé mais le soldat avait perdu un bon nombre de sang sans parler du contrecoup qu’il ressentait déjà. 
 
- Gardez un œil sur lui. Demanda le lieutenant Kher. Je vais aller sur le toit faire une reco’, histoire de ne plus se faire surprendre comme ça, ce n’est pas le moment d’avoir des blessés surtout qu’on n’a pas la possibilité de nous rendre à l’infirmerie pour l’instant. 


Le soldat attrapa un des fusils et une paire de jumelles et se rendit sur le toit. La pluie s’était étonnant arrêtée. Le soldat faisait les cent pas encore et encore, scrutant les alentours encore, encore et encore. Les minutes devinrent des heures. Et rien, toujours rien. Du moins… Jusqu’à ce que l’attention du soldat fût attirée par quelque chose au loin. Après un rapide coup de jumelle, il ne put retenir un « Putain ! », il laissa tomber son arme de surprise et se dirigea à toute hâte en direction de ses compagnons. Il n’avait pas mis un pied dans la salle qu’un infecté se jeta sur lui. Il tomba alors en arrière, de surprise, l’infecté essayant d’enfoncer sa mâchoire dans la peau du soldat. Essayant de repousser tant bien que mal la créature, il se rendit compte que celui-ci n’était autre qu’un des soldats du groupe. Il ne comprenait pas. 
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ! Continuant de se débattre, il remarqua et attrapa le pistolet que son agresseur possédait au niveau de sa ceinture dans son holster. Il plaqua le canon sur la tempe du zombie et appuya sur la détente. Celui-ci, ne bougea plus, ne grogna plus. Il tomba de tout son poids. Comme un jouet sans pile. Plus rien. Le silence. Il fît rouler le corps sur le côté et reprenant ses esprits il se dirigea vers la pièce. La dure réalité s’abattit alors. Le Capitaine était au sol en train de dévorer le reste de ce qui fût sans doute un corps humain. Trop attaché à se repaître, le coup de feu ne l’avait même pas fait broncher de son « assiette. » Le lieutenant ne comprenait plus rien, comment ? Il n’arrivait plus à respirer, il était… perdu. Pourquoi ? Comment ? Comment ? Comment ? Comment ? Il se retourna alors et tomba nez à nez avec un autre infecté qui se jeta sur lui.
- Putain ! Ah… Ah.. Putain. Souffla Alexandre.
Un souffle rapide, de la sueur, des frissons. Un cauchemar… Non, un souvenir. C’est encore pire. Le jeune homme, qui avait passé la nuit dans une des nombreuses ruines de Paris, se raidit alors. Il se leva en sursaut ne pouvant retenir une remonté de bile. Le liquide chaud et visqueux vînt alors lui inonder la gorge avant de finir sa course dans un coin de la pièce. Il s’essuya la bouche d’un revers de manche et attrapa sa vieille bouteille pour se gargariser la gorge. Après avoir repris un peu ses esprits, il rangea ses affaires, récupérant ce qui traînait ça et là en les enfouissant dans son sac. Il récupéra alors une feuille de papier où était inscrit une adresse et un nom. Après l’avoir regardé une nouvelle fois, il la plaça dans une des ses poches…
 
- Encore une belle journée de merde, dans cette ville de merde dans ce putain de monde de merde. 
 
Il récupéra sa machette dans un coin, il plaça une des lanières de son sac sur son épaule. Il retira la chaise dont il s’était servi pour bloquer la porte et commença à descendre les escaliers pour se retrouver dans la rue. Il jeta alors un coup d’œil au ciel.
- Ah… Il pleut…

Pseudonyme : ...
Âge :
Blabla : Blabla
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Tamara Slowinski
Tamara Slowinski
Rescapé
Dim 7 Oct - 8:04
Tamara Slowinski
Bienvenue à toi ! J'espère que tu te plaira parmis nous !

J'aime beaucoup ta fiche, hâte de voir la bouille de ton perso ! :3
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Sarrah
Sarrah
Survivant
Dim 7 Oct - 10:30
Sarrah
Bienvenu à toi !

Bon courage pour la fin de la création de ton personnage, mais aussi pour ta validation o/
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Epidémie
Epidémie
Modérateur
Lun 8 Oct - 10:10
Epidémie

Validée !

Bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct, bien structuré et clair. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur bleue claire.

Maintenant que tu es validé, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !

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