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Faïza, does it matter now ?

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Faïza Abd al-Karim
Faïza Abd al-Karim
Rescapé
Localisation : L'usine.
Ven 23 Mar - 22:33
Faïza Abd al-Karim

Âge : 37 ans.
Groupe : La Meute.
Nationalité/origines : Française, origines algériennes.
Immunisé : N’en sait rien.
Situation conjugale : Célibataire.
Situation familiale : Toute sa famille est décédée.
Place dans le clan/tâche : Nouvellement Alpha. (edit du 26/08/2018)
Arme : Une machette.

Carnation : Basanée.
Taille : 1m79.
Corpulence : 64kg.
Cheveux : Cheveux bruns, courts, un peu hirsute.
Yeux : Ambrés.
Style vestimentaire : Des loques à peu près à sa taille, tout y passe. T-shirts, chemises, jeans, joggings, du moment qu’elle n’a pas rien à se mettre sur le dos.
Signe distinctif : Faïza est assez grande. Duh.

ft. ... de ...
Faïza Abd al-Karim
Faïza n’est pas de ceux qui se laissent marcher sur les pieds. Elle ne l’a jamais été. Souvent vue comme le mouton noir de sa large famille, elle n’a jamais dû compter que sur elle-même dans la vie et a toujours su s’imposer et se faire entendre. C’est un comportement qui lui est aujourd’hui bénéfique.

Dotée d’un certain charisme, peut-être conféré par sa grande taille et son visage à l’expression fermée, l’air de dire qu’elle déconne pas. Faïza n’a jamais hésité à recourir à la violence pour se faire entendre. Seulement, l’algérienne reste modérée dans ses actes. Pas la plus faible de sa fratrie loin de là, elle a su jouer de sa force sans en abuser, ne laissant aucune trace. Au fil du temps Faïza se forgea un caractère dur, des nerfs d’aciers, l’incapacité à se faire dicter sa conduite sans toutefois être une meneuse. Elle suit son propre parcours et offre ses services de son plein gré lorsqu’elle sent que cela peut lui être bénéfique.

C’est pour ça qu’elle fait partie de la Meute, par ailleurs. Le climat offert par ce groupe lui rappelle un peu sa grande famille, des patriarches, des forts, des faibles, des suiveurs. Un environnement qui lui est familier, dans lequel elle a déjà su évoluer, dans lequel elle s’est su capable de devenir l’une des figures emblématiques.

Faïza excelle dans l’intimidation, le recueillement d’informations et par extension, l’interrogation. Aucune donnée ne lui échappe, elle sait délier les langues peu importe comment. Initiée à la torture depuis la fin du monde tel qu’elle l’avait connu, l’intimidation physique et morale n’a presque plus aucun secret pour elle et surtout. Faïza n’a strictement aucun remord. Froide comme le marbre, elle n’est pas à son premier doigt, à sa première main coupée pour montrer un exemple. Elle est drastique dans ses actes, intolérante aux échecs d’autrui et des siens, elle sait punir comme il se doit tout en gardant une certaine justesse envers les siens. Seulement, aucune considération pour quiconque n’est pas ou ne désire pas faire partie de la Meute.

Devenue légèrement sadique, il faut dire qu’elle se plait dans son nouveau rôle de tortionnaire, c’est elle qui s’occupe des prisonniers capturés par la Meute. C’est elle qui cherche à savoir d’où viennent les brebis galeuses et qui cherche à indiquer les lieux à piller à ses frères d’armes. Très besogneuse, elle est de ceux qui se salissent les mains sans rechigner, de bon coeur, même. Elle va sur le terrain, ne délègue pas le travail aux autres puisqu’elle veut qu’il soit bien fait. Peut-être un peu trop zélée, Faïza peut se laisser emporter par le moment et se montrer impulsive et hargneuse. Elle a du mal à discerner le bien du mal, elle ne voit que le bien relatif à la Meute, le bien moral n’a plus sa place dans son coeur ni dans son esprit.

On pourrait croire que l’algérienne retourne facilement sa veste, mais il n’en est rien. Loyale à l’extrême, Faïza considère son clan comme une nouvelle famille. Chaque nouvel initié est un cadet à protéger non sans lui montrer la dureté du nouveau monde. Elle n’est pas gentille, mais elle est protectrice à sa manière.
Faïza est née en 1988, en France. Sa famille, ses grands-parents plutôt, s’étaient déjà installés là depuis la fin de la guerre d’Algérie en 1962. Elle ne fut pas la première, ni la dernière de sa fratrie. La quatrième à l’époque, mais au final cette dernière se composait de neuf frères et soeurs. Elles étaient quatre filles pour cinq garçons. La plus vieille des filles, aussi. Malgré les douze résidents dans la maison familiale, l’ordre et la discipline régnaient grâce à un père extrêmement strict qui ne laissait rien passer.

Yassin Abl al-Karim au même titre que sa femme, Inès, était très croyant et pratiquant, poussant sa famille à suivre son exemple. L’homme avait du mal à s’ouvrir à la France et refusait que ses enfants ne se mêlent à d’autres petits qui ne partageaient pas la culture arabe.

Faïza venait d’entrer au collège lorsqu’elle commença à adopter un comportement défiant envers son père et ses règles. Sa mère, légèrement plus laxiste et compréhensive que son mari l’autorisait à s’offrir des vêtements moins traditionnaux, à adopter son propre style (exemple). Faïza se mit à fréquenter des jeunes de son âge, à sortir, ce n’était pas forcément par envie de s’amuser, la jeune fille voulait seulement défier son père. Le pousser à bout, voir à peu près jusqu’où elle pouvait aller avant que Yassin ne lui montre où il traçait la ligne des choses à ne pas franchir. Le patriarche finit inévitablement par la punir à coups de ceinture après l’énième sortie. Pour lui, il fallait que sa fille rentre de nouveau dans le rang. Il lui parla longuement de la religion musulmane, ne jurant que par Allah qui ne cesserait de la pardonner malgré tout. Elle comprit que son père, dans le fond, ne voulait que son bonheur et une place de choix auprès de dieu. Un dieu en lequel Faïza ne croyait étrangement pas, respectant les traditions seulement par obligation.

La petite devint le souffre douleur principal de la famille pendant son redressement. Finalement, cela lui fut bénéfique. Non pas par envie de bien faire, mais par nécessité, les résultats scolaires de Faïza s’améliorèrent largement. Elle reçut les louanges d’un père qui, grâce à cela apaisa ses sanctions envers elle. L'aînée vit l’occasion de recommencer à faire ce qu’elle voulait en faisant attention à ses arrières. Son père lui fut très utile pour ça. La jeune fille comprit ce que pouvait lui apporter le fait d’être dans les petits papiers du patriarche. Elle se mit à observer ses frères et soeurs et à dénoncer tout écart de conduite. Rapidement après ça, c’était elle la préférée de Yassin. Il ne cessait alors de lui répéter qu’elle portait bien le nom de la famille. Abd al-Karim, Serviteur du Généreux. Il pensait que c’était grâce à Allah et ses prières qu’elle avait finalement décidé de porter assistance à sa fratrie, rôle qu’elle endossa sans remord, Yassin devint plus doux et tolérant avec elle. Il suffisait seulement qu’elle n’abuse pas trop de sa confiance.

Cela dura très longtemps. Faïza quitta le domicile familial dès ses 19 ans pour se lancer dans des études poussées dans le but de devenir directrice de collège ou de lycée. Tout se passait à merveille. Elle obtint diplômes sur diplômes sans grande difficulté et à 27 ans elle commença sa carrière en tant que professeur d’histoire dans un collège proche de la capitale. Douée et si proche de son but, elle redoubla d’efforts. Avec les années son style s’était standardisé (exemple) et c’est vers ses 32 ans qu’elle commença à effleurer son rêve, directrice adjointe de son collège. Elle commençait à peine à discipliner les jeunes comme elle le voulait depuis si longtemps. Mais tout bascula au moment où cette mystérieuse maladie fit son apparition en France. L’économie vacilla, les émeutes, les crises. Plus personne ne sortait. Le pays était comme stoppé net, mit sur pause.

Faïza observait plus impuissante que jamais. Cela l’inquiétait. Tout comme le reste de sa famille. Son père avec qui elle avait toujours de bons contact tenta de la faire revenir avec lui et ses autres frères et soeurs en Algérie. Elle refusa, d’autres comme elle refusèrent aussi. Yassin et Inès Abd al-Karim rentrèrent en Algérie avec cinq des neuf enfants. Faïza ne côtoyait pas les autres encore en France. Tout contacts cessèrent rapidement après leur atterrissage à Alger vers mars 2022. Tout juste un mois après, Faïza avait pu entendre les bombes chuter sur Paris et voir les flammes s’élever. Elle était plus que jamais seule.

C’est vers septembre de la même année qu’un groupe de vagabonds entrèrent dans le domicile de Faïza, le pensant peut-être vide. Armée d’un simple tisonnier, la femme se défendit farouchement contre ce qui avait semblé être des anciens prisonniers. Tout aurait pu très mal se terminer pour elle si Catherine, la chef de ces gens n’avait pas été présente. Peut-être avait-elle vu du potentiel en Faïza en la voyant se débattre comme une lionne face à plusieurs de ses hommes. La proposition avait été simpliste à l’extrême. Soit Faïza se voyait dépossédée de tout ses biens, soit elle suivait le même chemin que ses affaires. Il va sans dire que l’algérienne n’a pas hésité très longtemps avant d’accepter.

L’intégration au sein du clan fut.. Particulière. L’endroit semblait n’avoir aucun leader, mais tout le monde était dévoué à cette Catherine. Tout le monde semblait plus ou moins libre de faire comme ils l’entendaient mais si Catherine donnait un ordre, personne n’osait ne serait-ce que de la défier du regard. Faïza était comme fascinée. Catherine lui rappelait fortement son père. Elle avait su créer des liens semblables aux liens du sang, forts, sans failles, un respect immense. Elle eut l’impression de revivre un peu sa vie dans son foyer familial. Elle grimpa rapidement dans la hiérarchie du groupe jusqu’à devenir un membre éminent, figure relativement connue et respectée.

Aujourd’hui, elle gère les geôles de la Meute. C’est elle qui interroge les captifs et recueille des informations sur eux par tous les moyens.

Pseudonyme : Shaar’Xem
Âge : 22 ans.
Blabla : Qu’aurait été un forum basé en France sans un personnage arabe ?
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Z
Fondateur
Ven 15 Juin - 15:29
Z

Validée

Re re bienvenue !

Bon, tout me semble cohérent et correct. C'est vraiment sympa d'avoir un personnage comme celui là ^^ ça ajoute de la diversité. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur bleue foncée.

Maintenant que tu es validé, tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP.

Bon jeu à toi !
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